Patrick Sébastien chante le Top14 La lutte pour le maintien va être acharnée cette année. Qu’est-ce qu’on est serré, au fond de ce championnat. Alors que son club de cœur Brive se débat dans les affres de la ProD2, Patrick Sébastien a la tête tournée vers le Top14. En effet, selon nos informations, il serait en train d’enregistrer un album consacré à l’autoproclamé meilleur championnat du monde et à ses clubs. En exclusivité pour la Boucherie Ovalie, nous sommes en mesure de dévoiler la liste des titres de cet album qui animera n’en doutons pas bien des troisièmes mi-temps ! Stade Français : Life is life Toulon : le Pilou-pilou (version festive avec accordéon et trompette) Toulouse : « En rouge et noir » avec Nicolas « Jeanne » Mas Biarritz : la Pena Baiona Racing Métro : « Le poinçonneur des lilas » Clermont-Ferrand : « Toi l’Auvergnat qui sans façon ta geule » Grenoble : « Mais vous êtes fous » de Benny B Montpellier : « Voyages viagra generico voyages » avec Fulgence Ouedraogo Perpignan : Un medley des Gipsy King Bordeaux-Bègles : « Umbrella » avec Bruce Reihanna Bayonne : « Les Portes du pénitencier » avec Cédric Heymans Mont-de-Marsan : Pas de chanson, font-ils vraiment partie du Top14 ? Agen : Pas de chanson non plus, Patrick Sébastien n’est pas capable de chanter à jeun. google sniper review Une enquête d'Elvis Vers-Melun zp8497586rq
Scoop ! La prochaine une du Midol… Le Midi Olympique a déjà prévu sa une pour le Crunch… Après sa une « Nuls » suite à la défaite contre le Pays de Galles, le Midol a décidé d’aller encore plus loin. Une source anonyme nous a fait parvenir la une de l’édition du 25 février de la fameuse feuille jaune. Nous vous la livrons en exclusivité. Le Midi Olympique qui à l’automne louait le jeu « coruscant » du XV de France semble avoir désormais pris le parti de fustiger l’attitude des joueurs. Dans son édition précédente on a pu lire « La fatigue ? La fatigue a bon dos, qui est l’excuse du pauvre. On cialis order n’est pas fatigués, à 25 ans, quand on pratique le métier de ses rêves, qu’on est entouré par une armée de médecins, cialis no prescription de kinés et que l’on touche 30 000 euros par mois ». La plume se fait aujourd’hui encore plus acide : « A force de faire de la pub pour des burgers, des slips ou des fringues de PD, à force de se vautrer dans interestinggsite.com des palaces au bras d’escort mineures, à force de se plonger la gueule dans des saladiers de cocaïne les veilles de match, ces feignasses ne sont plus capables de fermer leur claque-merde à des Ritalo-Sudafo-Argentins ni a des descendants de mineurs consanguins que l’on ose à peine montrer aux repas d’après-match tant ils ont tendance à se jeter leurs excréments à la figure par désoeuvrement quand il n’y a pas un ballon dans les parages (…) Pire, ils ont perdu de vue les valeurs fondatrices de notre sport, et encore pire, ils ont renoncé au French Flair. Où sont les Codorniou Blanco et Bonneval si ce n’est au panthéon oublié de ces anonymes héros qui avaient fait voeu de pauvreté pour défendre l’honneur de leur nation face à l’Ennemi éternel ? » Philippe Saint-André semble pourtant avoir toujours les faveurs de la rédaction : « Notre brillant sélectionneur national lutte pourtant avec acharnement pour composer des sélections correctes avec des joueurs de seconde zone. Malheureusement, nous ne sommes pas prêts de nous débarrasser des fantômes de l’ère Lièvremont, dont les 4 années d’incompétence n’ont pas fini de précipiter le rugby de France dans les abîmes du classement de l’IRB. Seul le sacrifice de PSA pourrait créer le choc psychologique nécessaire à la renaissance d’un rugby nouveau. S’il démissionne en victime de la situation pourrie actuelle, il créera la condition de son rappel triomphal suite à l’échec à prévoir de Fabien Galthié (lire “La solution Galthié” page 5). » Jacques Verdier n’a pas souhaité répondre à nos questions mais nous a fait parvenir le SMS laconique suivant « C’est facile de critiquer derrière son clavier ! Alors on le fait. » Une enquête de Nicolas Palinka, Hervé Lantier et Marcel Sacquet.
Le jour où j’ai pris une veste France – Galles vu depuis les tribunes, c’est encore pire qu’à la télé. Par Pack Dequinz, Voilà, je suis de retour dans mon cocon perpignanais et vous avez quand même de la chance que mes doigts soient dégelés parce que si j’avais dû compter sur mes orteils, vous auriez certainement attendu le printemps pour lire mon récit. Je reviens de Paris jusqu’où j’ai fait le déplacement express-24 heures pour assister à France/Galles depuis la loge dédiée aux vainqueurs des concours Cui-Cui du Stade de France. Ça ne partait pas trop mal faut dire : gagner ma place, choisir mon train, prendre une écharpe et une veste. Une seule veste. Il ne m’aura pas fallu entrer profondément dans les terres françaises pour comprendre de quel bois je n’allais pas me chauffer et que j’aurais mieux fait d’embarquer un bonnet. Mon pays avait froid et les paysages tiraient la gueule sous une couche de neige épaisse comme une défaite contre l’Italie. J’ai choisi de faire fi du rhume à venir et de me détendre pendant mon trajet lorsque, considérant mes co-voyageurs, je remarquais un voisin de marque dans mon wagon : notre Pierre Villegueux, anormalement serein et le Midol à la main. Alignés devant lui, trois casse-croûtes emballés dans du papier d’alu. Sans faillir, l’homme a englouti dans l’ordre le jambon/beurre, puis le pâté/cornichons pour conclure avec je ne sais quel fromage affiné à coeur par les radiateurs de la SNCF thermostatés à fond. Pas gêné par l’odeur une seule seconde (notez le coma gazeux du voisin de banquette), notre bienheureux Pierrot a tôt sombré dans une sieste digne d’un grand épicurien pour enfin éclater la bulle à notre entrée dans la capitale. Villegueux en pleine agression olfactive Paris est une ville qui a le désagréable talent d’angoisser les catalans, même depuis 2009 je veux dire. On a un peu l’impression d’y retrouver notre été d’invasions, sauf qu’il y fait moins beau et même franchement froid en ce week-end de 6 Nations. Comme vous l’a déjà expliqué le copain Mormeck, il n’y a pas le métro à Perpignan et tout un tas de codes particuliers m’échappent dans les souterrains de la capitale. C’est un déplacement que je ne m’autorise qu’en cas de force majeure ou de finale usapiste, c’est à dire encore moins que la fréquence à laquelle j’écris pour Boucherie Ovalie. Aussi, je n’ai pas flâné pour rejoindre la banlieue, oubliant au passage de saluer les bouchers indigènes et de faire une petite visite à Porical perdu tout seul dans la grisaille. À St Denis, après une rafraîchissante visite de l’extérieur du monumental bâtiment, la sécurité en place a enfin consenti à cialis without prescription nous laisser entrer au chaud, en direction des loges et du poêle… après que notre charmante hôtesse ait expliqué pendant quinze bonnes minutes qu’il n’y avait rien à craindre de notre part (certains dont moi étions travestis en supporters gallois) et que de toutes façons, Andy Powell ne faisant pas partie de la sélection rouge cette année, les expositions du nouveau sponsor de l’Équipe de France ne risquaient rien. Le contexte Est-il vraiment utile de faire un énième point sur la situation des deux équipes avant la rencontre ? Même Télématin a abordé l’épineux sujet de la bipolarité de Ouin-Ouin et de sa phobie des moustachus, ainsi que celui du complexe du gallois après sa déroute face au voisin leprechaun. Alors je vais pas me fatiguer à vous expliquer le pourquoi du comment ces deux formations ont choisi de ne pas changer une équipe qui perd mais juste son capitaine. Vous n’avez qu’à demander à Masqué, il ne risquait pas la grippe à suivre le match depuis Toulouse lui. Me concernant, tout se présentait au mieux. De la chaleur, à boire, à manger… Costes et Marconnet. Le match Que vais-je bien pouvoir vous raconter de cette partie moi ? Que j’ai goûté à toutes les mignardises de chez LeNôtre et fait honneur au bar ? Que pour tromper l’ennui j’ai pisté Sylvain Marconnet, posé près de lui sur la photo, proposé une tartine au Brie dans l’espoir de l’entendre sortir une vanne d’envergure ? Ouais, je l’ai fait et ça ne l’a pas vraiment fait marrer. À moi non plus du coup. Que je me suis tellement emmerdée que j’ai repris la cigarette après un an d’abstinence, grattant direct dans le paquet du très patient Arnaud Costes, qui par ailleurs n’en a pas allumé une seule… ? Sensible au charme des catalanes (hé ho je le sais hein !) et abattu par le spectacle du terrain, le pauvre bougre m’a bien malgré lui replongée le temps d’un match dans les affres de la dépendance. Un tel manque de volonté de ma part est désespérant. Désespérant comme le jeu de nos bleus, parce que globalement le France/Galles de cette année, c’était quoi ? Deux équipes dans le doute après une défaite gênante pour les uns et une interminable série sans victoire pour les autres. Un match fermé, comme on dit à Canal + comme pour dire poliment que la partie est chiante, qu’on se les gèle et qu’on serait tellement mieux à la maison à siroter une verveine brûlante, avec une larme de Calva si possible. Car ce n’est pas sur cette Équipe de France qu’il fallait compter pour envoyer des degrés, du hot. Avec un maillot sur le dos je veux dire. Sur ce point particulier, je serais ingrate de ne pas remercier Fifi Saint-André de ne pas avoir changé les ailes et l’arrière. C’est toujours ça de gagné. Depuis la peau de panthère rose (oubliée par Ovale de best price on propecia Grâce lors du Classico © en octobre dernier) installée par mes soins sur la moquette de la loge et à l’attention particulière de Marconnet, je n’ai pas souvent vu les français approcher l’en-but des hommes de Cambrie. Et je n’ai pas vu Sylvain non plus, ou alors de dos et de loin. L’ovalie française a du mal à se regarder dans un miroir depuis le week-end dernier. Comme moi, elle a chopé l’état grippal et le seul remède semble en être une victoire à Twickenham ou à Dublin. Espérer les deux serait sévèrement arrogant et dans l’immédiat je vais me contenter d’un bon grog bien tassé et d’un peu d’aspirine. Pour le tournoi, on verra l’an prochain. Après tout, c’est bien pratique une cuillère en bois pour touiller le coq au vin… Avec le recul je le comprends un peu PSA, surtout quand il n’y comprend plus rien. Qui peut vraiment analyser la déroute des nôtres, les mêmes qui ont croqué les australiens en novembre dernier et qu’on imaginait sans trop se la péter devenir chelemards ? Certainement pas moi et pour tout vous dire je craignais que le PSG nous les pique tant ces garçons-là commençaient à briller dans ma télé, vêtus de Lycra dans quelque bijou de l’automobile allemande… jusqu’à ce qu’une petite turinoise les double en klaxonnant. Je suis de tout coeur avec Philippe quand il trouve que ces joueurs sont trop sollicités et que Guy pourrait tout de même faire un petit effort pour ne pas trop les fatiguer, ou quand il n’arrive pas à trouver de troisième ligne valable parmi nos rangs français. Laporte, Lapinou et autres Domenech (oui, bon…) savent à quel point est difficile le métier de sélectionneur d’une Équipe de France. Je ne me souviens pas d’avoir passé meilleure nuit que celle de mon retour en train. Je ne me sentais pas vraiment fière de la piètre prestation de nos poulets mais la grippe et le soulagement de retrouver ma tiède contrée m’ont aidée à trouver un generic cialis price sommeil de plomb. Je crois que j’avais surtout envie d’oublier d’autres moments humiliants de la soirée, besoin d’effacer de ma mémoire que je n’avais emporté qu’une seule veste pour finalement rentrer avec deux. J’ai beau me repasser le film du match depuis les hymnes de l’apéro aux sifflets du digeo, j’ai bien peur qu’avec Marconnet je me sois pris un râteau.
Le plan secret du XV de France pour battre les Anglais On aura beaucoup ergoté sur la contre-performance de l’Equipe de France de rugby et l’incompétence de Philippe Saint-André à mettre en place une stratégie amenant ses coqs à la victoire. Pourtant, au beau milieu de ce week-end chargé en Tournoi, Top14, ProD2 et rugby à 7, une information importante sera passée à la trappe. La défaite face aux Gallois consécutive à celle récoltée à Rome la semaine précédente provoque l’effroi et l’inquiétude au sein des supporters du rugby français alors que se profile un périlleux déplacement en Angleterre. La sortie médiatique de Mourad Boudjellal et sa charge virulente contre les instances fédérales participe à la description de ce tableau de désolation. Et le président toulonnais a raison : de nos jours une victoire se gagne autant sur le pré qu’en amont, dans la préparation de ces joutes hivernales. Il serait pour autant malvenu de taxer la FFR d’immobilisme alors même qu’elle vient de s’engager de tout son poids au soutien de ses Bleus. Dès le calendrier du Tournoi 2013 dévoilé, la Fédé avait coché ce prochain match contre le XV de la Rose sur ses tablettes. A charge pour elle d’en optimiser la préparation afin de triompher à Londres et s’assurer un grand Chelem qui lui tendait alors les bras. Las, si la défaite inaugurale du Stade Olympique a fait s’envoler ces rêves de victoire, le plan soigneusement préparé par la commission des opérations spéciales (le célèbre COS) s’est poursuivi. Pierre Camou est un grand artisan cheap cialis online de la guerre psychologique, ce n’est un secret pour personne. Faisant appel à la grande famille du rugby français, il aura su en fédérer tous les talents et toutes les compétences autour de son projet. Le Grand Stade attendra, priorité est donnée au match contre les Anglais. Et il semblerait que l’actualité lui ait donné raison. Incapable de triompher sur le terrain, la France devra s’activer en coulisse pour cultiver l’illusion d’un succès. A cet égard, la déstabilisation du royaume de Sa Très Glorieuse Majesté a d’ores et déjà commencé. Nul n’est censé ignorer le soin qu’apportent les Anglais à leur nourriture. Le raffinement de leurs estomacs délicats les conduit à se comporter d’une méticulosité ardente quant à la préparation de leurs repas. Le plan de déstabilisation passera donc par là. La guerre psychologique délaisse un instant le cerveau pour s’atteler à une révolution du palais. Pour incarner cette opération ‘Choc et terreur’, la Fédération a rappelé de glorieux anciens du rugby français : les Spanghero. Déjà craint et haï outre-Manche, le nom de buy cialis online la redoutable famille y est aujourd’hui associé à un désastre alimentaire. En insérant de la viande de cheval dans des lasagnes consommées par les gourmets britanniques, ils inscrivent jusqu’au plus profond des tripes anglaises la terreur d’un avenir incertain. Si le rugby français peut s’inviter jusque dans l’assiette d’une famille du Sussex et l’atteindre dans l’intimité de ses toilettes depuis l’autre côté du Tunnel, que sera-t-il capable de faire sur le même pré que son équipe ? Quels trésors de sauvagerie préparent donc ces coqs ? Où s’arrêteront-il dans l’ignominie ? Le MI5 ne s’y est pas trompé en affirmant que des mafias agissaient en sous-main. Le service de contre-espionnage britannique ne sera pas allé jusqu’à la pointer du doigt la ‘mafia des pardessus’ mais il n’est guère dupe. Nous ne sommes qu’à la première étape d’une guerre sordide, crasseuse, osant tous les coups bas pour vaincre sur les terrains. C’est désormais la seule chance de la France pour se sortir d’un ridicule qui en saisit tous ses habitants. Saluons donc l’initiative de Pierre Camou et la subtilité de cette action. Car il n’y a rien de plus savoureux que de faire manger de la viande de cheval à des bourrins. Par Ludovic Randonneur
L'Histoire du Tournoi des Six Nations Déscovrez moultes drosleries et rigolez aulx larmes en ce biau papier narrant l’épopée du valeureu Tovrnoi. Par Feneb, Enfin. Après des mois à endurer l’indigent spectacle que nous offre le Top 14, notre soif de joutes épiques à peine étanchée par 6 journées de H-Cup (et encore, on ne nous sert pas du Glasgow – Castres chaque semaine), voila que Le Tournoi a repris. Moment béni, où enfiler les pintes de bière au pub en début d’après-midi comme un O’Gara enfile les pénalités n’est pas perçu comme un signe d’alcoolisme mais comme un instant de fraternité entre les peuples. Mieux que les hirondelles, le début du Tournoi annonce l’arrivée du printemps, les beaux jours, les dimanches après-midis encroûtés dans le canapé. Ces matchs qu’on refait le lundi matin à la pause-café avec les collègues, la sourde angoisse de perdre contre l’Angleterre, la consolation de voir ces derniers cafouiller contre des adversaires prétendus plus faibles, Guy Novès qui se plaint des doublons tandis que son équipe continue à gagner … Le tournoi est un de ces instants de bonheur qui comblent nos fins de semaine, tout comme Patrick Sébastien ou Michel Drucker. Mieux qu’une tradition : un repère, un phare dans la longue nuit de l’hiver. A ce sujet, un petit rappel sur l’Histoire du Tournoi ne semble pas vain. Genèse du Tournoi du VI Nations – XIVème siècle Peu le savent, mais l’origine du Tournoi remonte au XIVème siècle. A l’époque, seules deux équipes s’affrontaient : l’Angleterre et la France, lors de rencontres mémorables disputées dans la plus pure des traditions bouchères. Bien avant Twickenham ou Saint-Denis, les stades champêtres de Crécy, Harfleur ou Azincourt ont été les théâtres de générales sanglantes, d’yeux crevés et de crânes fracassés (il est amusant de noter que le bruit rigolo de l’occiput qui cède – crunch – est resté ; cette onomatopée désigne toujours les rencontres franco-anglaises, 700 ans plus tard). A vrai dire, l’enjeu l’emportait franchement sur le jeu. C’était même un peu n’importe quoi, les deux équipes faisant fi des règles pour mieux se taper dessus. Les arbitres étaient bien entendus corrompus, comme aujourd’hui. Coup d’envoi de France – Angleterre 1346 ; notez que les Anglois n’étaient pas à 10 mètres… En ces temps anciens, les arbitres écossais avaient tendance à favoriser tant qu’ils pouvaient l’équipe de France, en vertu d’une Vieille Alliance tacite entre ces deux pays. Mais les Anglais n’étaient pas en reste : ils réalisent le Petit Chelem en 1415 en s’imposant sur la pelouse du Stade Municipal d’Azincourt, largement avantagés par un arbitre irlandais totalement acquis à leur cause. (En effet, le Tournoi des II Nations, à l’époque, ne concernant, comme son nom l’indique, que deux équipes, il aurait été excessif de parler de Grand Chelem ; c’est donc le Petit Chelem qui récompensait l’équipe remportant toutes les rencontres). Mais revenons à Azincourt : le public français, furieux, entonna un chant injurieux à l’encontre de l’arbitre du match : « Aux latrines, l’arbitre ! Aux latrines, l’arbitre ! », entonnèrent-ils tous en chœur … Cet air célèbre est resté, connu encore aujourd’hui sous le nom de chanson de (Alain) Rolland. Monsieur Rolland signale un en-avant … notez qu’un petit malin a volé la tête à Ovalion. Les instances du rugby européen faisaient de leur mieux pour limiter les débordements, mais il faut reconnaître qu’elles étaient franchement dépassées. Les joueurs reconnus coupables de mauvais gestes étaient systématiquement suspendus pour le prochain match … suspendus, oui, mais par le cou, au gibet de Montfaucon. Autant dire qu’on y réfléchissait à deux fois avant de fourchetter les yeux de l’adversaire. Mais dans l’ensemble, les deux équipes s’étripaient gentiment dans le respect des Valeurs de notre noble sport. Séance de cryothérapie pour éviter les courbatures aux cuisses ; on n’a rien inventé… L’ancêtre du Tournoi perdura pendant 116 ans, tout de même … Le buy cheap cialis bilan est plutôt équilibré, et à vrai dire on ne sait pas très bien dire laquelle des deux Nations tira son épingle du jeu. Les historiens sont assez divisés à ce sujet. Bernard Lapasset remettant le trophée au capitaine des Bleus … Pour une sombre histoire de droits TV, le traité de Picquigny (ou pick-and-go treaty en Anglois) mit fin au Tournoi qui ne renaîtra de ses cendres qu’à la fin du XIXème siècle. On se demande bien ce qu’on pu faire nos ancêtres de leur week-end pendant tout ce temps-là. Les gendarmes interrompant une troisième mi-temps bien arrosée, en pleine danse du Limousin On n’a retenu pratiquement aucun nom des joueurs de l’époque, hérauts anonymes, les archives de Midol ayant entièrement brûlé lors du grand incendie de Toulouse de 1463. Un nom toutefois a traversé les âges, celui de Jeanne d’Arc, célèbre demie de mêlée du Stade Orléanais. Alors qu’elle était au faîte de sa gloire, elle fut accusée d’avoir utilisé une oreillette lors d’un match de Top 14 à Domrémy (oui, je sais, c’était autre chose le championnat à l’époque…). Discréditée, moquée à cause de ces soi-disant « voix », jetée en pâture aux tabloïds Anglais, sa carrière subit un coup d’arrêt fatal, ce qui fit dire à Pierre Salviac au sujet de commission de discipline qui la condamna au bûcher : « le Cauchon est dans le maïs ». Sacré Pierrot, va, déjà là, et toujours un bon mot d’avance… Ce soir, on vous met … ce soir, on vous met le feu … La Renaissance du Tournoi – 1883 – 1909 C’est au début des années 1880 que le Tournoi revit le jour. Il faut dire que le rugby et ses règles avaient été inventés quelques années auparavant, ce qui laissait augurer de rencontres moins sanglantes que celles disputées pendant la Guerre de Cent Ans. Le tournoi des VI Nations était alors … le Tournoi des IV Nations, ces – déjà – affreux britanniques ayant refusé d’intégrer les Français. Il se jouait alors entre les seules Angleterre, Ecosse, Pays de Galles et Irlande. Un Tournoi consanguin, dont rien ne pouvait naître de bon, et qui dura un peu moins de 20 ans. Le XV de la Rose, 1892. Si anciens, et déjà bien vilains Le palmarès est plutôt équilibré, et à la surprise générale l’Ecosse et le Pays de Galles gagnaient non seulement des matches mais aussi des Tournois. Le Pays de Galles réalisa même le premier Grand Chelem de l’Histoire en 1908. Bon, ça ne durera pas. Palmarès du tournoi des IV Nations 1883 – 1909 Le Tournoi des IV ou V Nations, 1910 – 1945 ; petites et grandes boucheries… Ces fourbes de Britanniques, à la recherche d’un faire-valoir, voulurent intégrer un cinquième larron à qui ils pourraient coller une branlée assurée chaque week-end. Compte-tenu de l’éloignement géographique des Italiens, rédhibitoire à l’époque (l’Eurostar n’allait alors pas plus loin que Gare du Nord), ils se rabattirent en désespoir de cause sur leurs meilleurs ennemis Français. L’amiral Nelson Montfort, prenant fièrement la pose après l’interview du coach Anglais lors d’Angleterre – France 1910 Grand bien leur prit : les Français, comprenant rapidement qu’ils n’auraient pas droit aux honneurs, eurent à cœur d’apporter leur touche personnelle, en réintroduisant doucement mais sûrement le germe de la Boucherie. L’année 1913 est à marquer d’une pierre blanche. Lors d’un mémorable France – Ecosse disputé au Parc des Princes (et oui, déjà … le Parc de Princes avait été inauguré en 1900 pour les J.O. de Paris), l’arbitre de la rencontre échappe de peu au lynchage d’une foule en furie, échaudée – certainement à juste titre – par des décisions douteuses. Le Parc des Princes en 1913 ; les hooligans néo-nazis y étaient encore rares à cette époque, pour des raisons essentiellement chronologiques… L’Ecosse s’impose 21 à 3, et les Français sont exclus du Tournoi, après leur 4ème participation seulement. Bien joué. France – Ecosse 1913 ; vous l’avez bien cherché, Monsieur Bevan… Les Britanniques n’auront pas vraiment l’occasion de profiter de leur compétition à 4, une autre Boucherie, celle de 14-18, mettant entre parenthèses le Tournoi pendant 4 ans, de 1915 à 1919. En 1920, au nom de l’amitié entre les peuples, la France est à nouveau autorisée à participer au Tournoi des V Nations, et continuera à perdre match après match, laissant ainsi les britanniques se partager le gâteau comme avant. Globalement, durant la période 1910 – 1945, c’est l’Angleterre qui domine le tournoi et laisse les miettes à ses trois colonies. Palmarès du tournoi des IV ou V Nations 1910 – 1945 Si notre valeureux XV de France ne brille pas par ses résultats, il continue de porter haut et fort les valeurs bouchères. Le 21 avril 1930, la France affronte le Pays de Galles à Colombes. Une victoire assurerait aux Français le gain de leur premier Tournoi ! Mais les Bleus n’ont pas attendu la création de la Coupe du Monde pour endosser merveilleusement le rôle du looser magnifique. Plutôt que d’assurer la gagne, le XV de France préfère jouer la carte de la violence gratuite et distribue mandales et mornifles à des pauvres Gallois qui ne savent plus où donner du poireau, mais s’imposent tout de même 11 – 0. Le Stade de Colombes, plein à craquer. Depuis y joue le Racing… Résultat des courses : le Tournoi échappe aux Français, qui se retrouvent à nouveau exclus de la compétition à cause de leur comportement jugé archi-violent. On reconnait bien là la mesquinerie légendaire des britanniques : la France a enfin le niveau, la France est susceptible de remporter la compétition … donc on l’exclut ! Revenons à l’époque bénie de la fin du XIXème siècle et jouons à nouveau entre nous, sans ces foutues grenouilles qui puent l’ail et la sueur dans les regroupements ! Damned… Après 10 ans d’embargo, les Français n’en peuvent plus. Se souvenant des circonstances qui avaient conduit à leur réintégration en 1920, ils n’hésitent pas une seule seconde : la France déclare la guerre à l’Allemagne et déclenche la seconde Boucherie mondiale de 1939 – 1945. Comme prévu, une fois la guerre terminée, la France est réintégrée dans le tournoi des V Nations en 1947, lorsque celui-ci reprend. Bikini Guide by The Get In Shape Girl De V à VI Nations – de l’après-guerre à nos jours… Il faut attendre l’hiver 1954 pour que le XV de France remporte buy windows 7 product key – enfin, son premier Tournoi des V Nations, ex-æquo avec l’Angleterre et le Pays de Galles. L’épopée glorieuse des Bleus donnera lieu à un film à la gloire de nos héros, un demi-siècle avant Invictus, avec Lambert Wilson dans le rôle du sélectionneur Pierre Labbé. Le béret Eden Park, déjà accessoire de mode… Et c’est enfin en 1968 que la France obtient son Premier Grand Chelem de l’histoire… Une équipe de légende, des noms qui ont rejoint l’imaginaire collectif, des joueurs portés pour toujours au panthéon du rugby ; jugez-en vous-même : Benoît Dauga… Walter Spanghero… les frères Camberabero… le papa Yachvili… Jo Maso… Jean Gachassin… Pierre Villepreux ! Une composition qui fleure bon le rugby d’antan, les envolées lyriques de Roger Couderc, et le cassoulet tiède (ça, c’est la faute à Spanghero…). Le XV de France du premier Grand Chelem Au passage, on a enfin la réponse à la question qu’on se pose depuis des années : à quoi sert Jo Maso ? En tout cas on sait à quoi il a servi, alors merci pour tout, Jo (et maintenant, faut pas rester là…). Ce premier grand chelem donna lieu à des scènes de liesse sans précédent dans toute la France, que l’on désignera pudiquement comme étant « les événements de 1968 »… Les supporters chantant I Will Survive sur les Champs-Elysées, sous le regard bienveillant et protecteur des CRS Nous passerons sous silence les années noires du Tournoi, de 1983 à 2005, durant lesquelles les fans de rugby durent supporter les commentaires de Pierre Salviac. Affreux, et indicible. Quand j’y pense… Heureusement nos enfants ne connaîtront pas cela… Notons toutefois l’arrivée de l’Italie en 2000, la VIème Nation, rendue possible par la volonté des Britanniques de se trouver un nouveau faire-valoir. Objectif atteint, puisque les Italiens n’ont toujours remporté le moindre Tournoi, sauf pour ces pauvres Ecossais qui trouvent régulièrement le moyen de perdre contre eux. Les Italiens complétant leur collection déjà bien fournie de cuillères en bois Bien entendu, la France n’a jamais perdu contre les Italiens. La défaite purement stratégique de 2011 (destinée, rappelons-le, à endormir nos futurs adversaires de la Coupe du Monde) n’étant logiquement pas comptabilisée dans les statistiques. Idem pour la légère déconvenue du week-end dernier à Rome, qui est due et seulement due aux joueurs du Montpellier Hérault Rugby qui ont sciemment levé le pied pendant toute la première mi-temps. Cette sombre affaire de paris truqués devrait d’ailleurs éclater dans les prochaines semaines. Les trophées distribués durant le Tournoi Le Tournoi, c’est un peu l’Ecole des Fans, Jacques Martin en moins (et Johnson Martin en plus) : nos amis Anglais ont inventé tout un tas de récompenses farfelues, histoire de gagner à tous les coups. Le XV d’Angleterre remporte ses 5 rencontres ? C’est le Grand Chelem ! L’Angleterre perd un match mais finit première ? Champions d’Europe ! L’Angleterre finit deuxième en ayant battu Ecosse, Galles et Irlande ? Pas grave, Triple Couronne ! L’Angleterre finit avant-dernière, juste devant l’Ecosse battue 9 – 8 à Twickenham ? Qu’à cela ne tienne, ils gagnent la Calcutta Cup ! Ils perdent contre l’Ecosse mais battent l’Irlande ? Et hop, Millennium Trophy dans la poche ! Victoire contre la France ? Trophée Eurostar (si, si, je vous jure, je n’invente pas) ! Tout est prévu pour que les Anglais gagnent au moins un trophée, quelque soit le cas de figure … C’est plus que malin : rien n’est laissé au hasard. Et s’ils perdent tous les matchs, me direz-vous ? C’est la cuillère de bois, la médaille en chocolat qui récompense même les plus nuls. Le trophée de l'infamie… Au petit jeu de qui perd gagne, ce sont l’Ecosse et l’Irlande qui se tirent la bourre, avec 14 cuillères en bois chacune. La France arrive 3ème, avec 7 cuillères (si on compte les deux fourchettes de Julien Dupuy et Sylvain Attoub, ça fait deux services complets de couverts à salade). On pourra s’étonner que l’Italie soit la Nation qui en comptabilise le moins (4 seulement), mais on relativisera l’exploit si on rappelle que c’est tout de même 4 en 13 ans, soit un peu reluisant taux de 30% de cuillères en bois. Pour être tout à fait honnête, les Anglais ne sont pas les seuls à s’être inventés des trophées sur mesure. Ainsi, l’Ecosse et l’Irlande se disputent chaque année le Centenary Quaich ; quant aux Français et aux Italiens, c’est le Trophée Garibaldi qui récompense chaque année l’équipe de France qui remporte le match. (On a déjà dit que les rencontres de 2011 et 2013 ne comptent pas !) L’imagination des instances dirigeantes est sans limite : d’autres trophées sont dans les cartons. Ainsi, à partir de cette année, le Trophée Ryanair sera remis chaque année au vainqueur du match France – Irlande. La Coupe Bâton de Berger (Michel) sera remise à l’issue de France – Galles. La coupe Kronenbourg sera remise à l’équipe qui parviendra à s’imposer sur le score exact de 16 – 64. Enfin, le Trophée Marc Lièvremont récompensera l’équipe qui parvient à finir deuxième du Tournoi en faisant jouer un demi de mêlée de métier à l’ouverture. On évoque même la création d’un Trophée Lee Winter, dont les conditions d’attribution restent assez floues. Un peu de géopolitique de comptoir pour finir… Parmi les 6 Nations participant chaque année au Tournoi, le cas de l’Irlande est tout à fait singulier. En effet, cette équipe est constituée à la fois de joueurs issus de la République d’Irlande et de joueurs britanniques originaires d’Ulster (oui, cette province qui a réussi le faux exploit de battre deux fois Castres cette année). Deux pays, deux religions, deux cultures, deux peuples jadis ennemis qui se rallient sous la bannière verte pour porter buy finasteride le même maillot, en vertu d’une même passion : le rugby (contrairement aux arbitres de foot, qui ont aussi la même passion, mais pas le même maillot). Je ne sais pas vous, mais moi ça me fait chialer d’émotion tellement c’est beau, toute cette fraternité unie dans la victoire comme dans la défaite, même si c’est plus souvent dans la défaite en fin de compte. Le Shamrock, ou trèfle, dont les trois feuilles symbolisent l’union de l’Irlande du Sud, l’Irlande du Nord, et, euh, l’Irlande du Milieu sans doute… Cette sympathique réunion Nord – Sud n’a pas été sans heurts, et a posé quelques problèmes pratiques, notamment en ce qui concerne le choix des hymnes et des drapeaux. Jusqu’en 1995, trois cas de figure se présentaient : lorsque l’Irlande recevait à Belfast, c’est l’hymne britannique, «God Save The Queen», qui était joué, au grand dam des Sudistes. A l’inverse, lors des rencontres disputées à Dublin, la fanfare locale interprétait l’hymne de la République d’Irlande, « Amhrán na bhFiann », ce qui agaçait fortement les Unionistes (en partie parce qu’ils étaient incapables d’en prononcer une seule strophe, mais pas seulement). Enfin, lors des rencontres à l’extérieur, pas d’hymne du tout. Ci-dessous, le premier couplet de l’hymne de la République d’Irlande, histoire de rigoler un peu… Désolé, je crois que toutes les lettres ont été un peu mélangées, ce n’est pas possible autrement… Seo dhibh a cháirde duan Óglaigh, Cathréimeach briomhar ceolmhar, Ár dtinte cnámh go buacach táid, 'S an spéir go min réaltogach Is fonnmhar faobhrach sinn chun gleo 'S go tiúnmhar glé roimh thíocht do'n ló Fé chiúnas chaomh na hoiche ar seol: Seo libh canaídh Amhrán na bhFiann. Bon. C’était quand même un peu compliqué tout ça, c’est la raison pour laquelle un hymne unique et rassembleur a été créé spécifiquement pour le XV d’Irlande. La proposition de la province du Connacht de reprendre les Lacs du Connemara de Michel Sardou ayant été refusée par les trois autres provinces, c’est finalement « Ireland’s call » qui a été retenu. Mais rien n’est jamais simple en Irlande ! Lorsque des rencontres du Tournoi disputées à Dublin, on joue désormais… les trois hymnes les uns à la suite des autres ! God Save Save The Queen, puis la chanson imprononçable, et enfin Ireland’s call. Heureusement, à l’extérieur, on ne joue que ce dernier, parce qu’on n’a pas que ça à foutre non plus… Ireland’s call a été repris depuis par les équipes de rugby à XIII, de cricket, de hockey (et de croquet ?). Equipe nationale d’Irlande de Criquet, les fesses à l’Eire… Même bordel pour les drapeaux : il a fallu en créer un nouveau pour ne fâcher personne. Dans l’urgence, l’IRFU a bricolé un truc dégueulasse sur PowerPoint, et ça donne ça : Le nouveau drapeau Irlandais, représentant les 4 provinces ; de haut en bas et de gauche à droite : l’Ulster, le Leinster, le Connacht et la Guinness. Pour vous donner une idée du caractère exceptionnel et unique au monde d’une telle union, essayons de transposer cet exemple à la France. Imaginez un instant une équipe de France qui intégrerait en son sein des joueurs issus du Pays-Basque … Dit comme ça, ça parait dingue, impensable … Photomontage illustrant une hypothétique intégration de joueurs basques en équipe de France ; désolé, c’est un peu raté, mais je suis une vraie quiche en Photoshop… Et puis, on imagine à peine toutes les répercussions … Le pottok devrait être rajouté sur l’écusson à côté du coq et le drapeau devrait être entièrement retravaillé. Projet de drapeau pour le XV Franco-Basque Enfin à l’instar de nos amis Irlandais, il faudrait que soient joués consécutivement deux hymnes lors des rencontres au Stade de France : la Marseillaise, puis Paquito El Chocolatero. Non, franchement, je crois que les mentalités ne sont pas encore prêtes, soyons réalistes … Un jour, peut-être ? Bon tournoi à tous ! zp8497586rq
Le petit Guildford illustré du VI Nations Et bien sûr, à la santé du Colonel. Ca y est, comme chaque printemps, le Tournoi est de retour. Une bonne raison pour se cuiter la gueule en invoquant le sport ou la fierté nationale comme excuse. Mais ce n'est pas une raison pour faire n'importe quoi : nous ne sommes pas des animaux que diable ! how to learn arabic La Boucherie Ovalie vous propose donc buy generic viagra sa façon de se boire des canons, dans l'ordre et la discipline, en suivant les règles du jeu à boire des VI Nations, communément appelé le Petit Guildford. Cliquez sur la miniature, amusez-vous bien et bonne biture ! L'alcool reste bien entendu à consommer avec modération, buy software cheap c'est ce que je répète à la cuvette de mes toilettes chaque dimanche vers 6 canadian viagra ou 7h. Les règles sont du Staff Boucherie Ovalie, la réalisation et les fautes d'orthographe sont de Capitaine, et l'idée initiale de @WelshDalaiLama, mais attention comme son nom l'indique il est gallois. zp8497586rq
Pastigo & Greg le Mormeck analysent USAP – ASM Un Auvergnat et un Catalan qui s’unissent. La Boucherie Ovalie, c’est aussi le site de l’amour fraternel. Par Pastigo & Gregory le Mormeck LINK Parce que le match était particulièrement pénible et qu’aucun des deux ne voulait se taper le compte-rendu, il a fallu tirer au sort. Gregory le Mormeck et Pastigo supportant des équipes équivalentes en terme de louse astrale, les deux ont perdu. C’est donc non sans un dégoût certain qu’ils se partagent l’écriture de cette purge, prenant un soin particulier à n’y apporter aucune cohésion. Le Contexte C’est la guerre ! Après un match plein (de honte) face à l’équipe de Rovigo en Mickey Cup, l’Usap reçoit L’Asm dans son antre d’Aimé Giral. Les Catalans n’ont pas le choix, l’emporter ou mourir. Pour bien comprendre, il faut savoir qu’il y avait 2 forteresses à Perpignan : le Castillet et Aimé Giral. Le problème c’est que ces temps-ci, la plus visitée n’est pas celle où on y voit le plus de rugby. C’est donc dans un stade clairsemé que le meilleur public de France accueille son homologue, à moins que ça ne soit l’inverse. Sur le terrain, finie la poilade, finies les grandes promesses, finie la tension, bref Le Corvec n’est plus là et Cudmore remplaçant. J’ai aussi le regret de constater que Dumb and Dumber ne seront pas sur le terrain en même temps. En effet j’attends avec une impatience non dissimulée la rencontre de Perez et Bardy, le duo le plus comique de l’histoire de la faute débile, j’en regrette les cartons blancs. Pourtant un duel aura bien lieu, celui des 2 talonneurs internationaux. Guirado et Kayser vont se partager le banc pendant les 6 nations et celui qui aura la plus grosse en sortant de ce match aura du rab de strap, l’enjeu est énorme. Côté ¾ clermontois, le barbu est là à l’affût du moindre drop de merde permettant aux Jaunards de l’emporter d’un point. Le Merdeux est aussi sur la feuille, le coffre est au centre et le cheval sur son aile. Côté Usapistes, Crochet sera là, Elie et Dieudonné sont au centre et Michel à l’arrière. Devant, la seconde barre est solide avec Tao et Vaha, advienne que pourra. Pour ma part, ceux qui ont pu suivre le LT sur touitter (@elburrocatala) auront remarqué que l’alcool avait eu raison de moi bien avant le coup d’envoi, ce qui va suivre n’est donc que le récit approximatif de ce que j’ai cru voir et entendre. Le film du match Le première mi-temps vous est présentée par Pastigo. C'est assez dommage. Les nombreux non-initiés n'ont pas su profiter à sa juste valeur de ce match de très autre qualité, ceci tenant à un énorme quiproquo. En effet Aimé Giral était autrefois l'enceinte locale d'un sport mort depuis bien longtemps, une sorte d'ancêtre de notre Softball actuel. Un affichage mal choisi et une communication hasardeuse ont semé le flou dans les esprits, et ce sont des hordes de supporters d'une vieille discipline anglaise qui envahissent les tribunes, accompagnés de quelques amateurs de taureau-piscine. Mal leur en a pris, ils ne savaient même pas compter les points. Mais ne traînons pas plus et démarrons le résumé d'une rencontre pour laquelle vous trépignez d'impatience. Les conditions du match ne sont pas propices à un jeu de qualité avec un vent presque nul, mais fort heureusement nos hommes peuvent compter sur le soutien de températures hivernales. Soucieux de se rattraper suite à un enchaînement de résultats décevants toutes compétitions confondues, les Auvergnats frappent d'entrée de jeu et veulent imposer leur rythme en anticipant les commandements sur la première mêlée du jeu. Privant ainsi les Catalans d'une chute de leur pilier gauche, ils ouvrent le score grâce à 3 points « – de 17 ans ». Afin d'asphyxier l'adversaire, Kotze enchaîne directement sur une faute au sol qui ajoute 3 points « Béziers » et oblige Hook à trouver une touche dans les 22 mètres auvergnats. Dès la 2ème minute de jeu l'ASM mène 6-0, malgré les efforts de Guirado, pourtant régulier dans ses ratés en touche, qui oblige ses coéquipiers à organiser un ballon porté face auquel il faudra tout le savoir-faire international des Auvergnats pour l'emmener à 10 mètres de leur en-but. Hook, dans un mauvais jour, ne réussit pas à rater la pénalité et c'est déjà sur un score de 9-0 que Clermont s'envole. Narraway, conscient de la mauvaise entame de son équipe, se met en boule dans un regroupement afin de ne pas rester sur ses appuis et oblige Parra à taper une pénalité difficile à rater à 30 mètres des perches. Ces 3 premiers points permettent à l'Usap de doucement recoller au score, mais on sent bien que l'initiative reste auvergnate. Pourtant c'est bien Strokosch qui dans la foulée va réussir à chisterer un maul jaune et bleu et forcer encore une fois Parra à concéder 3 points. 6 à 9, les Catalans se sont enfin réveillés. L'alarme se déclenche, et il faudra toute la ruse de Julien Pierre pour échapper un ballon sur le renvoi, permettant à l'expérience de Kotze d'être sanctionnée sur la mêlée à suivre. L’engagé Baleine au rapport. Hook ne peut rien faire et passe une nouvelle pénalité, les Auvergnats reprennent 6 points d'avance. Vosloo fait parler sa puissance et charge dans la défense catalane afin de laisser à Kayzer tout l'espace pour commettre un en-avant. Les Catalans anticipent parfaitement les commandements de l'arbitre sur la mêlée, mais les Clermontois pris à l'orgueil redemandent une nouvelle mêlée. Bien leur en a pris, les Catalans ne se maîtrisent pas et enfoncent la mêlée jaunarde. Dans les 22 sang et or, la sanction aurait été immédiate. Sur l'action suivante, Fofana, qui a bien perdu de ses succès passés en Irlande, n'arrive pas à se faire raffuter sur une charge, l'arbitre siffle et Parra est de nouveau mis en échec en voyant la balle filer entre les perches, impuissant. C'est sur ce 12 à 9 indécis que Sivivatu nous offre une merveille de petite tarte dans la tronche sur Hook. Ce dernier a beau faire comprendre qu'il n'a rien, Sivivatu obtient un carton jaune qui va permettre à son équipe de souffler. En supériorité numérique, Hook sauvera les meubles en ratant à merveille une pénalité facile. Brock James, en grande forme, arrive à ne pas trouver des touches pourtant faciles et assure à son équipe de ne pas souffrir de bons lancements de jeu. Mais sur le maul suivant, les Auvergnats ne trouvent aucune opposition et sont forcés d'avancer. Clermont assure le minimum en s'écroulant et en gardant le ballon au sol, mais la mêlée catalane n'est pas en reste et anticipe à nouveau dans un timing parfait. Après plusieurs regroupements sur lesquels il semble impossible de commettre en faute vulgaire, Vosloo trébuche et plonge dans l'en-but. L'essai paraît évident et les Catalans sautent de joie, mais l'arbitre refusera l'essai à la vidéo. Pour une fois on ne peut pas parler d'arbitrage maison ! Suite à une jolie pénalité habilement trouvée par les Catalans, Parra préfère la taper plutôt que de prendre le risque que James trouve la touche. Malheureusement, ça passe. 12-12, les locaux s'accrochent ! Debaty sort sur saignement après une mêlée où son travail a été récompensé d'une belle sanction, Et sur une touche Guirado fait une merveille de lancer directement dans les bras de Kayser. Heureusement, Kayser se rattrapera sur le lancer suivant avec un geste technique presque identique. L'arbitre siffle la mi-temps sur ce score de 12 à 12, et toutes les conneries restent donc à faire. Gregory le Mormeck , sous perfusion, vous présente la seconde période du même match, mais d’un autre sport. A la reprise, des négociations sévères s'engagent entre les deux camps. Parra en profite pour manquer une nouvelle pénalité (faut-il le garder ?) et laisser les Catalans espérer. Le renouveau du jeu de l'Usap va passer par un jeu solide devant mais surtout par l'entrée providentielle de leur meilleur atout. En effet, dès le début de cette période, Bardy fait son entrée côté Clermontoises, le stade exulte de joie et reprend confiance. Julien Bardy ce joueur posé qui a la tête sur les épaules. Avant que celui-ci ne se mette en évidence, James Hook en profite pour remettre le planxot à 9-12. On joue la 48ème minute et il ne reste plus que 32 minutes à l’Usap pour perdre ce match, quand Bardy-Panda décide de se jeter dans tous les rucks pour essayer de décapiter un maximum d'adversaires. Malgré tout son dévouement à son équipe et aux Valeurs du Rugby(c), il est pris par la patrouille. Les Catalans prennent la touche et se retrouvent à 5 mètres de la ligne de l'ASM, on en arrive au point “dans ton cul” du match. Avec une malice non dissimulée et par peur de manquer son lancer, Guirado transmet le ballon directement à l'ogre Tao placé en premier poste, il n'a plus qu'à s’écrouler dans l'en-but. La transformation est manquée mais l'USAP mène désormais 14-12 et les Clermontois ont un gros gros mal au cul-cul. La suite est beaucoup plus logique. L'attaque catalane est confiante et même David Marty brille par quelques beaux gestes, quand Monsieur Patate souffle et fait des gestes. La défense fait le boulot et presse bien les Jaunes chez eux. Las de voir son équipe sur le reculoir, Julien Bardy va alors démontrer tout son talent pour enrayer la machine. Hors-jeu, maul écroulé, placage à retardement, M. Marchat lui signifie un dernier avertissement avant carton après que celui-ci a essayé de lui arracher son slip et a menacé ses enfants. La possession est clairement catalane, et Crochet enfonce une banderille supplémentaire, 17-12. Depuis le début de la partie, en mêlée, les gros de l'USAP font jeu égal avec leurs adversaires. Le Belge en perd son sens de l'humour et Mas est notamment obligé de lui glisser à l'oreille : “Calme toi Bobby, c'est moi qui t'ai appris à pousser”. oem software downloads Malgré son gabarit imposant, la blague ne lui plaisant plus, il demandera à sortir à la 55ème pour pouvoir souffler car “y a Italie Dimanche, LOL”. Drame du recrutement : Debaty pesait 64kg quand il jouait à l'USAP. Dans le combat des toasteurs, Guirado est vraiment chaud du bandeau, il place des charges dans tous les sens et fait avancer l'équipe en permanence. Kayser regarde en attendant que ça passe. Pourtant, sur une touche, 6 minutes plus discount cialis tard, l’homme de loi s’extirpe du maul et aplatit. Le Merdeux transforme et revoilà l’ASM devant à 19-17. A l’heure de jeu, c’est les chaises musicales et tout le monde fait tourner les serviettes. Suite à un hors-jeu, M. Marchat redonne l’avantage à Perpignan 20-19, les consignes de Paul Goze commencent à payer. Les mêlées reprennent un rythme normal et se jouent désormais à « tire sur mon doigt ». Léo décide de châtier un peu le Merdeux et l’envoie servir les pressions à la buvette, personne n’ayant rien vu, tout va bien. Les Clermontois jettent leur dernières forces dans la bataille mais l’arbitre en décide autrement en les sanctionnant parce qu’ils sont hors-jeu ou moches, je sais plus. 23-19, ça sent la fin du match épique, avec un drop foireux de Brock James pour arracher la victoire d’un point. Oui mais voilà, Brock a laissé sa place à David, et David Skrelapapareil. Des renvois de fillette anémiée, des passes Pinder, des barbaplacages, du bonheur. A la pile catalane, le petit Tao a fait sont entrée et il fait du bien. Il roule sur ses adversaires, tombe, repart, petit Tao deviendra gros. Il prouve à tous les petits gros que jouer 20 minutes en top 14 c’est faisable, REP A CA rugby moderne ! Le petit Tao faut pas trop le faire chier en fait. L’ASM reprend du poil de la bête et après que Fofana a failli être enterré vivant par Tchalé Watchou(tchou-tchou), Rougerie n’est pas loin de Planté son essai (blagueinside). Rien n’y fait, le sort s’acharne, une nouvelle pénalité va venir faire gonfler les stats clermontoises. Il reste 10 minutes à jouer, c’est le moment que je choisis pour m’apercevoir que voilà 7 ricards que je n’ai pas gueulé “enculé !” et c’est aussi celui que choisit un streaker pour rentrer sur la pelouse. Le pauvre fait peine à voir, il est habillé, n’a pas de drapeau et n’entre pas pour frapper Chouly le traître, je suis déçu. On approche de la fin du match, tout le monde est tendu, l’ASM met la main sur le ballon et enchaîne les temps de jeu. Ils bénéficient d’une pénalité mal négociée et quelques mètres plus tard, David Mélé (ne riez pas) claque le drop qui va venir sceller la victoire catalane ! Incroyable, 26-19, la victoire est là. Nicolas Mas se précipite vers M. Marchat pour se faire cheap viagra online confirmer le score et laisse éclater sa joie. Aimé-Giral exulte, je m’écroule ivre, Daniel Besson sourit bêtement, les Clermontois sont tombés, à 2 ans et demi près l’USAP gagnait ce soir le Brennus 2010 ! Les joueurs Les Castellers Une 1ère ligne irréprochable en mêlée. Un Guirado dymanité et dopé à l’orgueil. Grand Tao ne cesse de grandir et de produire des performances sorties du cosmos. Une 3ème ligne de chiens avec mention aux 2 flankers. Derrière, très propres en défense, une attaque parfois en manque d’imagination mais rapide en contre. Le salut est passé par les remplaçants qui ont su remettre le facteur sur le vélo. La team cybervulves COUCOU les gars Ils s'en tapent d'avoir perdu parce que demain c'est gratin de courgettes à la cantoche. WebRep currentVote noRating noWeight zp8497586rq
Manu Tuilagi nouvelle star d'une émission de TF1 ? Manu Tuilagi dans le grand bain du petit écran ? Manui Tuilagi éclabousse ta télé ! buy Après Christophe Dominici dans “Danse Avec Les Stars”, c'est au tour de Manu Tuilagi d'être pressenti pour participer à une émission de télé française ! En effet, TF1 lance le 08 février prochain “Splash”, un nouveau programme directement importé des Pays-Bas et qui propose à des célébrités (dont le nom n'a pas encore été révélé) de s'affronter chaque semaine dans un… concours de plongeon ! Alors que Christian Califano avait été annoncé parmi la liste des candidats, ce dernier aurait dû abandonner après avoir crevé en voulant venir jusqu'à Paris avec sa moto du Rallye-Dakar. Il serait à l'heure actuelle perdu quelque part entre Brive et Limoges, tentant tant bien que mal de regagner la civilisation en auto-stop. Et pour le suppléer, la production a souhaité faire appel à un profil similaire, d'où la sollicitation du centre anglais. Remarqué lors de son séjour en Nouvelle-Zélande en 2011, le joueur de Leicester avait fait scandale en plongeant depuis un ferry. Une mauvaise idée qui lui aura coûté une belle amende de 3 000 euros… mais qui a poussé les équipes de la production du programme à le contacter ! Une somme qui pourrait vite se révéler rentable puisque la rémunération est qualifiée de “toulonnesque” selon un proche du dossier. Alors que les négociations avaient mal débutées, les deux parties pourraient finalement avoir trouvé un accord. A noter que la need someone write my paper candidature de Richie McCaw, grand spécialiste du plongeon buy oem software et qui s'est récemmement accordé une “année sabbatique”, a été longuement envisagée avant d'être abandonnée, le champion du monde néo-zélandais ayant la fâcheuse manie de plonger dans la mauvais bassin. Les rumeurs parlent d'un remplacement par un autre sportif, spécialiste du ballon rond cette fois-ci, en la personne de Matthieu Valbuena, d'ailleurs champion du monde de la discipline – catégorie moins de 12 ans. Une double duel Foot/Rugby et Français/Anglais qui pourrait séduire les amateurs de Valeurs®… d'où les efforts de TF1 pour voir les négociations aboutir ! Du côté de la fédération anglaise de rugby, le mot d'ordre est au silence le plus complet. Mais l'annonce récente du forfait du joueur pour le début du tournoi commence à rendre la situation oppressante. Beaucoup n'hésitent pas à parler en coulisse d'une blessure “diplomatique” destinée à lui fournir du temps supplémentaire pour s'entraîner. viagra cheap Une décision qui pourrait créer la polémique outre-manche où le joueur fait figure de star de la sélection nationale. Une sélection qui se serait bien passée de cette affaire et qui, après une tournée d'automne en demi-teinte, espère surnager plutôt que couler lors des matchs à venir ! Paul Impseste de Jobarderie, via notre source anonyme Cyril Zanini. zp8497586rq
Sexton, ton sexe ou les deux ? Le Top 14 est en émoi : Jonathan Sexton aurait signé pour une somme mirobolante, mais on ne sait pas où. Pour te faire patienter pendant que tu cherches sa petite frimousse juvénile parmi les pages remplies de petits bonshommes, voici buy cheap oem software download un questionnaire “Sel et Poivre” à cialis cheapest price la façon du Burger Quiz, ce jeu qui n'a rien à voir avec Schalk. Sexton, ton sexe ou les deux? 1- Excite les filles 2- Quelqu'un est prêt à payer 750 000€ pour que ses amis jouent avec 3- A les bourses bien remplies 4- Joue dans les règles 5- Aime bien les Chandelles 6- A pris le trou 7- Ouvre petit côté 8- Sent un peu mauvais après un match 9- Ne manque pas de pot 10- Tient 80 minutes 11- Est entouré de cons 12- Finira castrais 13- Vise la touche 14- Fait gicler les balles 15- A canadian pharmacy la grosse tête help writing essays Et maintenant, mets tes réponses en commentaires et amuse toi à trouver des questions pour ce petit jeu ! zp8497586rq
Vers une fusion Stade Français – Racing Métro pour la H-Cup ? Les fusions à la mode ! Après l’évocation la semaine dernière par Serge Blanco (président du Biarritz Olympique et président de Ligue Nationale de Rugby) d’une possible fusion entre le BO et l’Aviron Bayonne, les deux clubs parisiens seraient prêts à mettre en commun leurs forces viagra without prescription pour une aventure européenne, selon une source sûre. Malgré la rivalité et les incessantes piques entre présidents, une franchise « Lutecia », évoquée il y a déjà des années par le visionnaire Pierre Salviac, serait ainsi sur le point de naître. L’intérêt du Stade Français, sevré de grands rendez-vous européens depuis quelques années, est évident. Le Racing-Métro 92, quant à lui, peine à s’imposer dans cette compétition, et pourrait trouver chez son homologue quelques joueurs de classe continentale (Parisse, Papé, Bonneval, ou encore Sackey) lui permettant de passer la vitesse supérieure et enfin battre une équipe écossaise. L’entente entre les joueurs et les repères communs sont d'ores et déjà assurés, les échanges entre les deux clubs étant nombreux ces dernières années (Fillol, Bergamasco, Hernandez, Szarzewski, et encore Fillol). Les équipes de design planchent déjà sur les maillots, nous avons pu nous procurer un premier jet : il s’agit d’un maillot très sobre, faits de rayures bleues ciel, blanches et bleues foncées, avec des éclairs roses, les joueurs arborant de surcroît le nœud papillon de la finale 1987. trading forex Selon notre source proche du dossier, de légères tensions autour du choix du stade subsisteraient (chaque club étant attaché à son domicile), mais ce détail pourrait rapidement être résorbé par une domiciliation à Lille : cela faciliterait la venue du public anglo-saxon et assurerait une recette de billeterie non nulle, le public parisien ne se rendant de toute façon pas aux matchs. Damien Testard, envoyé spécial à Paris canadian pharmacy (Rive très à droite) zp8497586rq