Pilou-Pilou : encore des stars

Toulon : Un nouveau duo d’invités prestigieux lancera le Pilou-Pilou lors de la réception de Montpellier.

Dans le cadre de la prochaine réception du Montpellier Hérault Rugby Club, le Racing Club Toulonnais a le plaisir de vous annoncer que le célèbre Pilou-Pilou sera entonné par deux invités exceptionnels.
Après le rappeur Youssoufa, le comédien Charles Berling et les acteurs Mickaël Youn et José Garcia, c’est un nouveau duo qui lancera le cri de guerre toulonnais. Pour redonner à ce chant une légitimité dans le milieu rugbystique et afin de prendre en compte les dernières remarques des supporters du RCT, la grande famille du rugby a été mise à contribution.

Et qui mieux que Marc Cécillon, ancien international français, ex-capitaine du XV de France, pour apporter fougue et enthousiasme dans les travées de Mayol ? Le public féminin ne sera pas en reste car il sera accompagné par le chanteur de Noir Désir, Bertrand Cantat. L’occasion pour ce dernier d’apporter au Pilou-Pilou son timbre de voix si caractéristique et son énergie légendaire. Les deux hommes, qui se sont rencontrés au sein de la prison de Muret, partagent les mêmes valeurs ainsi qu’une indéfectible amitié. Une fois encore, la stratégie de communication du RCT autour de la dimension sociétale des invités se couplera donc d’une contribution à la

generic viagra online

réinsertion de ces derniers. 

Dans un esprit d’apaisement et afin de moderniser le célèbre chant,

buy viagra in uk

la phrase suivante ‘Avec nos femmes échevelées allaitant nos enfants’ sera pour l’occasion modifiée. Les supporters peuvent participer à un grand jeu concours en proposant leur version sur le site rctoulon.com. Le vainqueur aura le privilège de voir sa phrase incluse dans ce Pilou-Pilou unique et donnera le coup d’envoi fictif du match.

Le Président Mourad Boudjellal se réjouit par avance de contribuer à l’ouverture du rugby au-delà de sa sphère traditionnelle d’influence. Loin de toutes polémiques stériles, le Rugby Club Toulonnais participe à la promotion des valeurs du rugby.
L’intégralité de la recette du match sera reversée à des associations luttant contre les violences conjugales.

ventes aux enchères en ligne

Par Pierre-Rick Hunter, envoyé spécial dans le Var.

zp8497586rq

Dakar 2013 : Andy Powell fait le bilan

Il y a une semaine à peine se terminait l'édition 2013 du Rallye Dakar qui, comme son nom l'indique, se déroule dorénavant en Amérique du Sud. Et parmi les courageux à s'élancer sur la ligne de départ, Andy Powell, troisième ligne centre gallois de 31 ans et joueur des Sale Sharks. A noter que c'est le deuxième rugbyman, après Christian Califano, à se lancer dans l'épreuve créée par Thierry Sabine en 1979.

aste on line auto
http://www.panonbelievers.org

 

Un départ compliqué

« Je suis venu ici avant tout pour prendre du plaisir. Je remercie d'ailleurs chaleureusement mon club de m'avoir libéré pendant cette période pour vivre cette aventure extraordinaire » raconte le joueur. L'épreuve a démarré le 05 janvier et a duré quinze jours durant lesquels les concurrents ont successivement traversé le Pérou, l'Argentine et le Chili. Andy Powell s'est élancé dans la catégorie voiture, avec la particularité de prendre place au volant d'une voiturette de golf. « Un handicap évident en termes de puissance mais c'est le modèle que j'ai le plus l'habitude de manoeuvrer » raconte-t-il aux autochtones surpris par le moyen de locomotion original choisi par le Gallois. Une originalité qui ne portera pas ses fruits puisque dès les premiers jours, le joueur est à la peine et termine bon dernier des étapes. Ne voulant pas « se réfugier derrière l'excuse de mécanique », le rugbyman préfère avancer les arguments des erreurs tactiques qu'il a pu commettre. « C'est un environnement nouveau pour moi. On a peu de lieux semblables au Royaume-Uni et la dernière fois que j'ai eu le sentiment d'être aussi seul face à l'immensité du vide, c'était lors d'un match Stade Français – Cardiff à Jean Bouin en 2008. Mais j'ai vite appris de mes erreurs et je me suis senti bien plus à l'aise lors des étape suivantes.»

En effet, lors de la deuxième semaine de compétition, le troisième ligne améliore ses temps et rattrape petit à petit la quinzaine d'heures de retard qu'il a accumulées face à ses adversaires. Il impressionne par sa volonté de fer, finissant notamment une épreuve à pied, portant sa voiturette (dont la batterie était à plat) sur le dos.

 

Une épreuve spécifique pour les voiturettes de golf ?

Le rêve d'Andy Powell prend fin lors de l'ultime étape lorsque, à quelques kilomètres de l'arrivée, il est arrêté sur l'autoroute. « Les flics m'ont demandé de me mettre sur la bande d'arrêt d'urgence et ont procédé à un contrôle de mon taux d'alcoolémie. Il était légèrement positif (NDLR : 3,6 grammes) et j'ai été disqualifié de la course.» Une histoire qui n'est pas sans rappeler la disqualification idiote quelques jours plus tôt d'un concurrent qui n'avait pas son gilet jaune dans son coffre. « Je suis bien évidemment déçu mais j'ai le sentiment du devoir accompli et surtout, d'avoir été au bout de moi-même ». On peut en effet rappeler que lors de sa première participation, Califano avait dû lui aussi abandonner avant de progresser l'année suivante en terminant dernier. « L'année prochaine, je reviendrai, toujours au volant de ma fidèle voiturette de golf et je ferai tout pour accrocher une place honorable. Et j'espère qu'un jour, à la manière de l'épreuve moto ou camion, les voiturettes de golf auront droit à une épreuve spécifique. Bon, je dois vous laisser, je dois déposer Mike Phillips au McDo », conclut-il, philosophe, avant de tracer sa route.

Un tracé du Rallye Dakar spécifique aux voiturettes de golf ? L'idée peut faire sourire mais Andy Powell a fait des émules et touché les organisateurs par son investissement.

viagra online canadian pharmacy

Lorsque nous les avons interrogés sur la question, ils se sont contentés de nous confier « qu'il n'y avait pas de suggestions bêtes et que la question méritait d'être étudiée. Et puis il faut reconnaître que ce mode de locomotion est beaucoup plus sûr pour les populations locales». Une réponse qui ravira sans doute Andy Powell, et qui pourrait donner des idées à Nicolas Mas, qui ne cache aujourd'hui plus sa volonté de participer au rallye Dakar en bus.

Alors qu'avant sa

cheap pharmacy

délocalisation en Amérique du Sud certains annonçaient la mort de l'évènement, l'audace des organisateurs et des concurrents ne serait-elle pas en train de lui donner une seconde jeunesse ?

 Par Paul Impseste de Jobarderie, envoyé spécial en Sousse America.

zp8497586rq
zp8497586rq

Zac Guildford en route vers Toulon !

 

Zac Guildford en eaux troubles

La suite de la carrière de Zac Guildford serait menacée. L'enfant terrible du rugby néo-zélandais, aussi célèbre pour ses essais que pour ses frasques alcoolisées, a peut-être franchi la ligne une fois de trop la semaine dernière. Alors qu'il affirmait ne pas avoir touché à une goutte d'alcool depuis un an,  le jeune ailier des Crusaders aurait pris part à une rixe lors d'une fête organisé à son domicile, alors qu'il était encore une fois complètement

winstrol tablets

ivre. Un énième incident qui a provoqué l'ire de la NRZU. La fédération néo-zélandaise pourrait en effet décider de mettre fin à son contrat… l'entraîneur des Crusaders, Todd Blackadder, semble également ne plus croire en son joueur : « Quand les faits seront rendus publics je pense que tout le monde réalisera qu'il y a un problème plus profond ici… il ne s'agit plus de rugby. Il doit se faire aider, au delà du sport, pour remettre les choses à l'endroit dans sa vie personnelle. Son comportement lui nuit, mais nuit aussi aussi à sa famille et à l'image du rugby »

A 23 ans seulement, la carrière de Guildford pourrait donc être terminée… du moins, dans l'hémisphère sud. 

 
Un nouveau départ…. à Toulon ? 

On le sait, Mourad Boudjellal recherche actuellement deux joueurs supplémentaires pour compléter son effectif, qu'il considère comme trop limité pour s'assurer du maintien en Top 14 à la fin de la free car insurance quotes saison. La piste Shane Williams, qui avait été évoquée un temps, semble s'être refroidie. Le légendaire ailier gallois (87 sélections, 59 essais) a bien rencontré le staff toulonnais il y a quelques semaines. Malheureusement, sa visite médicale se serait soldée par un échec suite à l'épreuve

cheap viagra online

de l'alcootest : « Il n'avait pas un gramme d'alcool dans son sang. On avait déjà fait une exception avec Jonny (Wilkinson, ndlr) il y a quelques années, mais c'était un cas particulier… de toute évidence, Shane n'avait pas le profil pour nous rejoindre. », a confié Boudjellal au New Zealand Herald.

Le profil de Zac Guildford, justement, a de quoi séduire l'ambitieux président du RCT, qui n'est pas effrayé par la réputation de l'enfant terrible du rugby néo-zélandais. « Un type qui entre à poil dans un bar, le visage ensanglanté, et qui commence à taper sur des vieux, ça ne me choque pas. C'est une scène de vie quotidienne à Toulon. C'est presque une façon de se dire bonjour ici. S'il vient, je pense justement qu'il pourra être lui-même et s'épanouir dans son jeu et sa vie personnelle… ».

Boudjellal a également déclaré qu'il était prêt à aider Guildford à se reconstruire psychologiquement. Pour cela, il compte sur l'expertise de Marcel Rafu. Le célèbre pédopsychiatre, également écrivain, animateur télé, chroniqueur sur la Boucherie Ovalie et égérie d'une marque de teinture, s'était déjà occupé du cas Bastareaud l'année dernière. Avec des résultats impressionnants : « Mathieu a complètement changé. Au bout de 6 mois, il avait troqué ses albums de Sexion d'Assaut contre la discographie complète de Céline Dion. Terminé les expéditions punitives au KFC : désormais, Mathieu calque son régime alimentaire sur celui de Jonny Wilkinson, il ne mange que des graines et de l'écorce d'arbre. Cela se ressent dans ses performances. Même humainement, il progresse : je l'ai entendu faire une phrase en parfait français après la fin du match contre Cardiff ».

Optimiste quant à la venue de Guildford, Boudjellal a d'ailleurs annoncé que Bastareaud devrait accueillir Zac Guildford en colocation, en attendant que le Kiwi ne trouve un appartement sur la Rade. « Ce sera parfait pour lui. L'appartement de Mathieu est très bien agencé, les meubles sont très espacés pour éviter tout accident en fin de soirée. J'ai déjà prévenu les frères Armitage, David Smith et Joe Van Niekerk, qui comptent lui faire visiter tous les stripclu… monuments de la ville. Vraiment, je pense qu'il sera comme un poisson dans l'eau ici. Même si l'eau, il connait pas trop ».

Un formidable message d'espoir qui nous démontre que chacun peut avoir une deuxième chance, et même une troisième parfois.

buy an essay

Hervé Lantier, grand reporter pour la Boucherie Ovalie.

zp8497586rq

Les Bouchers du cinéma : Les Survivants (1993)

Un film sur des rugbymen cannibales… la Boucherie ne pouvait pas passer à côté.

 

Par SACA Merde,

C’est son premier article, alors on lui a demandé de se présenter brièvement : « Bonjour, je suis un supporter du Stade Aurillacois. Je pense que je peux rien faire de plus drôle que cette phrase. ».

Merci à lui. 

 

Les Bouchers du cinéma – Les Survivants (E-U, 1993)

neige

Un film plein de neige et de bons sentiments, c’est forcément un film de Noël.

 

« On est toujours gêné pour donner des nouvelles de son meilleur ami quand on en a mangé soi-même. Aussi tous les hommes raisonnables préfèrent-ils manger du homard. »
Alexandre Vialatte

 

Ce film relate l’acte fondateur de la Grande Tradition Cannibale du rugby uruguayen. Rappel des faits : hiver 1972, une équipe étudiante de Montevideo se déplace (en avion) pour un match amical au Chili. Rien que ça, déjà, c’est marrant. Mais, depuis l’Aéropostale, nous savons que traverser la Cordillère des Andes en avion, c’est une idée à la con. Ce qui devait arriver arriva, l’avion se crasha, l’Uruguayen mourut -majoritairement- et survécut aussi un peu (à hauteur de 34 % environ), d’où le titre du film – ou comment spoiler la fin avant même visionnage. Avec le petit plus de la maison : les seconds bouffèrent consciencieusement les premiers. En 1993 sort donc ce film américain, à propos d’étudiants rugbiteux sud-américains des 70’s. Donc on sait déjà aussi qu’il y aura du brushing.

lemoine

Pablo Lemoine (à gauche du chauve, Christophe Moni), le plus illustre représentant de la vernaculaire tradition du rugby uruguayen dans nos contrées : « Toi, yé té manyérait bien lé coule ! » (à comprendre au sens littéral).

 

Si on sait déjà que le film se terminera bien, il débute mal : par une soirée diapo nous montrant des images d’époque des joueurs durant un match. Ce seront d’ailleurs là les seules images directement liées au rugby. Puis l’un des vrais survivants du crash enchaîne avec un point valeurs© mystiques. Le ton est donné, violons & bondieuseries seront notre lot. Les deux heures de film peuvent démarrer, on sait déjà tout, ça s’annonce un peu long. On commence donc, dans l’avion, où nos sympathiques rugbymen festoient comme il se doit.

avion

« Bienvenue à bord du vol Montevideo-Santiago. Les issues de secours se situent à l’arrière de l’appareil. »

 

On se fait des passes, on fume des clopes, on se chamaille, on fait du bruit, bref, l’on est étudiants. On porte aussi des petits pulls col en V charmants, ce qui, appuyé par un doublage calamiteux, leur donne à tous l’air de ne pas avoir d’orientation sexuelle bien définie. Le temps est fort mauvais, et un raté des pilotes (on ne vole pas en rase-motte en montagne, ça parait évident dit comme cela, et pourtant…) les fait percuter une crête et pulvérise la queue de l’avion. Ce qui a le mérite de faire fermer leurs gueules aux gonzes. Puis c’est le crash à proprement parler, certains meurent, d’autres non, tout ça, tout ça.

Le casting s’est allégé, on peut donc commencer à faire connaissance avec les personnages. Deux enseignements se font jour :

  • Contrairement à son homologue argentin, le rugbyman uruguayen s’appelle peu Juan.
  • Vu les carrures des survivants au crash, il ne fait pas bon être 1ère ligne dans ce genre de circonstances. Ou alors le casting est foireux aussi. Faites votre choix.

Parce qu’il est étudiant en médecine, le personnage de Roberto est le premier à se mettre en valeur. Avec sa gueule d’agent Dale Cooper du pauvre, sa coupe mulet et son regard de cocker dépressif qui vient de subir une tournante, il est assez vite agaçant. Durant tout le film, il sera le leader charismatique qui prend toujours la mauvaise décision, mais que tout le monde suit quand même – une sorte d’Aurélien Rougerie, quoi- sauf Nando.

roberto

Roberto pendant le crash : « Sortez les blessés, les bras cassés ! »

Facile à dire, à Bayonne, ça fait 30 ans qu’ils essaient.

Mais Nando est dans le coma pour le moment. Il en sortira 3 jours plus tard, par la grâce d’un vin uruguayen aux vertus revigorantes (c’est-à-dire que ça réveillerait un mort), malgré sa propension à provoquer des fissures intestinales spatio-temporelles (autrement dit, il y a plus de choses qui sortent du corps que ce qu’il y rentre. Le mauvais vin rouge, des sensations pures). En se réveillant, Nando nous dévoilera vite sa personnalité : merdeux, grande gueule, retors, mais le brushing toujours impeccable, pas de doute, c’est le numéro 9 de l’équipe. Puis, il nous dévoilera ses vices : après être le premier à émettre l’idée de bouffer les morts pour avoir une chance de survie, il désire dormir avec le cadavre encore chaud de sa sœur. Flippant. Mais une fois ses fantasmes morbides effectués, il militera pour se casser de là, et rejoindre le Chili à pied, vu que les équipes de secours ont décidé de pas en branler une, et de laisser les rescapés pour morts.

oyonnax

Attention Top 14, les matches en hiver à Oyonnax, c’est quelque chose.

 

Mais en attendant, il se passe des choses. Par exemple, afin de faire fonctionner la radio, Roberto décide de retrouver la queue de l’avion car, je cite : « Les batteries sont dans la queue », comme dans chaque homme normalement constitué. S’en suivra une expédition ratée à la recherche de la queue. Pour toute analyse freudienne, consultez de préférence une personne compétente en la matière.

Et bien d’autres épisodes arrivent

cialis sale

pour meubler. Lors du retour de la première expédition-queue (appelons-la comme cela), un instant luge à peu près aussi utile qu’une attaque de trois-quarts écossaise. Ou bien cette scène d’avalanche (faut dire qu’ils n’arrêtent pas de beugler en tout sens depuis déjà quelques semaines, en haut d’une montagne enneigée en plein hiver, rien d’imprévisible là encore), en caméra subjective dans ladite avalanche (j’ai failli vomir, moi), cette fois aussi efficace sur le casting qu’un plan social sur l’emploi ouvrier dans les bas-fonds de la Lorraine, ou plus simplement, qu’un raffut de Gorgodze sur Andreu. Bref, après ça, ils sont beaucoup moins nombreux.

how to learn american sign language

péclier

 

À Bourgoin, il n’y a vraiment plus d’argent. Ici la réception en l’honneur des 53 ans de carrière d’Alexandre Péclier.

Vienent alors les scènes de cannibalisme à proprement parler. Notons dans un premier temps que les vivants qui bouffent les morts, c’est un changement salutaire par rapport au retour en force des films ou séries de zombies. Nando prouve une nouvelle fois à quel point il est malsain, puisque, s’il refuse de manger sa sœur, ça ne semble pas lui poser de problèmes de manger sa mère elle aussi morte dans le crash. Notons enfin que vu que le n°9 de l’équipe a survécu, s’ils peuvent manger des tripoux de deuxième ligne ou du jarret de pilote alcoolique, il n’y aura pas de magret de connard au menu.

_____________________________________________________________________________________________

Pour parler de cette partie du film, laissons à un spécialiste de la gastronomie et du rugby, j’ai nommé chef Constant, le soin de donner son avis d’expert :

constant

« Déjà, un mot sur la philosophie des plats. Roberto a choisi de mettre en valeur le produit brut, cru ou juste à la plancha. Bon, ça pourquoi pas, même si j’aurais préféré un peu d’assaisonnement, avec une bonne sauce. Mais juste le produit brut, il ne faut pas utiliser de surgelés ! Ou à la limite, pour de la viande de pilier, ça l’attendrit. Mais pour du ¾ centre ! C’est sacrilège ! Et puis, il y a les pièces choisies. Il s’attaque directement à la croupe. Ok, c’est la partie la plus grasse. Personnellement, je serais plutôt allé voir du côté des abats : de la moelle de talonneur ! De la joue de flanker ! De l’andouille d’arrière ! De la langue d’entraîneur ! Des rognons de deuxième ligne ! C’est des beaux produits, tout ça. Rustique et goûteux, tout ce que j’aime.
– Hum, merci chef.
– Ou du naseau de dirigeants ! De la sanguette de soigneur cuite dans son éponge !
– Oui, bon, ta gueule maintenant.

Le petit + de Roberto : « Pour de la croupe d’ouvreur, couper la viande en fines tranches, et la faire griller à feu doux pour en préserver tout l’arôme. »

_____________________________________________________________________________________________

 

Une fois que tout le monde a repris des forces, et que le temps se radoucit le printemps arrivant, Nando, Roberto & un larbin quelconque partent enfin pour rejoindre le Chili à pied. Il reste ½ heure de film, avec juste de la randonnée, ça ne s’annonce toujours pas passionnant. Même rythmé par ce boute-en-train de Roberto, qui ne regarde pas où il va alors qu’il marche sur une crête enneigée à 3000m d’altitude. Ou qui veut faire demi-tour alors que trois cols ont déjà été escaladés. Finalement, seul le larbin fera demi-tour pour avoir le droit de manger de la sœur de Nando. Petit chanceux, va.

Et puis bon, la fin on la connait déjà. Ils sont tout contents quand ils arrivent enfin au Chili (ce qui était politiquement parlant

order viagra

mauvais signe, en 1972). Les secours retrouvent enfin les rescapés grâce aux indications de Nando & Roberto (tous ces acteurs jouent très mal la joie, soit dit en passant). Les survivants ont passé trois mois coincés dans une montagne avec quasi rien pour survivre (la belle affaire, j’ai bien vécu 20 ans dans le Cantal, moi !).

C’était pas très bien, comme film. Comme à chaque fois qu’un cinéaste essaie d’être à la fois réaliste et metteur en scène, les deux points de vue s’opposent au final, et s’annihilent l’un l’autre. En ce sens, ce fut un précurseur de la vague de biopic de sinistre mémoire des années 2000. Le sujet était pourtant intéressant. Mais la propagande cul-bénie, merci bien. Au lieu de plaindre les héros, et de vouloir qu’ils s’en sortent, eh bien, on se fout juste de leur gueule, ce qui n’est pas très gentil. Les vrais Roberto & Nando ne méritaient pas ça.
Après, encore une fois, le doublage calamiteux (pas trouvé en V.O. sous-titrée) n’aide pas à apprécier le film. Mais permettez-moi de douter que ce soit bien meilleur en V.O.

 

Vous aimez le rugby ? Visiblement les réalisateurs de cinéma, eux, non. Retrouvez également nos critiques de :

Le Fils à Jo, la critique de la honte qui a généré plus de 100 commentaires indignés. (par Ovale Masqué)

Sye, le rugby version Bollywood (par Marcel Caumixe)

Forever strong, le teen movie mormon où l’on fait le haka sur des campus américain (par Marcel Caumixe)

Fumoffu ! rien à voir avec Julien Caminati, il s’agit d’un anime japonais (par Damien Try)

berkeleyunicycling.org

Invictus, c’est pas parce que c’est Clint Eastwood qu’il faut pas dire que c’est de la merde (par Ovale Masqué)

zp8497586rq
zp8497586rq

Le Menu du week-end du 21 au 23 décembre 2012

Recevoir le menu après avoir mangé l’entrée, c’est innovant, c’est la Boucherie Ovalie.

Tous les vendredis (bon ok ce coup-là c’est samedi, mais bon vous allez pas faire chier), Man’s vous mijote une rubrique qui vous permettra en un coup d’œil de savoir quelles seront les réjouissances ovales de votre prochain week-end. En raison de son teint rougeaud lié à son taux d’alcoolémie élevé et son humour médiocre, Man’s est d’ailleurs surnommé « le mi-drôle rouge ».

Le miracle de Noël va-t-il s’accomplir ? Par un hasard miraculeux, les affiches de ce week-end pré-empiffrage nous proposent uniquement des rencontres entre des petites équipes qui reçoivent des ténors du barreau revenus glorieux et fourbus de leur campagne européenne (sauf Toulouse bien sûr). Une sorte de repos du guerrier, comme Cléopâtre accueillant César au retour de sa campagne contre ses opposants romains emmenés par Pompée le grand. Dans les deux cas on peut dire qu’il s’était fait Pompée. Voila, c’était la minute culturelle de cette chronique.

Donc les “petits” : Bègles, Grenoble, Perpignan, Stade Français, Bayonne et Agen, reçoivent les “gros” Montferrand, Toulouse, Montpellier, Biarritz, Mont-de-Marsan et Toulon. A priori on peut se demander ce que fait Mont-de-Marsan avec les ténors, mais la place de Bayonne avec les mal-classés n’est pas usurpée vu leur niveau de jeu. Et d’aucun vont me reprocher de dénigrer Grenoble qui est 6ème au classement. C’est simplement que je suis convaincu qu’avec un Coujou aux commandes les Biarrots vont vite se replacer dans le bon wagon. Et puis il faut compter sur l’effet “Que vous sers-je ?” Blanco.

VENDREDI (mais vous vous en foutez c’était hier)
Bègles – Montferrand (C+Sport – 20h45)

Les Rapetous saluent Olivier Mallard
Les Rapetous saluent Olivier Mallard


Après le triomphe tout en maîtrise et puissance des Montferrandais au Leinster on peut craindre pour la bande à Ibanez. A moins que Cotter fasse tourner pour laisser quelques cadres au repos. C’est vrai qu’avec Skrela en 10 tous les espoirs seraient permis aux Bordelais…

SAMEDI

Grenoble – Stade Toulousain (Canal+ – 15h00)

Là ça risque d’être plus disputé, entre un Grenoble aux ambitions et jeux accomplis (c’est marrant j’ai toujours eu ce pressentiment que le Stade Français avait fait une vraie connerie en laissant partir Fabrice Landreau. Je suis persuadé que ce type-là va faire un grand entraîneur), et Toulouse dans le doute après sa défaite aux Ospreys. Après une semaine de Guytou en stéréo dans le casque les Rouge et Noir vont arriver remontés. Par ailleurs je me demande ce qui justifie la décision de laisser partir Virgile Lacombe. Quand on voit les lancers de

viagra online

Tolofua, et l’effectif toujours réduit au poste de talonneur, l’attitude du staff est quelque peu étrange. Faut dire que visiblement ils auraient préféré faire jouer le chauffeur du bus que Lacombe, mais pourquoi l’ont-ils donc fait revenir ?

Castres – Racing (Rugby+ – 18h30)

Moi je mettrais un billet sur un étripage des banlieusards par les Castrais qui se sont super bien sortis des deux week-end européens. A priori en plus les Racingmen sont perturbés par la future venue des Lolo tarnais, il y a au moins une justice, c’est le club qui a enfreint les règles des mutations qui se trouve pénalisé.

USAP – Montpellier (Rugby+ – 18h30)

Après avoir humilié Perpignan en recrutant leur joueur emblématique, manquerait plus que les Héraultais gagnent à Aimé Giral et enfoncent encore plus le club dans la crise.

Stade Français – Biarritz (Rugby+ – 18h30)

Bon anniversaire Krusty
Bon anniversaire Krusty

Comme dit le proverbe corrézien, mieux vaut un Faugeron qu’un faux jeton. Le Bého va commencer sa remontée fantastique qui les amènera aux portes de la finale. Je serai le premier à vous l’avoir dit.

Bayonne – Mont de Marsan (Rugby+ – 18h30)

Le choc de la journée, le crunch, le derby, le match qui fait vibrer les foules et ranime la guéguerre basco-landaise. Une orgie de jeu en perspective et, vrai signe de la fin du monde qu’aura pas eu lieu puisqu’on sera déjà le 22 : Joe Rokocoko va marquer son 1er essai en top 14, récompensant ainsi tous les espoirs placés par Alain Afflelou. Ce qui n’empêchera les Montois ne s’imposer, déclenchant ainsi un exil du même Afflelou vers l’Angleterre.

La fin du monde n’aura pas lieu : mais Rococoko va marquer un essai en top14
La fin du monde n’aura pas lieu : mais Rokocoko va marquer un essai en top14


Agen -Toulon (C+Sport – 20h40)

Mauvais temps pour les Agenais, qui pourront juste compter sur un trop plein de confiance ou de suffisance des Varois après la branlée administrée à Sale. Note à l’attention de Mourad Boudjellal : merci de bien vouloir mettre plusieurs Var Matin sur les sièges de Mayol pour le prochain match. A la 60ème on n’avait plus de papiers à lancer pour faire comme à Boca Juniors. J’en ai vu, pris dans l’enthousiasme, qui lançaient des liasses de billets pour fêter le 9ème essai inscrit. Bon en même temps, à Toulon, quelque chose me dit que c’étaient des faux talbins…

Maillol en folie
Mayol en folie


Pour les amateurs de #rugbyvrai, notons que Eurosport propose Oyonnax-La Rochelle à 18h15 samedi, et Sport+ Tarbes-Lyon dimanche à 15h00 et Brive-Béziers à discount pfizer viagra 17h00. Une journée qui devrait permettre

generic viagra for sale

au Coujoupower de se replacer dans les 3 premières places, et de passer devant La Rochelle.
Bonne dégustation.

NB : la semaine prochaine j’assurerai pas l’intendance, démerdez-vous pour les horaires, achetez TéléZ, tout y est et les vannes sont plus drôles. Joyeuses fêtes.

Le Menu du week-end du 14 au 16 décembre 2012

Et pour fêter ça, une toute nouvelle bannière (de Bigorre)

 

Tous les vendredis, le TéléraMan’s vous permet en un coup d’œil de savoir quelles seront les réjouissances ovales de votre prochain week-end.

C’est chouette, cette semaine, les organisateurs ont prévu le même programme de match que la semaine dernière, mais à l’envers, ce qui fait que je gagne du temps pour écrire ce menu. Du coup je pensais travailler le fond, faire une analyse approfondie des enjeux, des états de forme, des blessés, des ambitions de chaque club. Et puis j’ai vu que y’avait Didier à la télé, et toutes mes bonnes résolutions se sont évanouies… Par contre, en accord avec la ligne éditoriale de ce site, j’ai décidé d’enrichir cette chronique de pronostics avisés qui vous permettront de gagner facilement un peu d’argent sur BetClic. Je prends 10% seulement.

Sinon ce week-end pas besoin de faire plaisir à la minorité silencieuse : pas de tournoi de 7 de prévu. 

Avez-vous pensé à commander votre étui IPhone ? (Garanti fabriqué par des enfants pakistanais)

 

VENDREDI : 

Biarritz – Connacht (C+Sport – 20h45) : 

Apparemment les gars de Canal + Sport se sont régalés devant le piètre spectacle proposé vendredi soir dernier par les Basques, et ont donc fait rebelote en choisissant le même match. Ou alors c’est peut-être Serge Blanco, le deus ex-machina de la FFR/LNR qui a exigé de passer en prime-time. Opération rédemption pour Biarritz qui va tenter de rester Connachter au peloton des qualifiables. Euh… non en fait c’est cuit, il leur reste juste à sauver la face (et celle de leurs entraîneurs, ou pas, on parle d’un Coujou pour sauver la patrie, c’est notre vocation).

Pronostic : à lèvres.

Edimbourg – Racing (Sport+ – 20h55) :

Super vendredi soir… Vous avez le choix entre la peste ou le choléra.

Pronostic : et puce

Et ce magnifique badge que même les Castors Juniors nous envient ?

 

SAMEDI :

Rugby à 7 : un tournoi dans un lieu improbable: Cambrai? Ouarzazate? (MaChaîneSport – 6h45)

Ah ben si en fait, y’a encore du 7. Je dédie donc cette programmation à La Goube, le rugby coule dans Seven, à ce garçon.

Ospreys – Toulouse (C+ – 14h35) :

Toulouse a joué

buy cialis pills

le match aller sur 2 cylindres, le 1er quart temps et le dernier, en faisant une profonde sieste entre les deux. Là va falloir se bouger un peu pour ramener de chez les Ospreyshiculteurs une victoire si possible bonnifiée. Ça va pas être simple privés de MacAllister, Fritz, Poitrenaud, Bip-bip, Donguy et Beauxis (c’est con pour une fois il aurait pu servir à quelque chose)

Pornostic : Roco Siffredi

Leinster – ASM (F2 – 16h40) : 

Après le match énorme en défense qu’ont accompli les Jaunards dimanche dernier, on peut quand même craindre pour eux que ça ne soit pas suffisant pour ramener un résultat positif de Lansdowne Road. Pour ma part, je n’ai pas trop compris pourquoi les Clermontois n’ont pas tenté la pénaltouche sur la dernière pénalité à la sirène, il aurait été intéressant de priver les Leinstermen du bonus défensif, non ? Bon OK ils auraient pu aussi se prendre un retour de manivelle avec un essai de 100m dans les gencives. C’est le problème avec les Jaunards, ils manquent de panache… (Ne m’insultez pas, c’est de la jalousie).

Pronostic : yHolgado.

Montpellier

– Cardiff (Sport+ – 18h55) :

Mine de rien les Montpellieronnais restent dans la course pour la qualification, dans l’ombre de Toulon qui ravage tout. S’ils passent l’écueil de Cardiff, ils pourraient jouer la qualification chez eux, contre Toulon justement, lors de la dernière journée. Cependant ça risque d’être un peu juste pour être meilleur deuxième vu qu’il n’y a pas d’Italiens dans la poule. Bon, de toutes façons il faut laisser le temps au temps, on ne va pas tirer des plans sur la comète alors que la fin des poules de HCup a lieu dans plus d’un mois, d’ici là de l’eau sera passée sous les ponts, et c’est à la fin de la foire qu’on compte les bouses. Là tout de suite je n’ai plus de poncifs à ajouter pour meubler.

Pronostic : no cry

DIMANCHE : 

Castres – Glasgow (Canal+Sport – 13h30) :

Le week-end dernier les supporters tarnais râlaient parce que le match du CO était le seul à n’être pas diffusé. Vu le score (magnifique victoire castraise 9 à 6) on ne peut que féliciter les programmateurs de nous avoir épargné cette purge même pas digne d’un vendredi soir. Bon là faut vraiment être dépressif ou habitant de Bout du Pont de l’Arn pour suivre ce match.

Pronostic : Bellino dans la 3ème


Le Tee-Shirt hommage à BastaRocket (et à celui qui l’a à chevet) : tellement tendance.
Le Tee-Shirt hommage à BastaRocket (et à celui qui l’a à chevet) : tellement tendance.

 
Toulon – Sale (F2 – 15h50)

Pendant que vous supporterez les blagues à deux balles de Mathieu Lartot et la réalisation catastrophique de Jean-Marc Lhénoret à base de ralenti pendant les touches ou les renvois, de plans larges pris d’hélicoptère et de gros plans sur le ballon, sans oublier le zoom règlementaire sur Daniel Bilalian en tribune, pour se faire bien voir par le chef. Pendant donc que vous subirez tout cela je jetterai des papelitas dans un Mayol en folie après m’être gavé de foie gras et de champagne en loges. Comme j’ai un côté caméléon je me fondrai dans la foule des fadas de Mayol, sifflerai les buteurs adverses, traiterai l’arbitre d’enc… pour respecter les traditions. Côté match ça va être une Boucherie, j’annonce un bon 40 points dans la musette pour les Salois qui vont se faire Sharkuter à l’ancienne.
Pronostic : Parce que Toulon !

Bonne dégustation.

Le menu du week-end du 8 et 9 décembre

Et toi, qu’est ce que tu vas regarder ce week-end ?

Là-bas, au Connemara, on dit que la vie, c’est une folie, et que la folie, ça se danse.

 

Le Menu du week-end du 7 au 9 décembre 2012.

Tous les vendredis, Man’s vous mijote une rubrique qui vous permettra en un coup d’œil de savoir quelles seront les réjouissances ovales de votre prochain week-end.

Youpi tralala ! Revoilà la HCup, elle reparait dans ce grand tourbillon d’automne qui secoue le calendrier comme le vent friponneux dans les branches affaiblies des marronniers hagards, et mélange avec bonheur les compétitions de club et les matchs internationaux, dans un grand maelström (la maman de Rocky) de jobardise calendaire. Il faut donc se replonger, après un bref interlude domestique, dans une compétition européenne qu’on avait presque oubliée.
Résumons-nous : pour faire court, il y a deux sortes d’équipes françaises engagées dans cette HCup 2012/2013 : celles qui doivent impérativement l’emporter pour ne pas être décrochées, et celles qui doivent impérativement l’emporter online pharmacy viagra accepts paypal pour faire un grand pas vers les 1/4 de finale. Dans le 1er chapeau (patapo) on trouve : le Racing, le BO, le CO et Montpellier, tous crédités d’une victoire à domicile pour une défaite à l’extérieur, donc toujours en piste mais sur le fil. Dans le 2ème chapi (patapi) : les cadors (qu’on retrouve toujours aux belles places, nickel) : le plus grand club de tous les temps (Toulouse, suivez !), la Nouvelle Star (Toulon) et les Jaunards.

VENDREDI

Seven World Séries (MaChaîneSport – 8h30)
Voila plusieurs semaines qu’un dénommé « la Goube » me reproche de ne pas annoncer les compétitions de 7 dont il semble être accro. Après avoir répondu que c’était un sport de gonzesses pour éloigner finement le demandeur, je me suis documenté sur le susnommé, qui, d’après sa photo et son

buy cialis

pedigree sur twitter, s’est révélé être aussi épais que bestial. Donc je m’exécute. J’ai même essayé de m’abonner à machine sport, mais je n’ai pas trouvé à qui m’adresser.

Apprenons la géographie irlandaise avec la Boucherie

Connacht – Biarritz (C+Sport – 20h45)
Merci à la programmation de l’ERC qui nous permettra de céder sans trop de remords à la vindicte familiale en laissant le reste de la famille regarder Koh-Lanta, tant ce match se présente comme peu alléchant et intéressant. Un vrai match du vendredi soir, dans un stade rural et lessivé par la pluie, devant un public clairsemé mais assez connaisseur pour jeter sa bouteille de Guinness sur les joueurs basques. Le pire c’est que Saint-Yach est capable de donner la victoire à son club d’un drop merdique à la dernière seconde. Notre envoyée spéciale en Roux-manie, Célÿne, nous précise cependant que ça se prononce Konakt, même si ça s’écrit Connacht, que le club est domicilié à Galway et que l’avortement n’y est pas autorisé, ce qui prouve le niveau d’avancement intellectuel des Connachiens et Connachiennes.

SAMEDI

Toulouse – Ospreys (C+ – 14h35)
« Ospreys de ma blonde, qu’il fait bon fait bon fait bon ! » Ballade de santé pour l’empire capitolistique, selon le terme cher à notre grand gourou Ovale Masqué. Une partie de rigolade, une balade de santé, un aimable divertissement pour la bande à Guytou. On assistera d’ailleurs à une première délocalisation à

buy generic viagra

l’envers puisque le match qui n’intéresse personne se déroulera sur le terrain municipal flambant neuf de Castanet-Tolosan.

Homme blanc coupe du bois, hiver sera rude

Sale – Toulon (F2 – 16h30)
Les Salois ne doivent pas avoir beaucoup d’arguments à faire valoir pour vendre ce match à leurs propres supporters, puisque le club a mis une splendide bannière consacrée à Jonny Wilkinson en une de son site internet. Au passage on peut noter que, outre les joueurs un peu connus comme Danny Cipriani, Mark Cueto, Richie Gray, Johnny Leota ou Andy Powell, il y a aussi dans l’effectif des joueurs au nom rigolo comme Vadim Cobilas (aucune ressemblance cependant avec l’ex à BB), Charlie Ingall (qui doit envoyer du bois) et Corne Uys (qui a pour particularité d’être religieux orthodoxe). Bref on va se marrer si ces types-là jouent. Par contre les Varois vont moins rigoler car ça a quand même l’air solide. Et même si Sale a perdu un match, on peut dire que Montpellier a eu la chance de rencontrer Sale tôt, avant.

Racing – Edimbourg (C+Sport – 18h50)
Après une victoire magnifique dans le derby parisien qui a enchanté le Stade de France, bien illustrée par l’excellent reportage d’Ovale de Grâce qui en sommeille encore, le Racing serait bien inspiré de doubler la mise par une victoire primée sur les Ecossais.
Vivra-t-on un remake du match de l’an dernier qui avait vu les ciel et blanc se faire taper 24-27 après avoir eu le match largement en main?

DIMANCHE

Pour pallier le départ de N. Mas, l’USAP envisage de rappeler la vieille garde

Cardiff – Montpellier (Sport + – 13h40)
On savait que Montpellier prenait de plus en plus le leadership de la région Languedoc-Roussillon, cette fois c’est confirmé après l’humiliation qu’a fait subir le staff montpelliérain à son homologue catalan en débauchant Nicolas Mas le joueur emblématique des sang-et-or. Avec ce dernier contrat on peut l’affirmer haut et fort : Nico l’amasse.

ASM – Leinster (F2 – 16h00)
Je ne suis pourtant pas fan des Jaunards, loin de là, mais c’est THE match of the fin de semaine, le crunch, le choc, la revanche de la demi bordelaise de l’an dernier où les vrais supporters et le Fofana ont manqué la qualif d’un doigt.

Glasgow – Castres (euh… ben non en fait)
Pour faire plaisir aux supporters castrais, que la Boucherie Ovalie brocarde régulièrement, je m’insurge devant la façon scandaleuse avec laquelle est traité le club du Taaaarn sur le plan médiatique. Ben oui mais les gars, Revol avait qu’à rester président de la ligue, faites-le revenir, Revol-ver !

Ça n’a rien à voir mais j’ai trouvé ça aussi sur le Connacht, Biarritz devrait rentrer dans leur défense comme dans du beurre.

Pau – Lyon(Sport+ – 17h55) et La Rochelle – Brive (Eurosport – 18h30)
Pour les amateurs du rugby vrai, de la compétition ultime, du combat de gladiateurs loin des paillettes et dans la boue jusqu’au cou.
Seven world tour people zden de Port Elizabeth (MaChaîneSport – 20h30)
Il est vraiment costaud, ce type sur twitter, alors j’en remets une couche pour assurer ma tranquillité. La Goube est pleine.

Bonne digestion.

La boutique des horreurs de la Boucherie ouvre ses portes

Argent je t’aurai, avec ta couleur bizarre.

 

Chers bouchers, chères bouchères,

Après le succès de notre tout premier

essay writing services

ticheurte « Les Valeurs du Rugby », l’idée de créer une vraie boutique Boucherie Ovalie nous est vite venue à l’esprit. Nos cerveaux malades regorgent d’idées prêtes à révolutionner le monde de la mode, et nous avons hâte que vous puissiez porter nos créations les jours de match, ou même au boulot, ou encore dans viagra super active uk un dîner en famille en présence de Guy Novès.

Mais l’expérience de la vente du ticheurte des Valeurs © nous a aussi permis de nous rendre compte que gérer des commandes, des stocks et des centaines d’envois de colis, pour les amateurs-branleurs éparpillés aux 4 coins de la France que nous sommes, ben c’est un peu chaud. Nous avons donc opté, pour notre nouveau projet, pour le site bien connu Spreadshirt.

 

Mais non Jean-Baptiste ! 

Nous avons commandé puis testé nos nouveaux modèles sur des cobayes (bon sur le Stagiaire, en fait), et personne n’a attrapé de MST, ou n’a subit une combustion spontanée au contact des ticheurtes. La qualité du tissu, quant à elle, est plus que respectable pour des gens n’ayant pas l’habitude de s’habiller chez Serge Blanco. Les prix sont abordables : même qu’on ne touchera quasiment rien sur les ventes (vous pouvez facilement vérifier). Bref on ne vous arnaque pas et avec ce qu’on va amasser, on risque encore de se bourrer la gueule à la vodka leader price, tu sais celle qui sent comme ta mémé après qu’on l’ait embaumée. Les délais de livraisons sont d’à peu près 10 jours ouvrables

Voici les premiers modèles que l’on vous proposera sur la boutique, qui sera régulièrement alimentée :

 

Pas mal non ? C’est français (de notre graphocontrepéteur Marcel Caumixe, pour être exact)

Magie des boutiques sur internet, ces ticheurtes sont disponibles dans plusieurs couleurs différentes, pour les filles et les garçons, et dans toutes les tailles possibles : de Romain Teulet à Census Johnston, chacun trouvera son bonheur. Nous vous proposons également quelques goodies parfaitement inutiles (badges, coques de protection pour téléphone onéreux ayant une pomme pour logo, et peut être quelques autres bidules à venir). Mais nous vous laissons découvrir tout ça par vous-même sur la boutique.

Et pour ceux qui voudraient encore se procurer le ticheurte les Valeurs du rugby, sachez que l’on devrait bientôt le remettre en vente sur cette même plateforme, et pour un prix moins élevé que l’original. Elle est pas belle la vie ?

Voilà, c’est tout ce que vous avez besoin de savoir pour le moment. Pour visiter la boutique, c’est par là. Vous pouvez également y accéder depuis le menu du site en cliquant sur “Etal”. Et si vous n’aimez pas les t-shirts, vous pouvez également vivre torse nu, comme les loups garous dans Twilight, mais vous aurez l’air très cons.

Bisous.

Carcassonne-Aurillac (28-32), 12ème journée de Pro D2

Pour qui Carcassonne le Stéphane Glas ?

Aujourd’hui, comme régulièrement, la Boucherie vous propose les services d’un nouveau commis (ce qui nous permet de continuer à alimenter le site sans en branler une). Ce fan de Sonic South qui répond au doux pseudo de SACA Merde est originaire d’Aurillac (personne n’est parfait) et revient pour vous sur le match de son équipe de coeur à Carcassonne. Comme pour tous les nouveaux, on vous encourage à nous dire ce que vous pensez de ses talents en commentaires. Bref, que vous aimiez ou pas, insultez-le.

 

Par SACA Merde

“Dans le monde du rugby, les matchs de proD2 sont considérés comme particulièrement monstrueux. À Aurillac, les sportifs qui jouent sur ces matchs sont membres d’une unité d’élite appelée Stade Aurillacois Cantal Auvergne. Voici leurs histoires.”
 
D’un côté, Carcassonne, une équipe bien montée de toutes pièces avec l’argent du Cathare. Autrement dit,  un club au budget moyen qui ferait bien de réviser son orthographe & sa géo. Carcassonne se caractérise par sa capacité à s’adapter à son adversaire, offensifs si l’équipe d’en face joue bien, ou brutaux s’ils jouent contre Béziers. D’ailleurs, la semaine dernière, le derby languedocien a fait tripler le chiffre d’affaires des cabinets dentaires de la cité audoise. Ils se présentent donc ce soir diminués notamment par l’absence d’une troisième ligne complète.
 
De l’autre, Aurillac, club de pouilleux s’il en est, historiquement plus petit budget du rugby pro français, toujours à l’agonie, toujours présent aussi. Un peu le Lou Reed du rugby, tant on se demande comment il se fait qu’il soit toujours vivant. En résistance, c’est tout naturellement qu’Aurillac s’est tourné vers l’Irlande du nord pour trouver son coach des avants, Jeremy Davidson. Depuis, c’est le bordel dans les rucks. A l’irlandaise, quoi. Et ça continue de jouer beaucoup derrière. Une bonne équipe de proD2, donc. Quelques absents aussi chez les Cantalous, qui sont obligés de présenter une charnière de nabots, avec Boisset (1m65) et Adriaanse (1m69).
 
Avant ce match, Carcassonne est 8ème, et Aurillac 7ème du championnat. Carca est invaincu à domicile, Aurillac peine à l’extérieur. Des deux côtés on s’attend donc à une victoire carcassonnaise.

Le match débute. A vrai dire, il n’en fini pas de débuter. Quelques coups de pieds, un match haché par les coups de sifflet de l’arbitre, des en-avant, donc des mêlées, qui s’effondrent. Pas de doute, c’est de la proD2. Il ne manque plus que les mauvais gestes. Ils viendront, par une tentative de raccourcissement d’Adriaanse, déjà pas très grand, par le centre Lepani Waqa. Les buteurs meublent brillamment le score et péniblement l’ennui (6-6), quand Andries Kruger, épais, commet un attentat sur le même Adriaanse. Plein de compassion, l’arbitre accorde un marque à l’ouvreur aurillacois qui avait pourtant commis un superbe en-avant sur la réception

viagra price

avant de se faire massicoter par son compatriote.
 
On se dit alors que les Aurillacois vont devoir faire preuve de violence d’autorité. Ca sera fait dans les règles alors que les Audois sont à l’attaque et que le même Waqa (KARMA !) commet un en-avant improbable à 10 mètres de la ligne cantalienne. Le troisième ligne carcassonnais Koffi ânonne, suite à un choc. Son plancher orbital le lâche, il rejoint l’armée de 3ème ligne hors-combat de l’USC. Le match est enfin lancé !

 

Rassurez-vous, Lee Adriaanse va bien.

 

Carca pilonne et attaque à tout va, mais ne marque pas d’essai. Aurillac décide alors aussi de jouer. Ils alternent bien le jeu, s’approchent de la ligne d’en-but adverse, et au terme d’une belle action à plusieurs temps de jeu, l’essai chauffe, et se fait intercepter. Lazzarotto fait la seule chose qu’il sait faire, courir, et va aplatir. Le score passe à 19-6. 

L’auguste Pinet, chaud, trouve alors que le score ne reflète pas la physionomie du match. A l’entrée des 22 mètres audois, il prend la balle, toise les autres acteurs de la rencontre, puis marche jusqu’à l’en-but tête haute, le tout en slow motion, tel Alexandre le Grand envahissant l’Asie centrale. Personne n’y trouve à redire, car cela est juste et bon. Pascal Papé fait des émules jusqu’aux plus lointaines contrées. Il s’en félicite. Jack McPhee (rien à voir avec le pote pédé à Dawson) transforme, et le score est de 22 à 13 à la mi-temps après une dernière pénalité de Lescalmel, l’ouvreur local.
 
La deuxième mi-temps part sur des bases similaires : Carca domine en mêlée fermée et place de redoutables groupés pénétrants, mais score peu. Aurillac, de son côté, occupe le terrain et construit ses actions intelligemment,  jusqu‘à ce que Boisset, en raclure de demi de mêlée qu’il est, marque un essai typique de cette plaie de l’humanité que sont les numéros 9 au rugby. Quelques pénalités plus tard, on en est à 25-24 pour Carcassonne. Aurillac met peu à peu son emprise sur ce match. Quant aux Audois, ils remplissent l’hôpital local.  Julien Maréchal (nous y voilà) était l’un des seconde ligne titulaire sur ce match côté pouilleux. Il fut invisible, et seule la feuille de match constitue une preuve formelle de sa présence. Un seconde latte invisible ?  Des joueurs adverses au tapis ? Mais oui, vous l’avez reconnu, ce mec, c’est Predator en fait. Si la commission de discipline a filmé le match en infrarouge, peut-être sera-t-il cité. Sinon, naccache.

Le chaud Pinet, Julien « Predator » Maréchal Pétain, et le Fléau Géorgien maison, Datunashvili. A Aurillac comme ailleurs, on sent que la formation des secondes lignes et des assassins d’élite sont très voisines, et qu’il y a du recrutement au faciès.

Puis, sur une chandelle innocente à l’entrée des 22 mètres audois, un Aurillacois commet un en-avant à la réception. L’arbitre ne dit rien. Les Aurillacois se regardent, prennent le ballons et filent à l’essai par Valentin avant que qui que ce soit, surtout l’arbitre, ne retrouve ses esprits. Aurillac mène 32-28 et il reste 20 minutes à jouer.  Si ça n’avait pas été aussi improbable, les Aurillacois se seraient même rendus compte qu’ils n’étaient qu’à un essai du bonus offensif.

Mais c’est Carcassonne qui reprend l’initiative. S’en suivront plusieurs longues longues longues minutes de pilonnage intensif  de la ligne aurillacoise. Carca accumule les penal-touches, au lieu de prendre les pénalités. Et échoue à chaque fois. Quand, à 5 minutes de la fin, l’Aurillacois Mat Lester, qui est à la diplomatie ce qu’un album des Cramps est à la musique classique (c’est-à-dire un viol collectif) prend son 2ème carton jaune de la saison (le 8ème en 4 saisons, dont la moitié au moins pour des contestations, bravo), on se dit que ça va être dur. Mais Carcassonne s’entête à ne pas vouloir ouvrir le jeu, alors que la défense aurillacoise est quelque peu désorganisée. Ils le feront finalement à la 81ème minute, mais cette action qui aurait dû aller au bout est stoppée par un bon placage cantalou. 

Le Cantal exulte, pour une victoire difficile mais néanmoins plutôt méritée tant ils auront réussi à faire déjouer leur adversaire du soir.

Le résumé du match en images qui bougent (en vidéo quoi) : http://www.lnr.fr/video-carcassonne-aurillac-28-32-j12-saison-2012-2013,2479.html 

Le menu du week-end du 1er et 2 décembre

De l’aigreur, de la mysoginie, de l’homophobie, bref tout ce qu’on aime. Merci Pierrot.

 

Salviac, le journaliste ob’solex ?

Tous les vendredis, Man’s vous mijote une rubrique qui vous permettra en un coup d’œil de savoir quelles seront les réjouissances ovales de votre prochain week-end.

C’est nul novembre, fait froid, fait pas beau, il se passe rien, les gens sont maussades comme un service secret israélien, un mois sans intérêt, si ce n’est celui de célébrer les morts de la grande guerre ou les morts tout court, un mois où on se sent aigri, flapi, flétri. Pour toutes ces raisons j’ai proposé au prince de l’aigreur, au roi des bougons, au pontife de l’amertume, j’ai nommé Pierre Salviac de lui offrir une tribune. C’est aussi un moyen pour moi de me faire pardonner de l’avoir quelque peu contrarié par tweet interposé, comme vous l’a relaté ce site en début de semaine. Notons qu’à cette occasion David Arrieta a fait preuve d’un sens de la percussion et du placement offensif qu’il avait malheureusement très peu démontré pendant sa (trop longue) carrière de joueur.
Malheureusement celui qui se qualifie lui-même de « chroniqueur, vanneur, persifleur » ne prête pas son talent comme cela, j’ai donc pris sur moi d’illustrer les matchs du week-end à travers une pensée en 140 caractères du plus célèbre des Charentais. Les phrases entre guillemets sont authentiques (fautes d’orthographe comprises, le grand journaliste ayant quelques difficultés avec la syntaxe et les accords).

 

La classe mondiale, peut-être même le champion du monde…


VENDREDI

Perpignan-Agen (C+Sport – 20h45)

Ravage de la professionnalisation, dérive de l’argent-roi, voilà deux clubs qui étaient auparavant tout en haut et qui se retrouvent dans les profondeurs du classement. Des dirigeants incompétents, qui quittent le navire en plein naufrage puisque Paul Goze préfère les ors de la ligue aux sangs de l’USAP, des recrutements indignes, avec des joueurs sans talents, style Falefa, qui préfèrent les beuveries aux entraînements. Pierre Salviac a la solution : “Pourquoi majorité de titulaires samoans dans clubs britanniques plutôt que dans top 14 réputé plus riche? Bug de recrutement?” Voila les gars, vous êtes tous des brêles, c’est PS qui vous le dit, recrutez samoan, c’est pas cher et c’est solide.

SAMEDI

Toulouse – Clermont (C+ – 14h50)

Facile de dominer le rugby quand on est sous la gouttière de l’argent comme ces deux clubs qui ont pourtant une santé des plus fragiles : suffit que l’Aérospatiale quitte Toulouse ou que Michelin aille produire ses pneus en Corée, et qu’est ce qui restera pour financer les salaires indécents de Guy Novés ou Vern Cotter ? La boucherie Sanzot et Vulcania ?

Angleterre – Nouvelle Zélande (Sport+ – 17h00)

“Pendant que nos clubs du #top14 ferment la fenêtre internationale les FED anglaises & galloises vont se gaver avec #AllBkacks & #Wallabies” Quelle réflexion frappée du bon sens, notre calendrier est suffisamment aéré et à peine surchargé, pourquoi les gros pardessus de la FFR n’ont pas pensé à rajouter un 4ème match international fin novembre?

La classe mondiale, peut-être même le champion du monde…

Toulon – Grenoble (Rugby+ – 18h30)

“On annonce la venue à Mayol de #Noah pour chanter le #pilouPilou. C’a va piquer? Non ce n’est pas du pili pili. Ok je sors;-(“

Là ça se suffit à soi-même, un tel humour ne peut être servi que par un être exceptionnel ayant reçu à sa naissance la grâce divine. Moi-même, avec mes pauvres jeux de mots poussifs et mon humour au rabais, je me sens tout petit devant ce concentré de subtilité hilarante (il la sort aussi).

Montpellier – Bayonne (Rugby+ – 18h30)

“Pourquoi les clubs du #Top14 s’obstinent-ils à recruter des fidjiens qui sont des joururs à 7 plutôt que des samoans? Incompétence?” C’est tellement vrai Pierre, Nagusa n’est vraiment pas performant… Je parie même que Rokocoko va le ridiculiser. Et Bip-bip, à Toulouse, qu’est ce qui a pris à Guy Novès d’aller chercher un ailier aussi pitoyable ?

Mont de Marsan – Castres (Rugby+ – 18h30)

“Quand tu vois budget #Toulouse: 35 M d’€ et budget @MontdeMarsan 6,2 M d’€ tu te demandes ce qu’ils font dans même championnat :-(” Ô grand reporter rochelais, comme vous touchez encore une fois juste par vos fulgurances twittériennes, virons du top 14 tous les petits, les minables, les sans grade, les clubs de misère comme ce Mont-de-Marsan qui vient salir de ses crampons en guenilles la pelouse resplendissante des ténors de l’élite.

Biarritz – Bordeaux Bègles (Rugby+ – 18h30)

“Après 10j MdM, Bx, Agen, AB et BO sont les clubs qui totalisent le moins de Pts. Le rugby du Sud Ouest est moribond ;-(“

Encore une pensée de notre maître spirituel de l’ovalie. Vous vous rendez compte, tous ces chefs-d’œuvres sont en péril, imaginez qu’ils descendent tous cette année, qu’est ce qui va rester du rugby originel, le vrai, celui du sud-ouest, juste Castres, Agen, Perpignan, Toulouse… c’est affreux. Moi je pense qu’il faudrait interdire que le top 14 accueille plus de deux clubs non sud-ouestiens, et je précise que Brive, en tant que riant portail du midi, fait partie intégrante de cette région. Faudrait peut-être mettre La Rochelle aussi, pour le développement du rugby, et faire plaisir au grand moufti, et à sa nièce aussi, la charmante Pauline Maingaud.

Autre pensée Salviaquienne qui mérite d’être citée : “Le #rugby pro se porte tellement bien en France que le club de #Bordeaux est à vendre ;-(“

Pour Halloween cette année, Pierre s’est déguisé en monstre de Roswell, les enfants ont adoré.

 

Racing Metro 92 – Stade Français (C+Sport – 20h30)

“Divorce avec Berbiz, qualif compromise, affaire Qovu, stade en panne, Lenrenzetti va t’il botter en touche? #racing” Oui Pierre, vous nous avez encore éblouis de votre pensée transcendantale lumineuse, Lenrenzetti devrait tout laisser tomber, retourner dans la médiocrité de ses affaires immobilières plutôt que de venir salir le rugby éternel de son argent corrupteur. Comme a fait avant lui Max Guazzini qui est reparti piteusement après avoir sali notre beau sport de strass et de paillettes.

DIMANCHE

Brive Albi (Sport+ – 14h25)

Je dis plus rien sur Brive, c’est bien simple, tant qu’ils ne seront pas dans les 3 premiers je continuerai à mépriser.

Béziers Narbonne (Eurosport – 17h00)

La finale 1974… Le drop improbable entre 5 oranges de Cabrol qui crucifia à la dernière seconde du match le RCN de Jo Maso (qui avait un vrai emploi à l’époque) et de Walter Spanghéro. Bon, là c’est le 12ème contre l’avant-dernier de proD2. Encore deux clubs qui auraient dû suivre les conseils financiers, techniques et de management de maître Pierre.

Ça n’a aucun rapport, mais je ne résiste pas à publier ce tweet savoureux : 

Pays de Galles – Australie (C+Sport – 20h50)

La semaine dernière un lecteur attentif de la Boucherie m’avait vertement reproché d’avoir occulté pour la 2ème fois consécutive le match des Irlandais. Je pensais me racheter cette semaine en annonçant fièrement les Rouquins, manque de bol ils n’ont pas de match international cette semaine. Par contre y’a un Munster – Glasgow de derrière les fagots, en ligue celte, sur BIS2 à 13h00, mais faut être connaisseur.

WebRep
currentVote
noRating
noWeight