Le Stagiaire licencié par la Boucherie Ovalie !

Il ne nous a pas vraiment laissé le choix.

 

Paru ce jour dans le quotidien “Sud-Ouest”.

 

Sitôt le nouvel écart de son faire-valoir connu, Ovale Masqué ne souhaitait plus le conserver. Il explique sa décision.

La lettre de licenciement du Stagiaire de la Boucherie Ovalie sera postée aujourd’hui. Actuellement en déplacement en Andorre pour un ravitaillement, Ovale Masqué, Chaife historique mais inutile de la Boucherie, nous a confirmé par téléphone l’information publiée samedi sur sudouest.fr. S’estimant trahi par son joueur, coupable de s’être présenté sobre à une réunion de la rédaction (lire nos précédentes éditions), le Grand Reporter n’était pas disposé à passer à nouveau l’éponge.

« Sud Ouest » :  À quel moment avez-vous arrêté votre décision ?

Ovale Masqué : Je l’ai prise sur le champ, dès qu’on m’a informé de ce qui s’était passé. Je n’ai pas eu l’ombre d’un doute mais il y avait une procédure juridique à respecter.

A-t-il été facile de convaincre le reste de l’équipe dirigeante ?

Damien Try (NDLR : bras droit à la retraite) m’a indiqué que cette décision faisait l’unanimité entre le conseil de surveillance et le directoire. Si elle n’avait pas été prise, c’est simple, je ne serais pas resté à la Boucherie. C’était lui ou moi. Je n’aurais pas pu rester sur le site avec un tel désaccord.

Qu’en a pensé le staff de la commission Boisson, c’est-à-dire tous ceux qui ont une fois dans leur vie participé de près ou de loin à la Boucherie Ovalie ?

Il faudrait poser la question directement à ces idiots, mais de ce que je sais, ils étaient à 300 % d’accord avec moi. Ils étaient même beaucoup plus remontés que moi.

Le Stagiaire s’attendait-il à une sanction si radicale ?

J’ose espérer qu’il ne s’attendait pas à recevoir un mail de félicitations. Merde ! Avec tous les bugs sur le site qu’on se traîne, on n’a pas besoin de ce type de comportement. Ce n’était plus tolérable. Si on avait 100 000 visiteurs uniques quotidiens et que ça nous aurait permis de signer un contrat publicitaire avec Kronenbourg, ce ne serait pas moins grave, mais bon… on n’est pas capable d’avoir un serveur qui tient debout deux jours d’affilée, et je parle même pas du nouveau design. On ne peut pas arriver les idées claires à une réunion. Ce qu’il a fait est inexcusable : avoir 13 ans ne constitue pas une raison pour être en dessous de 2 g/l un lundi matin. Et ce n’est pas la première fois. À ce niveau-là, boire aussi peu, c’est une maladie : ça s’appelle l’hydrolisme.

Allez-vous devoir lui verser des indemnités ?

LOL

Allez-vous recruter un nouveau stagiaire ?

Ouais. Des branleurs à mèche qui veulent bosser dans la com’, corvéables à merci et prêts à sucer gratuit, tu tapes dans n’importe quelle poubelle parisienne y en a 5 qui sortent. Il sera probablement aussi mauvais que le précédent, mais tant qu’il apporte les glaçons ça ira.

La Nouvelle-Zélande destituée de son titre de championne du monde

Ensemble, révisons l’histoire.

 

Par Damien Try

 

Les temps sont durs pour les arbitres. Dans un sport si policé en ce qui concerne le respect de l’homme au sifflet, les affaires se succèdent au sein de l’IRB.
Premier acte ce dimanche, avec le désaveu de l’IRB subi par Romain Poite, aussi connu sous le sobriquet de « classy Frenchman ». Dans un communiqué de presse, l’IRB a indiqué explicitement qu’il était « incorrect de la part de l’arbitre Romain Poite de donner un carton jaune à Bismarck du Plessis à la 17ème minute ». Le pacifique Bismarck devra tout de même passer en commission de discipline ce mercredi 18 septembre, mais gageons que celle-ci devrait se montrer clémente.

Le précédent étant établi, l’IRB s’est sentie obligé d’appliquer la même politique à des matchs antérieurs. De la même façon que le vidéo-arbitrage remonte désormais jusqu’à 2 temps de jeu avant l’essai, il a été nécessaire de gratter plus loin dans le temps afin de réparer les injustices arbitrales.

C’est ainsi que le coup de tonnerre a retenti ce matin : après moult re-visionnages attentifs de la finale de Coupe du Monde 2011, l’IRB n’a eu d’autre choix que de retirer le titre aux Néo-Zélandais. En effet, à la lumière de la fameuse vidéo Youtube « Autopsie d’une finale » et des messages sur le forum Rugbyrama, il apparait clair que l’arbitrage de Craig Joubert, qui comme Romain Poite est humain et donc faillible, fut bien trop indulgent envers la troisième ligne All Black dans les rucks, et que la pénalité de Stephen Donald n’est probablement pas passée.

La joie fut de courte durée dans le camp français, puisque la commission s’est ensuite penchée sur la demi-finale France – Pays de Galles. Ses conclusions sont sans appel : l’arbre généalogique d’Alain Rolland a troublé son jugement et l’a fait injustement sanctionner d’un carton rouge le capitaine Sam Warburton. L’infériorité numérique durant la majeure partie de la rencontre a donné un avantage déloyal à l’équipe de France, et celle-ci voit la victoire lui échapper. C’est donc le Pays de Galles qui est sacré champion du monde 2011, deux ans après la finale, ce qui est toujours plus rapide que la détermination définitive d’un classement du Tour de France.

Ces nouvelles mesures ne font pas l’unanimité, qualifiées par certains de « révisionnistes ». Elles ont cependant un fervent supporter en la personne de Pierre Berbizier, qui « a voué sa vie à rétablir la vérité à propos d’un certain match de 1995 ».

Quelle équipe supporter ?

La dure question que tout le monde se pose.

Par Damien Try

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Vous êtes nouveau venu dans le monde du rugby ? Vous n'avez pas d'attache particulière pour aucune équipe ? Le championnat a repris et vous ne savez toujours pas quel est votre club de coeur ? La Boucherie Ovalie a pensé à vous, et vous propose une magnifique infographie (réalisée sous Paint avec un touchpad), qui vous aidera à faire votre choix.

C'est très facile, vous commencez par la case “Début” (la bien nommée), et ensuite vous vous laissez guider au fil des questions. En quelques minutes seulement, vous devriez trouver le club “que vous supportez depuis votre enfance”. N'oubliez pas ensuite de vous inventer un grand-père qui a joué dans l'équipe de 1956.

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Top 14 : Les prédictions 2013/2014 de Damien Try

Paco a une vision : ce qui est dans ce texte adviendra.

Après les prédictions du chaife, c'est au tour de son fidèle bras droit Damien Try de vous livrer ce qu'il a vu dans le marc de café Bourgogne.

Le Top6 : Toulon – Toulouse – Clermont – Racing – Montpellier – Castres

Toulon se promènera durant toute la saison, jouant les gros matchs avec l’équipe des Lions de l’Hémisphère Sud + Jonny Wilkinson, et les petits matchs avec celle des « seconds couteaux », c’est-à-dire des mecs niveau titulaires en finale de Top14 s’ils jouaient pas à Toulon (+ Jonny Wilkinson, aucun entraîneur de haut-niveau n’étant assez con pour faire jouer Michalak n°10 après 2003). Clermont, malgré une très belle seconde partie de saison, ne parviendra pas à rattraper Toulouse (qui se sera contenté de victoires de quelques points à domicile contre Oyonnax ou Bordeaux, ça suffira bien). Il faut dire que leur début de saison fut catastrophique : solidaires de la grève des supporters qui réclament des titres, les joueurs entament une grève de la faim qu’ils promettent de n’arrêter qu’au prochain Brennus de l’ASM. En décembre et après le raffut dévastateur d’Alexis Palisson sur Nalaga, ils décident de l’interrompre prématurément. Montpellier jouera sur son recrutement, tandis que Castres aura bien du mal à jouer avec seulement deux joueurs, surtout quand Gray sera retenu pour le Tournoi et que Kockott sera indisponible car sa mère « a mal au pied », temps qu’il occupera à visiter les installations de Toulouse et du Racing-Métro.

En phases finales, la surprise viendra de la victoire du Racing sur Toulon dans la première demi, qui fera dire à Lorenzetti que « Contrairement à ce que pense M. Boudjellal, l’argent ne fait pas tout ». L’ASM accèdera aux demi-finales, mais, ayant déjà joué un match et n’ayant plus l’habitude de disputer les 1/4, pensera se retrouver en finale et déjouera consciencieusement, offrant à Toulouse la place en finale. Le Stade Toulousain, dont la dernière défaite contre le Racing semble avoir été arbitrée par Pierre de Coubertin lui-même, ne manquera pas l’occasion et remportera son 5ème titre en 4 ans (dont 2 fois 2 d’affilée précisera Gérard Holtz). « Normal », titrera la Dépêche du Midi, « Bof », déclarera Guy Novès.

Les relégués : Oyonnax et Biarritz Grenoble

La saison d’Oyonnax sera bien longue et pénible, avec seulement deux victoires… Et encore, des victoires par forfait, l’une des équipes adverses n’ayant pas trouvé Oyonnax sur une carte de France, et l’autre ayant raté le bac hebdomadaire permettant de traverser une rivière sans nom pour rejoindre le stade. Grenoble de son côté fera une saison pas trop dégueu, après un début de calendrier bien moins clément que l’année précédente, s’accrochant tout le long pour garder une longueur d’avance sur les relégables, et finissant ainsi 12ème. Seulement voilà, Serge Blanco Paul Goze expliquera que la trop forte proximité des deux clubs rhône-alpins est nuisible au développement du rugby en France, qu’il est « profitable pour la grande famille du rugby d’aérer la carte de France du Top14 », et commandera donc la relégation administrative de Grenoble. Biarritz obtient ainsi in extremis son maintien, permettant à la tradition ancestrale des derbys basques de perdurer.

H-Cup :

Clermont ne perdra qu’un seul match, et c’est bien dommage car cela sera la finale contre le Leinster (pour l’anecdote, Ian Madigan l’ouvreur irlandais sera élu homme du match, ce qui lui vaudra d’être recruté par le Racing pour un million d’euro l’année suivante). Vern Cotter estimera avoir honoré son contrat en ayant fait accéder l’ASM tant de fois en finale durant son mandat.

Challenge Cup :

Personne ne la joue cette coupe, sauf le Stade Français qui réussira à perdre en demi ou en finale (et qui ne jouera pas la H-Cup l’année suivante, mais c’est pas grave c’était une saison de transition).

Pro D2 :

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Allez je vais me mouiller, vous allez vous foutre de ma gueule mais tant pis je le tente, vous l’aurez lu ici en premier : Sébastien Chabal va jouer un match de rubgy en 2014.

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La prise de conscience de Leo Cullen

Monde de merde

C’est une période difficile de sa vie que traverse Leo Cullen, malgré la large qualification du Leinster en finale d’Amlin Cup le week-end dernier face à Biarritz (44-15). Tout d’abord la cruelle désillusion qu’il a subie il y a deux semaines lors de la non-citation de Paul O’Connell après son coup de pied à la tête de Dave Kearney, qui l’a amené à déclarer :

« Les joueurs doivent avoir foi dans le système mais pour ma part celle-ci a changé. Cet incident aurait clairement dû être examiné à un niveau supérieur mais ça n’a pas été le cas pour je ne sais quelle raison. »

En effet, Leo Cullen étant lui-même Irlandais (de naissance, de chevelure et de faciès), il n’avait jusqu’ici pas pu se rendre compte de la propension des instances européennes de rugby à protéger les joueurs irlandais avant le Tournoi ou un match de Coupe d’Europe.

Mais sa prise de conscience ne s’est pas arrêtée là. Ce mardi 30 avril, il a annoncé ses dernières amères découvertes dans le quotidien « The Independant » :

« Il s’avère que le monde n’est pas aussi beau qu’il n’y parait. Il semblerait par exemple que la guerre en Irak ait été motivée au moins en partie par des intérêts financiers et non pas pour la libération du peuple irakien, comme nous l’avait présenté Georges Bush. Pire, en Afrique, des enfants meurent de malnutrition tous les jours. Tous ces faits m’ont fait ouvrir les yeux sur l’injustice qui plane sur ce monde. Aujourd’hui, je souhaite mettre à profit cette difficile expérience et ce gain de sagesse pour en faire profiter le plus grand nombre. Je suis en train de rédiger une lettre s’élevant contre les tartines qui retombent toujours côté confiture, et je demanderai au Père Noël que des mesures soient prises. Lui au moins il est gentil. »

Mémoires d’un perfectionniste, la critique

“Longtemps je me suis levé de bonne heure (pour aller buter)”

Par Damien Try

Il y a presque un an, sortait le livre autobiographique de Jonny Wilkinson intitulé « Mémoires d’un perfectionniste ». Aujourd’hui sort sa critique sur la Boucherie Ovalie. Pourquoi donc ? On peut déjà trouver une première explication dans la légendaire réactivité des chroniqueurs bouchers, capables de se mettre à écrire vendredi à 14h du matin le compte-rendu du match du week-end, parce que ça sera bien de le sortir avant le prochain match, dans quelques heures donc. Mais la véritable raison n’est pas là, elle réside dans le bouquin en lui-même. Mais je m’avance un peu, feuilletons-le ensemble.

Le prologue se déroule en 2010, alors que Jonny dispute un match avec Toulon. S’il est déjà assez déstabilisant de voir une autobiographie de sportif débuter aux 31 ans de l’auteur, on apprend de surcroît que Paul Sackey a marqué un essai en H-Cup. Je ne pense pas qu’on soit proche de revoir ça, pour pas mal de raisons. Le match est gagné, mais on s’en fout, la raison pour laquelle on en parle est la présence dans les tribunes de Martin Johnson, qui vient demander à l’ouvreur toulonnais de rejouer pour l’Angleterre, alors que ce dernier hésite. Pendant la première séance d’entraînement de jeu au pied du livre (et vous vous en doutez, il y en aura d’autres) qui suit, Jonny décide que c’est bon, il participera à sa quatrième Coupe du Monde si on a besoin de lui. Dans un procédé narratif tout à fait inédit et trépidant, on revient dans le temps, retrouvant Jonny enfant dans le premier chapitre.

C’est alors qu’on pénètre dans un cerveau dément. Vous en connaissez beaucoup, vous, des enfants de 7 ans qui s’entrainent à buter dans le jardin de leurs parents, quotidiennement, pendant des heures, pied gauche ET pied droit ? Qui, chaque week-end à l’approche du match, vomissent de peur avant de rentrer sur le terrain ? Qui écrivent des dizaines de lettres, « la plupart d’entre elles à Dieu », parce qu’un petit oiseau est mort ? Le petit Jonny se met tellement la pression que 30 ans après, il se rappelle de la faute d’orthographe qui lui a fait obtenir un infâmant 19/20 à une dictée. Nous ne sommes qu’à la page 19 et le fil rouge du livre saute aux yeux avec les simples phrases « Je sens que le remède à mes souffrances est de devenir un être parfait. L’inconvénient avec le rugby est qu’il est impossible d’être parfait ». A la page 32 survient le drame, l’évènement qui va le traumatiser à jamais, l’horreur qui guette chaque joueur de 10 ans. Non bande de pervers, il ne s’est pas fait toucher sous les douches par un éducateur, il a raté une pénalité, ce qui le fait se morfondre pendant des semaines. Je ne vais pas vous citer toutes les crises d’angoisse du bouquin, elles le suivront toute sa vie, et vous avez saisi l’ambiance, ça ne sera pas un livre sur le bonheur de courir sur le pré. Avançons un peu dans le livre.

Vous vous en doutez, le jeune Jonny grandit, obtient quelques sélections régionales, marque le premier drop de sa carrière (contre une équipe française en plus, il avait vraiment décidé de nous faire chier). Il fait la rencontre de Dave Aldred, personnage qu’on recroisera souvent au fil des pages, et qui va s’occuper de son entraînement au pied. La première partie du livre va beaucoup parler d’entraînement au pied. Dans le sens beaucoup beaucoup d’entraînement au pied. J’insiste sur l’entraînement au pied. L’entraînement au pied. Au pied. Voyez-vous, Jonny s’entraîne évidemment tous les jours, y compris dans les créneaux pendant lesquels il n’en a pas le droit. Et une séance ne s’arrête qu'après un nombre fixe de coups de pied, ou une durée choisie à l’avance. Nous, on s’arrête uniquement quand on est satisfait. Et quand on vise la perfection, on est difficilement satisfait.

Jonny continue de grandir et est sélectionné chez les moins de 18 ans pour jouer le Tournoi (des V Nations à l’époque). Mais il n’est que numéro 2, derrière un certain James Lofthouse. Coup de chance, celui-ci se blesse, et c’est Jonny qui jouera donc, remportant un Grand Chelem. C’est difficile à juger en lisant le bouquin, mais il paraît clair qu’il a été excellent, offrant même la dernière victoire par un drop de 40 mètres. Pour l’anecdote, ce fameux Lofthouse, qui apparaît comme celui qui a barré les sélections U18 de Jonny (limite le chouchou des coachs), alors qu’il jouait dans l’équivalent de la ProD2 anglaise, s’est blessé à l’entraînement et a arrêté sa carrière à 20 ans. Aujourd’hui il est banquier.

Jonny devient ensuite professionnel à Newcastle, faisant la connaissance de nouveaux joueurs. Comme dans tout le reste du livre, c’est l’occasion pour Jonny de s’émerveiller des qualités des autres, on a un peu l’impression que chaque personne qu’il croise est le meilleur joueur du monde (même Pierre Mignoni, mais bon il a dû se sentir obligé d’écrire ça puisque c’est son coach maintenant). On a droit à un classique pour l’annonce de sa première sélection dans le groupe de l’Angleterre, il était chez un ami, il ne s’y attendait pas du tout, etc… Les pages s’égrènent, ce n’est pas très intéressant, on apprend quelques anecdotes au passage. A l’image de son amie Martine (Johnson), Jonny n’a pas le permis donc Jonny prend le taxi, Jonny se met une cuite, Jonny passe un contrôle anti-dopage, Jonny part en tournée dans l’hémisphère sud, Jonny habite dans un quartier un peu chaud où des jeunes viennent chez lui lui demander des « battes de golf » (Jonny est un peu naïf et leur prête, s’étonnant un peu de ne jamais les retrouver), Jonny fait une pub avec David Beckham. Je vais m’arrêter là dans mon compte-rendu factuel. Vous savez déjà ce qui va se passer : Wilkinson va s’entraîner très dur, il va gagner une coupe du monde, et puis il va se blesser, puis se re-blesser, se re-re-blesser, puis, décidément le sort s’acharne et Jonny va aller à Toulon. Tout ça n’est pas n’est pas très intéressant.

Si vous avez lu « Du Côté de chez Swann » (pauvre de vous), vous retrouverez le côté « j’enchaîne des petites histoires, les enfilant comme des perles sur un collier, mais sans que le lecteur n’ait la moindre idée d’où je l’emmène, puisqu’en fait je fais du volume et je ne l’emmène nulle part » du début du livre. Il s’agit d’un petit pavé, 440 pages sans images ou presque, écrit en caractères assez gros pour que même M. Péchambert puisse les voir. Ce n’est pas si gros que ça, me direz-vous, ça devrait pouvoir se lire assez vite. Le style est de plus assez simple (j’y reviendrai), il n’y a pas d’intrigue complexe qui demande de revenir 50 pages en arrière pour vérifier si on a bien compris un passage, aucune réflexion particulière n’est demandée, bref, ça devrait vraiment pouvoir se lire vite. Mais

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non, et pour une simple raison : c’est putain de chiant. Ce livre va vous tomber des mains. J’ai eu l’impression de retourner en classe de 3ème lorsqu’on m’avait imposé la lecture des « Chouans » de Balzac. Pourtant, j’ai l’habitude de lire des trucs chiants, je suis un fidèle de la chronique rugbyrama de Pierre Villepreux. Le premier tiers du bouquin, Jonny s’entraîne d’arrache-pied (haha), ce qui n’est pas vraiment captivant. Et pourtant c’est le plus intéressant du bouquin, puisqu’on découvre l’esprit torturé du garçon, et qu’on le voit gravir à toute vitesse les échelons l’amenant au titre de meilleur joueur du monde. Parce qu’ensuite, le deuxième tiers ne parle que de ses blessures, et bien sûr du travail pour revenir au niveau qui suit. Je vais vous donner un putain de scoop : lire des pages et des pages sur le processus d’une rééducation, c’est d’un ennui sans nom. Surtout quand 10 pages plus tôt c’était une autre rééducation, et que si tu connais un peu la carrière de Jonny, tu sais qu’il va à nouveau se blesser rapidement, et donc que tu vas te retaper des histoires de rééducation. Le dernier tiers du bouquin est encore plus décousu, c’est son retour en équipe d’Angleterre alors que tout son pays semble le détester, combien Toulon c’est chouette, sa dernière coupe du monde… Au passage si on en croit le livre, la Coupe du Monde s’est résumée à des ballons qui partent pas droit. Dix pages sur la difficulté de botter avec ces ballons, un paragraphe sur les « débordements » de l’équipe d’Angleterre. J’aurais préféré l’inverse, parce qu’honnêtement, que le ballon n°2 ait tendance à aller vers la gauche et que le n°5 fasse n’importe quoi, je m’en fous pas mal. Quoique, peut-être que si Trinh-Duc l’avait su, il aurait peut-être passé la pénalité en finale. Mais je me fais du mal là.

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19€, c'est aussi le prix d'une bouteille de whisky correct…


Bref, la lecture de ce livre est un calvaire. Si quelqu’un vous dit qu’il a aimé ce livre, il ment et ne l’a pas lu jusqu’au bout. Demandez-lui de quel animal était la merde dans laquelle Jonny a marché à Barcelone. C’est vers la fin du bouquin, je doute que plus de 15 personnes soient allées jusque là. J’ai été passablement énervé en lisant dans les remerciements qu’un type l’a aidé à écrire (et vu le curriculum du mec, c’était probablement un nègre). Il n’a pas dû non plus beaucoup l’aider, parce que la simplicité du personnage de Wilkinson transpire dans le style d’écriture. Sujet, verbe, complément. « Nous avons marqué un essai intéressant ». « Je pense qu’il s’agissait d’un renard » (c’est vraiment dans le livre, et comme ça vous avez la réponse à votre question). On peut toujours arguer que je n’ai lu qu’une traduction, c’est vrai. Mais le traducteur, c’est Olivier Villepreux (oui, le fils), quelqu’un dont je partage rarement l’opinion mais dont on ne peut nier qu’il sait très bien écrire…
Si vous vous retrouvez avec ce livre dans les mains et du temps à perdre, vous pouvez toujours vous amuser à lire en diagonale la première moitié, pour faire connaissance avec le personnage Jonny Wilkinson. Jonny, c’est un petit enfant autiste, un labrador, ou quelque chose comme ça. Le souci de la perfection est omniprésent dans le livre, certes, mais aussi le sens du Devoir. Envers ses parents, envers les spectateurs, envers l’Angleterre. Jonny se fait des listes de ses objectifs. C’est genre :

– Gagner avec Newcastle

– Gagner avec l’Angleterre

– Gagner avec les Lions

– Devenir le meilleur joueur du monde

Mais qui fait des listes comme ça, sérieux ? Quand il arrive en équipe d’Angleterre, il ne se sent tellement pas à sa place qu’il fait exprès d’arriver à la bourre aux repas pour pouvoir manger tout seul. Y a un passage pas mal dans lequel il explique combien il est affreux d’avoir gagné la Coupe du Monde, car une fois tout en haut, forcément vous ne pouvez qu’aller vers le bas. Enfoiré, laisse-nous ce fardeau dans ce cas. En France on est assez fort pour baisser de niveau. N’offrez pas non plus ce livre à un enfant qui aime le rugby, c’est à le dégoûter de l’entraînement. Jonny c’est le mec qui dit « Ah, ce mois de vacances m’a fait le plus grand bien. J’ai fait de la préparation physique tous les jours, j’ai travaillé plus dur que jamais. » Il passe son temps à se dire qu’il est cuit, qu’après ce match il prend deux semaines de coupure. Et puis au final il ne coupe jamais. Il admire certains joueurs qui sont « plus pro

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que lui sur la récupération ». Comprenez : des joueurs qui prennent des vraies vacances, au lieu de soulever de la fonte comme des cons. Jonny a un besoin éperdu de reconnaissance. Il se prépare spécifiquement aux tests physiques, pour avoir les meilleurs scores. Et du coup il est tout chafouin de voir afficher dans la cafétéria ses résultats à la lutte. C’est vrai qu’il est honteux de perdre à la lutte contre Manu Tuilagi et James Haskell.

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Bref, ne lisez pas ce bouquin. Je ne comprends d’ailleurs pas pourquoi un éditeur a voulu le publier en français : Wilkinson doit être le joueur le plus détesté en France, sauf à Toulon où il est adulé. Mais à Toulon, ils ne savent pas lire…

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Intérieur Sport “Chemin de croix” avec Dijbril Camara

Djibril Camara au pays des lolos marrons.

Par Damien Try

Tout passionné de sport (à la télévision rassurez-vous) connait l’émission Intérieur Sport, diffusée sur Canal+, mais surtout, pour tous les gens normaux qui ne payent pas d’abonnement, retrouvable sur le site de la chaîne. Des reportages remplis de belles images, très bien montés, plus qu’enthousiastes et exaltés, te faisant passer le moindre entraînement pour un exploit (cf l’épisode sur Romain Barras qui transforme un footing à 11 km/h en une épopée). C'est tellement bien fait que ça parvient à te scotcher devant

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ton écran pendant vingt-cinq minutes en te racontant un tournoi de hockey-sur-gazon, discipline dont on se fout tellement que je la soupçonne de provenir de Castres (dans l’Aveyron).

J’ai donc eu le plaisir de retrouver l’ami Djibril Camara dans le reportage qui lui était consacré, intitulé « Chemin de croix », que vous pouvez retrouver ici. Je tiens à préciser tout de suite que je n’avais pas d’a priori négatif sur ce joueur. Je regarde peu le Stade Français mais ce que j’avais vu de lui était plutôt bon, un mec avec des qualités athlétiques qui arrive à surprendre par ses changements d’appuis, c’est plus si fréquent que ça. Mais je ne peux que constater que cette

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vidéo (qui a évidemment comme intention de le rendre touchant, dans le genre gamin paumé qui a fait une petite connerie et qui la paye très cher, mais travaille pour revenir au plus haut niveau) ne m’inspire que de l’antipathie pour le personnage. Mais passons donc plutôt au reportage proprement dit.

Tout de suite, dès le générique, le ton est donné. On voit l’ailier dans un vestiaire, comptant les jours à la craie sur les murs, comme s’il était dans une geôle façon Monte-Cristo. Il y fait des abdos et autres petits exercices, pendant que l’horloge tourne en accéléré. Le titre « Chemin de croix » défile, et c’est parti.

On attaque par la suspension pré-Coupe du Monde de Yoann Huget, pour ses trois « no-show ». A l’époque, Camara a déjà deux no-show à son actif, et est donc sur la sellette. D’ailleurs, « ça m’a sensibilisé, mais d’un côté je me suis fait prendre, donc on peut dire que ça m’a sensibilisé », dit-il. Ok. Ce que chacun sait arrive, et malgré les appels téléphoniques et par l’interphone du contrôleur, Djibril ne s’est pas réveillé, et le voici suspendu 6 mois.

Richard Pool-Jones profite donc de l’occasion pour essayer de lui élargir un peu ses horizons, histoire de ne pas lui offrir 6 mois de vacances peinardes à traîner à Charléty. Il va donc l’envoyer dans un environnement peu confortable, avec un but plus ou moins humanitaire, dans un cadre enrichissant culturellement pour Djibril qui n’a pas eu trop le temps de voyager auparavant. Direction l’Inde pour apprendre le rugby à des jeunes. Tentez l’expérience à votre bureau : « Patron je peux pas bosser pour les 6 prochains mois parce que j’ai fait une connerie. Ca te dit tu me payes un mois en Inde ? ». Je ne suis pas certain, mais il me semble que ça ne marche qu’au Stade Français, le club qui a conservé David Attoub pendant ses 72 semaines de suspension. Eh bien ça ne plaît pas à Djibril : « Là t’oublies je le ferai pas », ce que Pool-Jones qualifie d’une « réaction pas tout à fait positive ». Un peu le genre de réaction qu’il a quand on lui pose une question sur Gonzalo Quesada en ce moment. Mais bon il l’envoie quand même, on ne lui laisse pas le choix.

Les premières images en Inde sont plus positives : « J’ai un peu de la chance d’être là où je suis ». Pendant un entraînement sur un terrain où l’herbe arrive à mi-mollet, il remarque que ça change de la Cité U ou de Charléty où les joueurs se plaignent tout le temps. En tout cas y a pas moins de spectateurs. Les Indiens ont l’air contents et lui aussi, il se fait tatouer le nom de sa mère sur le biceps pour garder son voyage à vie. Pool-Jones aurait-il réussi son coup ?

Y a quelques images bien marrantes, l'ailier déambulant en survêt' rose du Stade Français au milieu d'une rue indienne, avec un t-shirt atteignant le point “Valeurs du rugby”, demandant à un gamin dans un anglais digne de Vincent Clerc s'il préfère le foot ou le rugby (ça existe le foot en Inde ?), etc…

Andy Powell est battu.
Andy Powell est battu.


La voix off de François Trillo parle de conditions d’entraînement spartiates, dans une petite salle qu’on imagine très bien emplie d’une chaleur étouffante. Mais question bête : les Spartiates, ils allaient boire du champagne en boîte ? Faudra que je revoie 300 mais je me rappelle pas de ce passage. Alors oui, c’était un pari, oui on a le droit de décompresser de temps en temps, m'enfin comme chemin de croix y a mieux que de mettre des photos de soi en teboî sur Twitter. Imaginez l’affiche :

LA FORMIDABLE HISTOIRE D'UNE REDEMPTION
LA FORMIDABLE EPOPEE D'UNE REDEMPTION
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Le mois s’étant écoulé, le voici de retour à Paris « un peu meilleur » dit-il, et heureux de retrouver « la bonne humeur du vestiaire », ce qui est illustré par un mec qui l’insulte lorsqu’il passe sur la balance. Qu’est-ce que ça doit être quand ils font la tronche…

Et la tronche y en a un qui la tire, et c’est Pool-Jones, pendant l’entretien de debriefing. Car on y retrouve un Camara complètement fermé, sur la défensive, qui se plaint de s’être ennuyé pendant le voyage. Le directeur sportif du SF lui rappelle qu’il a 45 autres joueurs à gérer et qu’il n’a pas que ça à foutre de s’occuper de lui, mais se mange un « faut arrêter, c’est toi qui m’a envoyé en Inde, tu veux un debriefing, jte ldonne ». Pool-Jones embraye en lui exposant la suite du programme, c’est-à-dire un stage de 10 semaines dans un très grand restaurant parisien. En retour il a droit à des haussements de sourcils, une attitude très hostile et se fait couper la parole par un magnifique « nan c’est pas du tout dur chui tout seul en Inde, après je dois faire 10 semaines dans les cuisines, nan c’est pas dur, en plus de ça je suis suspendu 6 mois, nan c’est pas du tout dur je devrais être hyper cool ». Les fans de Kaamelott auront reconnu une très belle interprétation d’Yvain, à laquelle il manquait seulement un « trop gavé quoi ».

Après l’avoir envoyé en Inde pour lui faire comprendre que vivre en France, c’est plutôt chouette, il bouleverse (spéciale dédicace à Pastigo) son quotidien en essayant de lui faire réaliser qu’être sportif de haut-niveau c’est facile comme vie, en l'envoyant dans un resto à la hiérarchie quasi-militaire (mais où les responsables sont plus que chaleureux envers lui). Mais l’autorité, c’est pas trop le kiff de Djibril voyez-vous, du coup il sèche. Un restaurateur renommé accepte de s'occuper de lui, pour une formation pour laquelle des promotions entières d'école hôtelière vendraient leur mère, et il y va juste pas. Ca fait pas rire notre bon père protecteur Pool-Jones, et le voici banni de Charléty, il doit s’entraîner de son côté, ce qui ne l'étonne guère : « Je savais très bien qu’ils allaient pas être d’accord, qu’ils allaient forcément partir en clash et c’est ce qui s’est passé. » Cela semble attrister son coach qui ne peut que constater que « pour arriver à faire bosser Djibril, il faut passer du temps et le prendre à l’affectif ». Qui lui considère plutôt que « tous les entraîneurs que j’ai eu, j’ai toujours été en désaccord avec eux, mais le truc, c’est que je cherche à ce qu’ils m’énervent pour pouvoir prouver après qu’ils avaient tort. C’est mon caractère. » Charmant jeune homme.

Le Stade Français ne peut se permettre de ne pas le retrouver à son meilleur niveau : il réintègre le groupe, et une fois sa suspension terminée va perdre avec les espoirs à La Rochelle. Perso, c’est plus ça qui m’aurait vénère dans l’histoire. Reprendre avec les espoirs passait par une condition : présenter ses excuses à Guy Savoy, ce dont il s’est acquitté à moitié, sans jamais réellement demander pardon, avec un grand sourire de vainqueur « je suis le plus malin j’ai gagné ».

Le reportage se termine et miraculeusement, Djibril est unanimement acclamé par ses coéquipiers, Pascal Papé trouvant qu’il a mûri et qu’il est plus concentré aux entraînements. Le mec qui envoie chier Pool-Jones et refuse d’aller faire des pâtisseries, en effet, il a mûri.

Je suis un peu perplexe après ce reportage. Visiblement le joueur est apprécié par son entourage : tous les joueurs en disent du bien (du moins en face de la caméra), et son coach y est attaché, car on ne s’occupe pas aussi bien du premier connard qu’on croise. Mais comment se fait-il qu’on ne voit rien dans la vidéo qui explique pourquoi ? Il dit de son coach « Je comprends pas forcément mais j’ai toujours eu du respect pour lui et je l’ai toujours remercié de ce qu’il avait fait pour moi parce qu’il m’a quand même fait oublier ces 6 mois de suspension en me faisant faire pas mal de trucs. » Le message de l’émission est très clair : on souhaite nous montrer quel bon mec il est, on l’a fait suivre par une caméra (ce qui change forcément le comportement) et je suppose qu’on a choisi ses meilleurs jours, et la seule chose que j’ai vue est le debrief pendant lequel il est loin de montrer du respect et encore plus loin de le remercier.

Depuis le reportage, Djibril rejoue, et plutôt bien. Il marque même des essais, ce qui en ce moment au Stade Français est quelque peu difficile. Il s’est fait contrôler (pas bien étonnant d’être surveillé quand on a déjà eu des problèmes), ce qui a suscité ces jolis tweets (qu’il s’est empressé de relayer):

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J'en conclus que non seulement le reportage était assez bon pour attirer de la sympathie envers lui, mais qu’il devrait de plus servir de totem d’immunité aux contrôles.

De quoi ? Un reportage sur Imelon ? Je suis sur le coup, bisous.

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#AreYouSure

A la Boucherie Ovalie, on n’est sûr de rien.

Prendre des photos de soi torse nu face au miroir, c'est moyen. Les envoyer à une fille pour la draguer, c'est assez peu subtil. Le faire publiquement sur twitter, c'est très con. Mais le faire quand on est mondialement connu, seul

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Mike Phillips peut le faire. Byron en serait aussi capable, mais qui aujourd'hui serait attiré par une photo de lui torse nu ? Je sais que tous les goûts sont dans la nature, mais il ne faut pas exagérer. D'ailleurs, il est toujours en vie ? Quelqu'un a des nouvelles ? Bref.

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Dimanche dernier, certainement un peu euphorique après la victoire galloise dans le tournoi, Mikey a offert à la “twittosphère” un grand moment de lol 2.0 :

Subtilité, quand tu nous tiens.
Subtilité, quand tu nous tiens.


Pour tout ceux qui n'ont ni Canal+ ni de bons streaming, Isabelle Ithurburu est animatrice télé, généralement enfouie sous de multiples couches de vêtements et se gelant les miches le vendredi soir sur le bord du terrain, ou beaucoup moins couverte, le samedi pendant jour de rugby. C'est accessoirement aussi la femme de Gonzalo Quesada.

On notera dans le message du constructeur de TV le magnifique #77caps, façon très fine d'utiliser son nombre de sélections pour parvenir à ses fins.

Mais Isabelle rime avec cruelle, et le Gallois est éconduit, le coeur brisé, lui qui fans nul doute souhaitait fonder une famille et finir fes jours avec l'affection paloise.
En bons journalistes d'investigation,

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les Bouchers ont tenté d'approfondir le dossier, arguant qu'ils étaient mariés eux-aussi mais vachement moins sûrs, du coup il leur faudrait d'autres photos. Oui, on essaye de récupérer du public féminin, parce que si Greg Le Mormeck a des gros nichons et Ovale Masqué des bouclettes divines, parfois en congrès on aimerait autre chose.

Mike ne répondant pas, on s'est rabattu sur notre public. Nous avons donc demandé à nos lecteurs d'envoyer leurs propres photos torse nu, imposant (pour éviter les petits malins qui connaissent le site google.com) d'avoir une pancarte

Petite précision pour nos jeunes lectrices : les hommes ayant posé torses nus sont des vrais hommes, des personnes qu'on peut croiser dans la rue, armés simplement d'un miroir et d'un téléphone/appareil photo, pas des mannequins pour slip passant leurs journées en salle de muscu et bénéficiant des services d'un photographe professionnel et de photoshop. Si ça vous plaît pas, retournez vous toucher devant un Playgirl.

Les prétendants sont donc :

(On a mis leur compte Twitter au moment du vote pour que les filles qui vont tomber amoureuses puissent les retrouver facilement)

Le premier
Le premier
Le tatoué
Le tatoué
Le mec aussi tatoué qu'un joueur professionnel (les signes tribaux en moins)
Le mec aussi tatoué qu'un joueur professionnel (les signes tribaux en moins)
Le mec qui a compris la concurrence
Le mec qui a compris la concurrence
Les poils, c'est ça qui fait un vrai homme. REP A SA Alexis
Les poils, c'est ça qui fait un vrai homme. REP A SA Alexis
le moustachu
Le moustachu
Merci pour ta contribution Sébastien
Merci pour ta contribution Sébastien
C'est quoi le truc qu'il a sous le bras ?
C'est quoi le truc qu'il a sous le bras ?
Tahiti fraicheur des îles
Tahiti fraicheur des îles
Les bogoss
Les bogoss


Ca me fait penser, il a déjà eu l'appendicite Benjamin Fall ? Il va se la faire juste après son grand retour en EdF je sens.
Ca me fait penser, il a déjà eu l'appendicite Benjamin Fall ? Il va se la faire juste après son grand retour en EdF je sens.
Yoann Huget et sa casquette
Yoann Huget et sa casquette
Le Joker
Le Joker
Fabien Barcella avance moins en mêlée depuis qu'il a ralenti sur la muscu
Fabien Barcella avance moins en mêlée depuis qu'il a ralenti sur la muscu

Votez donc pour le plus beau, le plus créatif, le plus sexy, ou alors pour le plus moche, celui qui vous a convaincu de prendre un abonnement en salle de sport, comme vous voulez. Le gagnant remportera un superbe tshirt de la Boucherie Ovalie ! Clôture des votes dimanche soir.

Lequel de ces éphèbes mérite de recouvrir son torse d'un magnifique tshirt ?

  • @DavidNst69 alias Le (un peu) tatoué (20%, 147 Votes)
  • @Zizi_Couby alias Fabien Barcella (15%, 107 Votes)
  • @p_armbd alias L'ennemi personnel de Gonzalo (14%, 100 Votes)
  • @Ptit_dej alias Le (beaucoup) tatoué (13%, 94 Votes)
  • @GregDief alias Le catcheur et le bonnet (11%, 81 Votes)
  • @TuchiTuche alias Tahiti Bob (5%, 36 Votes)
  • @arbleiz56 alias Le moustachu (4%, 31 Votes)
  • Pantxo alias Yoann Huget (4%, 26 Votes)
  • @Buvettearmandie alias l'Appendicite (3%, 24 Votes)
  • Mathieu, alias Le Joker (3%, 19 Votes)
  • @Gandalf81 alias Le (un peu) poilu (2%, 17 Votes)
  • @JuDansLombre alias Le premier monsieur (2%, 15 Votes)
  • @Escan2Romain alias Sébastien Chabal (2%, 15 Votes)
  • @francoisdelautr alias Le rugbyman (2%, 11 Votes)

Total Voters: 721

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Les Bonus :

photoshop

DOMMAGE Sonny Bill ! Il était stipulé qu'on devait lire le hashtag #AreYouSure. Nous ne pouvons donc pas t'intégrer dans le concours. Mais n'y voit pas de la jalousie de notre part. De toute manière tu dois être le genre de mec qui se promène torse nu à la moindre occasion et un tee-shirt ne te sera donc d'aucune utilité. 

La contribution d'Ovale de Grâce, seule fille à avoir participé.
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Les loges du Stade de France, c'est chaud chaud chaud (Ludo a gagné 3 ans de suite le prix de Miss Tshirt Mouillé au camping Ciel Azur).
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Le Lab'Occitan analyse Leicester-Toulouse (9-5)

Je vais bien tout va bien je suis gai tout me plait

Par Damien Try, avec des blagues piquées sans leur autorisation à la rédaction de Keposport

Comment ? Il fait déjà jour ? J’ai dormi comme ça, prostré dans un coin de mon salon, tout habillé et emmitouflé dans une couverture ? J’ai mal à la tête et au ventre, ce qui est explicable par la boite de crème glacée posée à côté de moi, dans laquelle une cuillère git dans un mélange composé d’un reste de glace fondue et de ce qui à l’odeur est certainement du whisky… Qu’a-t-il bien pu se passer hier soir ? Pourquoi ma télé passe en boucle ma VHS de la finale de Top14 2008 ? Ah tiens, l’essai de Médard. JBE qui transforme. Si seulement il avait autant de réussite en tant qu’entraîneur qu’en tant que buteur… Cette année, c’est pas brillant niveau flamboyance de la ligne arrière. Y a pas eu un match

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récemment d’ailleurs ? Quel jour est-on ? Lundi ? Ah oui, hier c’était la dernière journée des poules de H-Cup, je me rappelle avoir été à la Cantina. Tout ça est bien confus dans ma tête. J’ai une sensation de grand froid qui remonte. De la neige. Partout. Il neigeait dans le bar ? A Toulouse ? Une armée sombre qui avançait, implacable, sous des trombes de neige, pendant que le désespoir gagnait nos rangs. Un artilleur qui, de loin, condamnait l’espèce humaine et changeait à tout jamais le monde. Faut que j’arrête de regarder Game of Thrones, je fais des rêves flippants…

Surmontant

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mon envie de vomir et manquant de m’évanouir en me levant, j’éteins mon téléviseur alors que Zirakashvili marque l’essai de consolation pour Clermont. Haha les Clermontois. Ils essayent, c’est amusant. Ils jouent plutôt bien d’ailleurs, mais ils ne pourront jamais battre le froid réalisme toulousain. Attention tout de même, à force de s’économiser et d’assurer des petites victoires à base d’exploits personnels, quand il faudra envoyer du volume pendant les phases finales de H-Cup dans quelques semaines, on n’aura plus l’habitude et ça pourrait coincer. Enfin y a tout l’hiver pour hausser le niveau de jeu, accutane on s’inquiètera avant les quarts. Tiens d’ailleurs, on joue qui en quarts ? Un petit sms pour poser la question à un ami, et la réponse arrive de suite : « Perpignan putain… ». Hahaha, elle est bien bonne ! Puisqu’on n’est jamais mieux servi que par soi-même, j’allume le PC et sonde le interweb à la recherche de ma réponse. Pendant que ma bête de course des années 2000 démarre, je réfléchis, tentant de raccrocher les wagons de ma mémoire. Leicester. Des Anglais. Perdent rarement chez eux, sont allés souvent en finale, 2 titres. Zont quand même réussi à offrir à Brive un titre européen. Brive quoi. La hiérarchie du rugby a bien changé, heureusement que Toulouse sera toujours Toulouse. Bon, alors, rugbyrama…

?

??

Je cours aux toilettes, et rend ma crème glacée. Vanille, tiens.

C’est impossible, j’ai mal vu. Une défaite, ça voudrait dire… Une élimination ? Retour aux toilettes, c’était bien du whisky, et du pas bon qui plus est.

Je cherche le replay de France Télévision, pour comprendre. Rah ces cons-là se sont plantés, c’est pas du rugby mais du ski de fond. Ah non. La compo de Toulouse est intelligente vue les conditions : la première ligne la plus solide possible depuis qu’on a dit que Servat c’était fini, du très lourd pas très coureur dans le pack, et Beauxis en 10 à la place de McAlister qui passe 12. En gros vues les conditions, on va la jouer rugby à 10 : un gros pack qui concasse et un jeu au pied qui punit. « Le plan était presque parfait ».

Le terrain est à peine praticable, la balle invisible. Il faudra attendre la 5ème minute pour que les Toulousains aient un ballon à jouer. Mais comment jouer ? Census semble perdu, ne comprenant visiblement pas quelle est cette chose blanche et froide qui tombe du ciel. Après avoir manqué de justesse de prendre un essai, Toulouse domine. La stratégie fonctionne, mais seulement à moitié : si les avants font le boulot et que les Rouge et Noir s’installent dans le camp des Tigres des neiges, les pénalités glanées ne passent pas. Beauxis ou McAlister, rien n’y fait et les poteaux sont contre nous. Les conditions sont dures pour tout le monde, et sur une accélération, Mafi se claque, très certainement en raison du froid. Je me blottis sous ma couverture. Jolie glissade qui s’en suit pour lui, un ventriglisse hivernal. A Toulouse il n’y a que deux façons de marquer, les pénalités et la puissance du pack. Et malheureusement si Picamoles avec la puissance d’un chasse-neige s’écroule dans l’en-but, l’essai ne peut être accordé. De Pénalité n’est pas là, la mêlée est chahutée et ne peut concrétiser l’occupation.

Il neige aussi sur Toby Flood, mais lui ne rate pas les pénalités. Avec l’appui du vent, et un peu contre le cours du jeu, il enquille et porte le score à 9-0 à la mi-temps. On parle de réalisme, de points laissés en route.

J’assiste comme hypnotisé à la seconde mi-temps, voyant l’inéluctable se dessiner, et l’essai de Yoann Huget n’y changera rien, je connais l’issue funeste de ce match. Analysons l’action tout de même. Après une touche volée, McAlister monte une chandelle. Beaucoup trop loin des quelques avants placés autour du ruck. Le temps que les arrières montent, l’arrière anglais a largement eu le temps de foirer sa réception, de laisser le ballon rouler. Huget qui traine par là en profite. Ce coup de bol octroiera les seuls points toulousains de la rencontre, un symbole.

Après un drop manqué par Beauxis, McAlister rate des 22. Toulouse va perdre, Toulouse va être éliminé de la H-Cup. En poules. Le match se poursuit et je me sens telle une adolescente devant Titanic : je le sais que Di Caprio va mourir, et tous mes pleurs ne pourront empêcher l’iceberg anglais de couler le supposé insubmersible haut-garonnais. Pourtant il y avait de la place sur la porte à côté de Kate Winslet, les Toulousains pouvaient gagner ce match, Botha a avantageusement remplacé Tolofua en touche, assurant le gain de tous ses lancers. Sauf le dernier, la « balle de match » comme on dit à la télé.

Ce qui devait arriver est arrivé. Les professionnels en mode « service minimum » ont fini par se faire licencier, Toulouse sort de la H-Cup. La mauvaise foi de Novès qui compte les points perdus en route et les ajoute au total toulousain oublie les deux essais manqués de peu par les Anglais. Il parle d’une « équipe qui s’est donné les moyens de marquer 30 points mais qui par manque de réussite n’en a marqué que 5 ». Même si le nombre 30 est un peu exagéré, c’est assez juste. Mais une équipe comme Clermont se donne les moyens de marquer 60 points dans ses matchs européens. Dans ses matchs domestiques aussi d’ailleurs.

Que faire désormais ? Jouer la Amlin Cup ? La gagner serait pas beaucoup moins honteux que la perdre. Imaginez cette ligne dans le palmarès. Sur le maillot on met quoi à côté des étoiles ? Un caillou ? Une tétine ? Un étron ?

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Novembre 2011, Guy Novès : « Quand on a une équipe italienne, on sait que globalement, c’est 10 points, cinq à l’aller et cinq au retour. » Si Toulouse avait effectivement ramené 10 points de ses confrontations avec Trévise, ils étaient qualifiés en quarts. Ce n’est pas le cas, et moi je vais me coucher et aller pleurer un peu, ça me détendra. Allez Grenoble.

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Le Labo dauphinois analyse Grenoble-Castres (14-12)

Oui je mettrais des photos de Grenoblois qui lèvent les bras dans tous mes articles.

Par Damien Try

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Le contexte :

Cette rencontre avec Castres est l’occasion pour Grenoble de réaliser la passe de trois : trois victoires à domicile pendant les vacances scolaires de Noël, contre Toulouse, Bordeaux-Bègles et Castres. Tout ça toujours dans l’optique du maintien, malgré la déjà considérable avance sur le groupe classé orange par Bouchon Futé en cette période de fêtes.

Côté castrais, l’équipe se sent émasculée par l’absence de Rory Kockott. La version officielle au club est que tout va bien, c’est juste des petites vacances, il sera là lundi à l’entrainement, t’inquiète la guinguette je gère la fougère. Mais entre ce qui filtre dans la presse et les messages sibyllins sur twitter dans un style philosophique inégalé depuis Invictus, si j’avais été supporter toulonnais je me serais bien fait plaisir sur le couplet des mercenaires dans le club qui préfère le bal-musette à AC/DC. Lacrampe qui rongeait son frein le remplace donc.

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Ce match est, je le rappelle, un simple match comptant pour le Top14. Il n’y a pas d’héritage, il ne s’agirait en aucun cas d’une revanche, si ce n’est que du match aller qui avait vu Grenoble s’incliner. Je ne sais pas ce qui s’est passé dans les années 90, je ne veux pas le savoir oubliez-moi.

Le film du match :

Ayant été grossièrement dérangé par mon vilain voisinage venu me harceler au plus mauvais moment (volontairement j’en suis convaincu), j’ai raté les premières minutes du match. Bien mal m’en a pris, puisque j’ai ainsi raté un très bel essai combiné par le duo Pélissié-Dupont. A ceux qui railleront en m’annonçant qu’ils auront disparu de l’effectif l’année prochaine, je répondrai qu’il paraitrait que le duo d’entraineurs d’en face aussi mais chut, ce n’est pas moi qui vous l’ai dit. Toujours est-il que Grenoble mène 5-0 dès l’entame, domination de courte durée, puisque Marc Andreu s’offre un contre et résiste au coup de pied prise de kung-fu de Dupont pour aplatir. La rencontre vire à un véritable affrontement en conquête, où le FCG tient le coup en rendant touche perdue (comme sur l’essai concédé) par touche volée, se payant le luxe de gagner un ballon en mêlée, et à la poussée monsieur, comme de véritables Mammou… comme de véritables éléphants pardon. Avec l’appui du vent mais de plus de 50 mètres, Stewart, bien nommé pour connaître les bars, tape sur une pénalité la transversale, le ballon s’élève, et passe entre les poteaux ! La réussite est avec les Isérois, et juste avant la sirène, monsieur Cardonna accorde une pénalité réussie par Pélissié, pour terminer la mi-temps sur le score de 11 à 5, un score qu’on qualifiera de « flatteur » pour les locaux, tant les Tarnais sont dangereux.

Pourtant désormais

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face au vent, la domination est rouge, rouge, rouge et bleue, ce qui permet à Stewart de placer un drop pépère face aux perches. Le micro en-avant (qui ne change rien à l’action) dans le ruck précédent permettra à Labit de gueuler au vol à la fin de match, mais ça se

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saurait s’il y avait de la magouille dans le rugby pro. Les présidents de la Ligue et de la Fédé ont toujours œuvré à ce que ça n’arrive pas, que ce soit Bernard Lapasset il y a quelques années, ou Serge Blanco Jr aujourd’hui.

Le match se complique ensuite pour les Grônoblois : Pélissié rate complètement son drop, les jardiniers de Lesdiguières affirment que les taupes sont encore aujourd’hui cachées très loin sous terre de peur qu’il en retente un. Castres se souvient que l’équipe d’en face a pris 30 points chez eux et n’est qu’un promu, et notamment utilise la puissance de son seconde ligne Gary Whett… JOE TEKORI. Ils campent dans les 22, multiplient les temps de jeu en supériorité numérique après le carton infligé à Bancroft pour un acte d’anti-jeu salutaire. Heureusement que Lamérat met un terme à cette possession en confondant l’arbitre de touche avec son ailier. Attention Rémi, s’il fait plus d’un mètre soixante, est habillé en rose et porte un drapeau, il n’y a que peu de chances que ça soit Marc Andreu.

Les visiteurs commencent à fouetter du croupion, et menés 14 à 5 à la 67ème, ils commencent à se résigner à prendre le bonus défensif puisqu’ils choisissent de taper une pénalité. Pénalité qui tape une nouvelle fois un poteau, mais ne passe pas : zéro sur quatre pour Bernard. Pour un club, avoir des buteurs de la trempe de Kockott ou de Teulet, c’est bien. Qu’ils soient sur le terrain, c’est pratique ! L’ouvreur castrais est donc renvoyé sur le banc. Faillite du buteur, il faudra donc un essai qui viendra conclure une longue poussée des Pharmaceutique-boys, profitant quelque peu d’une grossière erreur du staff grenoblois qui oublie de faire rentrer le remplaçant du carton arrivé à sa fin. C’est dommage de jouer si bien sur le terrain et de faire des conneries de ce genre en dehors. Par exemple mettre des gonzes sur la feuille de match alors qu’ils ne sont pas qualifiés pour jouer en Amlin Cup, par exemple…

Deux petits points d’avance à huit minutes de la fin, le suspense est affreux. Les Grenoblois conservent au mieux le ballon, avancent dans le camp adverse, on croit au drop, une fois, deux fois, et puis non. Et puis ils perdent la balle. Et puis Castres avance. Encore. Encore. Des petits tas. De l’affrontement un contre un. Ils ont bien dû jouer 5 minutes dans 20 m² à 40 mètres face aux poteaux grenoblois. Mais la défense tient bon, mes nerfs beaucoup moins, et à la 84ème minute, l’arbitre Daniel Salles siffle enfin la victoire de Grenoble, mettant fin à mon supplice.

La déclaration :

Fabrice Landreau : « Si vous gardez cet esprit-là, si vous restez que collectif et que les ego on les laisse de côté, peut-être qu’on va pouvoir aller chercher quelque chose ailleurs. » Ah bah enfin ! Il aura donc fallu avoir 24 points d’avance sur le india cheap viagra premier relégable (à rattraper en 11 matchs) pour se rendre compte qu’être 5ème, déjà loin du 7ème (non-barragiste), ça peut être intéressant pour la suite du championnat !

Merci au grand Schtroumpf
Merci au grand Schtroumpf

Les joueurs :

Les vengeurs :

Pour reprendre le mot d’ordre qui règne au sein de l’équipe, c’est vraiment le collectif qui a brillé ce samedi. Mention spéciale tout de même à Beukes, à la troisième ligne notamment Best qui porte bien son nom. Stewart a su gérer un match affreusement tendu. Hunt est très bon à la main, mais il faut qu’il arrête de penser que jouer au pied est la solution quand il n’y a pas de solution. Dupont a travaillé sa stat de placage avec un deux pour le prix d’un assez rare.

Et pour tout ceux qui rigolent et pensent que Grenoble c’est de la ProD2 chanceuse : ce week-end le match du FCG c’est encore le match avec le plus de temps de jeu effectif : plus de 36 minutes. De la ProD2 H-Cupée quoi.

Les protégés de la Fédé :

On s’en fout de leur gueule ! Ils ont perdu ! Franck Hueber, Jacques Fouroux et la grande époque du Grenoble des années 90 qui n’a pas été récompensée par un titre cent fois mérité sont enfin vengés ! AHAHAHAHAHAHA !

Et merde. Vingt ans de psychothérapie ruinés.

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