Vidéo – Le parfum des phases finales Une vidéo épique. Par @MartinScore16a3, @PixNGo et @Capit_haine Alors que la phase régulière du top14 est finie, les barrages opposant Toulouse au Racing et Castres à Montpellier arrivent à grands pas. La Boucherie Ovalie avait dans l'idée de vous offrir une petite vidéo dans le but de vous chauffer avant ces grands rendez-vous, c'est alors que Capitaine eut la bonne idée d'aller chercher dans le maquis briviste un des plus fameux réalisateurs : Martin Score16à3. Il ne fut pas facile à dégoter puisque déjà pour se rendre à Brive c'est galère, alors le maquis… Mais rien n'est impossible quand l'aura d'Ovale Masqué vous accompagne, il a suffit à Capitaine de déboucher une bouteille de Palinka en criant “gloire à Caminati” pour attirer le réalisateur dans ses filets. Il ne manquait plus qu'un producteur ambitieux pour compléter le projet : Pix N' Go, le réfugié politicorrézien en Papouasie, qui a dû changer d'identité pour pouvoir rentrer en France lors du tournage, était l'homme de la situation. Un rapatriement en valise diplomatique plus tard, le trio était au complet. Avec sa fine équipe, Capitaine n'avait plus qu'à se saouler la gueule à l'alcool de gingembre pour avoir une bonne idée et son duo de talent à la réaliser. Ainsi vit le jour cette vidéo des phases finales du Top 14, régalez-vous : zp8497586rq
Les jeux du mercredi : Qui a dit… ? Même Thomas Castaignède peut répondre à nos questions de merde. Par La Bougresse, WOOOOOHOOOOOOOO ! Nous avons un gagnant ! Félicitations à lui, il va avoir droit à un super T-Shirt gratis. Pour ceux qui ont répondu à côté de la plaque et ceux qui n'ont pas répondu tout court, les réponses sont en rouge. Aujourd’hui La Bougresse vous propose un jeu. Elle a jugé bon que pour une fois il faille faire marcher vos petits cerveaux de fainéants. Voilà donc un quiz. Le but du jeu est de retrouver l’auteur de la phrase énoncée. Pour vous aider un peu vous avez 4 propositions, à vous de retrouver qui a osé sortir une telle connerie. Ça peut être un joueur, un entraîneur ou autre personnage rugbystique voire un boucher. Balancez vos réponses dans les commentaires et contribuez à l'esclavage du Stagiaire qui se chargera de tout compter. Le premier qui a tout bon remporte un tee-shirt, le second une photo d'un tee-shirt et le troisième une photo d'une photo d'un tee-shirt (oui, faut pas rêver non plus ! ). A vos cerveaux, prêts, partez ! 1) « J'évite la starification, ça ne m'attire pas du tout » Mourad Boudjellal Vincent Clerc Sébastien Chabal Gavin Henson 2) « Par définition, plus on se rapproche de la fin, moins il y a de matches » Bernard Laporte JB Elissalde David Marty Felipe Contepomi 3) « Toujours avoir les dents bien propres ! » Yoann Huget Aurélien Rougerie Morgan Parra Mamuka Gorgodze 4) « Moi, je suis surtout content de faire de l’hélicoptère car je n’en ai jamais fait » Luke Burgess Byron Kelleher Benoit Baby Pascal Papé 5) « Moi, si je me rase la tête je ressemble à Hugh Jackman » Ovale Masqué Adam Jones Julien Pierre Guy Novès 6) « C'est pour ça que je suis très content d'avoir un pick-up, je peux charger des animaux derrière .Et tant qu'il y a des armes à feu et des animaux, moi, ça me va! » Alexis Palisson Richie McCaw Bakkies Botha Vern Cotter 7) «En fait, j’aimerais bien être une femme pour avoir une immense garde-robe» Vincent Clerc Shaun Sowerby Damien Traille Clément Poitrenaud 8) « Avant Rémy Martin était un joueur de rugby qui savait utiliser sa droite. Depuis qu’il a découvert celle d’Olivier Missoup, il utilise le droit » Mourad Boudjellal Maître Connard Alexis Palisson Bernard Laporte 9) « Florian Fritz ce genre de joueur qu'on connaît peu » Mathieu Lartot Laurent Bellet Richard Dourthe Alain Afflelou 10) « Mais j’ai zéro tolérance pour les boissons alcoolisées. Mon corps ne comprend pas. Quand je bois, je deviens très joyeux, extrêmement sentimental, très excité, un petit peu stupide, tout ça à la fois. » Julien Caminati Morgan Parra Guy Novès Jonny Wilkinson 11) « Le Rugby c’est la combativité, faut sans arrêt s’aider c’est un sport collectif, sans l’autre on n’est rien. Après Il y a beaucoup de respect pour l’arbitre. Je pense que c’est beaucoup de valeurs que l’on retrouve dans la vie comme se respecter. » Juan Leguizamon Frederic Michalak Julien Caminati Florian Fritz 12) « J’aime celles qui disent oui et qui ont plus de 18 ans» Mike Phillips Gregory le Mormeck Ronan O’Gara Maxime Mermoz 13) « Les femmes font tourner leurs tampons lorsque Brock James donne le coup d’envoi» Pastigo Mourad Boudjellal Mathieu Lartot Laurent Bellet 14) « Nous, les joueurs, plus personne ne nous écoute. On est sur le marché du rugby. On est du bétail» Lionel Beauxis Sebastien Chabal Imanol Harinordoquy Benjamin Fall Et une dernière facile, pour vous trimards ! 15) « Beauxis ne sentait plus ses mains » PSA Sa maman Guy Novès JB Elissalde zp8497586rq
René Fontès vs. Mourad Boudjellal : le ton monte. Par Marcel Caumixe Dans ce qui s'apparente désormais à une guerre ouverte, Mourad Boudjellal et René Fontès semblent décidés à faire monter la pression dans la perspective de la finale qui opposera leurs clubs respectifs. Mourad Boudjellal a mis le feu aux poudres en déclarant « Clermont fait partie du mensonge ». Dans les colonnes de La Montagne, la réaction du président Fontès n'a pas tardé : « On ne peut pas se permettre de mettre en cause l'intégrité de Clermont quand on a des sponsors comme ceux du RCT (…) je me méfierais de l'argent qui vient d'une entreprise dont le nom a une consonnance italienne et dont l'activité est la gestion des déchets, qui plus est dans un port du sud-est. Quand on a un maillot sponsorisé par ce type de partenaire, on risque de finir avec des chaussures sponsorisées par Lafarge. » Le président du RCT ne pouvait pas en rester là, et a déclaré dès le lendemain dans La Provence : « Se rabaisser à employer les habituels clichés sur le tissu économique toulonnais n'est pas digne d'un homme de l'envergure du président Fontès. (…) Je pourrais à mon tour dire qu'un gestionnaire de patrimoine qui investit dans un club à Clermont a probablement des vues sur ce qui se trouve sous les piles de draps, dans les armoires des petits vieux auvergnats, et qu'à leur place je me méfierais » Dans le magazine Géo, René Fontès réplique : « Les vacances en Auvergne, c'est fantastique. Enfin… Sauf si vous vous appelez Mourad Boudjellal, auquel cas vous ne seriez pas à l'abri de trébucher sur une fourche en visitant une ferme fromagère typique ». Dans Auto Plus, c'est au tour de Mourad Boudjellal : « La Maserati est une voiture exceptionnelle. C'est pas comme la Fuego à René Fontès… ». « Boudjellal ! Je te sodomise à l'aïoli ! » – Modes et Travaux « Fontès gros batard qui pue le pneu ! » – De Particulier à Particulier « Sale pute ! » – Valeurs actuelles « Franc-Maçon socialiste ! » – l'Express Et ainsi de suite… Tout cela laisse augurer de moments très “valeurs du rugby” si ces deux clubs venaient à se croiser à nouveau en finale du Top14, et nous aurions moins à déplorer le niveau de celle-ci que celui de leurs dirigeants. Si vous souhaitez en savoir plus sur la levée de fonds dans le Haut-Sancy, vous trouverez ici un reportage en immersion du très estimé Vern. zp8497586rq
La prise de conscience de Leo Cullen Monde de merde C’est une période difficile de sa vie que traverse Leo Cullen, malgré la large qualification du Leinster en finale d’Amlin Cup le week-end dernier face à Biarritz (44-15). Tout d’abord la cruelle désillusion qu’il a subie il y a deux semaines lors de la non-citation de Paul O’Connell après son coup de pied à la tête de Dave Kearney, qui l’a amené à déclarer : « Les joueurs doivent avoir foi dans le système mais pour ma part celle-ci a changé. Cet incident aurait clairement dû être examiné à un niveau supérieur mais ça n’a pas été le cas pour je ne sais quelle raison. » En effet, Leo Cullen étant lui-même Irlandais (de naissance, de chevelure et de faciès), il n’avait jusqu’ici pas pu se rendre compte de la propension des instances européennes de rugby à protéger les joueurs irlandais avant le Tournoi ou un match de Coupe d’Europe. Mais sa prise de conscience ne s’est pas arrêtée là. Ce mardi 30 avril, il a annoncé ses dernières amères découvertes dans le quotidien « The Independant » : « Il s’avère que le monde n’est pas aussi beau qu’il n’y parait. Il semblerait par exemple que la guerre en Irak ait été motivée au moins en partie par des intérêts financiers et non pas pour la libération du peuple irakien, comme nous l’avait présenté Georges Bush. Pire, en Afrique, des enfants meurent de malnutrition tous les jours. Tous ces faits m’ont fait ouvrir les yeux sur l’injustice qui plane sur ce monde. Aujourd’hui, je souhaite mettre à profit cette difficile expérience et ce gain de sagesse pour en faire profiter le plus grand nombre. Je suis en train de rédiger une lettre s’élevant contre les tartines qui retombent toujours côté confiture, et je demanderai au Père Noël que des mesures soient prises. Lui au moins il est gentil. »
Contrat record pour Damien Traille Dans la foulée de la prolongation de Jérôme Thion, le Biarritz Olympique vient d'annoncer que Damien Traille a resigné pour une durée record de 15 ans. how to get your girlfriend back Joint par téléphone, Serge Blanco a confirmé : “L'histoire du coup de balai était plus le fruit d'un mauvais Irouléguy que d'une bonne réflexion. Et ça, Damien, Imanol, Dimitri et Julien ont su m'en convaincre : comment peut-on faire fructifier un tel réservoir d'expérience si on n'a de cesse de leur mettre la pression avec la concurrence de petits jeunes ? Le Club était en recherche d'un Utility Back qui puisse couvrir tous les postes du 15 au 10. Damien, avec le style qui le caractérise s'inscrit plus que jamais dans le plan de jeu cialis for sale du BO. En plus, c'est un bon mec. Pas comme ces sauvageons qui sortent du bus, le casque aux oreilles et le nez dans leur iPhone, à twitter leurs photos de vestiaire… Damien sera un joueur clé pour atteindre l'objectif que nous nous fixons : remonter en Top14 à l'horizon 2025. Plutôt que de le voir partir à Toulon, nous avons voulu faire le nécessaire pour le garder, et lui apporter de la sérénité.” [pullquote]Vintage Recruiting[/pullquote] Toulon, toujours très aggressif sur le marché des transferts, fait effectivement office de pionnier pour l'embauche des seniors, une mode communément appelée le “Vintage Recruiting”. Grâce aux succès récemment remportés, le RCT a fait la preuve éclatante de l'atout indéniable que représente un effectif expérimenté, outre l'obtention d'un juteux crédit d'impôts. Les progrès de la médecine ne sont pas non plus étrangers à l'activité prolongée de nos ainés : en bonne santé beaucoup plus longtemps, ils gardent l'oeil vif, le pied sûr et le menton proéminent. Leur qualité de vie s'est améliorée de manière significative, et les petits vieux impotents et obèses qui radotent au sein des instances du rugby feront bientôt partie du passé. [pullquote]Tena, Norwich Union, Roc Eclerc, peut-être même Citroën[/pullquote] Sur la rumeur qui évoque une somme à 6 zéros, Serge Blanco reste évasif : “Rapportée à la durée du contrat et à l'inflation, la somme est finalement assez modeste. Et je ne parle même pas des produits dérivés et des contrats publicitaires, qui de nos jours sont à prendre en compte dans l'équation de la rémunération des joueurs. La population de Biarritz étant ce qu'elle est, il est plus facile pour eux de s'identifier au Damien Traille de dans 15 ans qu'au Jean-Pascal Barraque d'aujourd'hui. C'est avant tout un recrutement sportif, mais la logique commerciale est indéniable : les sponsors commencent déjà à se bousculer à nos portes. Je parle de grands groupes comme Tena, Norwich Union, Roc Eclerc, peut-être même Citroën.” Dans un marché qui ne parle que de l'arrivée de Jason Leonard sur la Rade et de l'embauche de André Boniface comme Joker Médical à Mont-de-Marsan, Biarritz compte bien frapper un grand coup, comme le laisse entendre cette confidence de l'homme fort du BO : “Je ne peux pas trop en dire mais nous sommes aussi sur le point de faire signer un CDI à deux joueurs d'envergure internationale, un 8 et un 9, pour mener à bien notre plan pentadécennal.” zp8497586rq
Compte rendu ASM-Munster Petite leçon de fofanisation à l’usage des rouquins Par Pastigo, Une demi-finale de H Cup. Des Irlandais. Des roux irlandais. Des putain de roux irlandais. Rien de tel pour se rappeler les bons souvenirs de quelques campagnes épiques. Et une armée de fanatiques décidés à griller leur 13ème mois pour emprunter l’A75, axe judicieusement choisi puisque gratuit, ce qui présente ici un charme certain. Montpellier peut donc se targuer de voir se jouer la H Cup, à défaut de jouer l’Amlin. C’est que cette dernière n’est pas donnée à tous, seul le Leinster a réussi à s’extirper du piège Heineken. Toulouse avait pourtant fait bonne figure avec un parcours presque parfait, mais il n’y aura que le grand Stade Français distillant assez de classe pour faire briller nos couleurs. En attendant les secondes mains doivent se satisfaire de bière en coupe, que même les Écossais boudent, afin de rejoindre Dublin. Chez des Irlandais. Des roux irlandais. Des putain de roux irlandais. Ça a l’air sympa l’Irlande. Déjà parce qu’ils picolent. C’est toujours un lien très fort entre supporters. Et aussi parce qu’ils ne peuvent pas piffrer les Anglais, et ce depuis bien avant les premiers tournois. Sans entrer dans les détails, on a inventé le rugby pour que les deux pays s’entre-tuent de manière plus propre et équitable. Pourtant là, on est quand même face à la branche bien dégueulasse de l’Irlande, vu qu’on a déjà viré celle qui joue bien. L’ASM possède les deux meilleurs marqueurs du tournoi, le Munster a O’Gara. L’ASM envoie de toute part sur les ailes comme au centre, le Munster a O’Gara. Et O’Connell aussi, contre lequel Interpol ne peut toujours rien tant qu’il ne rendra pas la cape d’invisibilité de McCaw. Mais le Munster c’est deux Coupes d’Europe quand les Jaunards jouissent d’un palmarès d’une demi-finale fofanée. 109 matches joués par les Rouquins, ça fait 8720 minutes de pick&go, c’est aussi incroyable que c’est chiant, mais visiblement, ça paye. Du coup, entre le mojo de Pierre Richard* et la pénible efficacité du Munster, ça ne fanfaronne que chez ceux qui n’ont toujours pas compris qu’on a toutes les cartes en main pour perdre comme il faut. C’est donc au Stade de la Mosson que se retrouvent les deux protagonistes. L’ASM contre le Munster, un duel fromager. Monsieur Owens, qu’on connaît bien puisque il est visiblement le seul avec Barnes à arbitrer les rencontres internationales depuis 10 ans, est équipé de la désormais indispensable Ref-Cam. Jamais le public n’a été plongé aussi près de l’action, pouvant admirer en haute définition la pelouse et quelques narines. Avec l’accord de son professeur principal, nous avons également équipé un des joueurs auvergnats de la Bardy-Cam, instrument éco-citoyen qui se recharge tout seul suite à des chocs et qui aurait pu éclairer Tokyo pendant 7 ans à la fin du match. Voici donc le match vu de l’intérieur et le sujet qui a bien voulu se prêter à l’expérience. Je suis content. Julien est un jeune garçon très curieux qui montre un réel intérêt mais qui a besoin d’être un peu canalisé. Après un premier trimestre convainquant, notamment grâce aux TP avec son camarade Vosloo, il a su montrer une réelle aptitude au travail. La semaine passée à l’école est pourtant nerveusement difficile, et il a trouvé à l’ASM une activité périscolaire lui permettant de se détendre et de se dépenser. Le match débute comme il ne faut pas, c’est à dire avec des Rouquins qui mettent la main sur le ballon et une pression en tas, en tas, puis en tas jusqu’à une faute auvergnate et une pénalité réussie par O’Gara. Voilà qui laisse présager le pire, un match super casse-couilles et piraté par les Irlandais comme c’était à craindre. Julien derrière le plaqueur s’apprête à gratter. Mais fort heureusement, l’ASM va se mettre à claquer les miches du Rouquin furieux et remet la main sur le ballon. A peu de choses près, les Auvergnats ne leur rendront pas de toute la 1ère mi-temps. Nous assistons alors stupéfaits au début d’un des plus beaux ballets de désossage jamais vus, les corps de 120kg volent dans tous les sens, à chaque impact on craint de voir partir une couille à mach2 éborgnant un supporter en tribune. Mais les deux équipes ont bien saisi l’idée et les notes artistiques se partagent, avec tout de même une préférence pour les loots maîtrisés à merveille par les Auvergnats qui font eux-mêmes voler en chicken-backflip des rougeots joviaux. A force de pression dans l’axe et de bon gros coups dans ta gueule la défense du Munster-moche se disperse (ou se fait disperser plutôt) et Nalaga voit 3 de ses camarades démarqués sur son aile à 10 mètres de l’en-but. Ne se reconnaissant pas parmi ces joueurs, il décide de repiquer tout droit et tout seul. Et il marque le 1er essai du match, ce qui est plutôt une bonne idée puisque Vern l’avait déjà mis en joue depuis la touche, fouillant énergiquement sa cartouchière. Julien plaque Murray. L’ASM, terrible en défense, récupère chaque ballon et tente à peu près tout. Ballon porté, mêlée conquérante, percée au centre… Et toujours ces bons gros plaquages de bourrins. Les Rougeots commencent déjà à déguster. Ça recule, ça traverse le terrain dans sa largeur. En fait, il semble clair qu’ils cherchent de plus en plus à s’enfuir et se lancent la balle pour ne pas être celui qui va mourir. Hines comme notre ami Julien veulent les manger, simplement. A ce jeu l’ASM obtient deux pénalités transformées par Parra et nous en sommes à 13 à 3. Julien sort la tête d’un ruck. Les centres commencent à percer, Fofana, égal à lui-même, mais aussi un excellent King qui fait rêver le cheptel de Brock James. Seulement l’ASM enchaîne plusieurs bonnes occasions sans marquer, et c’est bien dommage puisque jusqu’au bout ces oublis ne feront cesser cette petite coulure à l’intérieur de ma cuisse. D’autant que juste avant la mi-temps, les Rouquins viennent taper dans la motte et sont à deux doigts de rentrer au vestiaire avec leur sourire hideux. A croire qu’ils sont bons joueurs ou qu’ils ont trop étudié le jeu auvergnat, ça foire. Le début de la seconde mi-temps sera partagé entre un massacre des avants et quelques vagues de tortures défensives, illustrées par notre ami Julien qui vient tenter de dévisser Zebo par la taille puis de l’enfoncer sous la pelouse. Le bougre ne veut pas décéder, ce n’est que partie remise. O’Gara ne sait plus quoi faire et tape n’importe où puisqu’un tiers de son effectif a déjà perdu au moins un membre, ça ne marche pas top et il devient tout rouge comme quand il est pas content cialis for sale ou que Sexton se fout de sa gueule. Les avants auvergnats étant très contents d’être là, ils offrent après une bonne série de maraves une nouvelle pénalité que Parra réussit. Bingo ! 16 à 3, le break est largement fait, on est en sécurité, l’occasion idéale pour se prendre un essai de Hurley bien construit via la botte d’O’Gara. Quelques part en Auvergne,je commence à dessiner des symboles tribaux sur les murs avec mes propres déjections. Après une série de 37 tentatives de meurtre et l’application de 4 mètres de bandes sur le visage, Julien doit sortir un peu. King, décidément monstrueux lui aussi, décide de se suicider dans une percée géniale et perd sa 17ème vie de la saison. La deuxième équipe de l’ASM entre peu à peu sur le terrain (ne parlons pas d’équipe B, ça ne sert plus à rien). Clermont tente de gérer sa fin de match à coup de gros, et Nalaga force ma plus belle descente d’organes à l’aide d’une Poitrenade de classe internationale. Aucune idée de comment on a pu se sortir de ça, je tentais de me renfiler le pancréas aux toilettes. Jusqu’au bout nous resterons à 16-10, soit le score le plus pourri qui soit quand on est l’ASM, en attendant la fin de ces infernales 20 dernières minutes. Mais le Munster en a quand même pris plein sa tronche et enchaîne les maladresses, quand Murray ne fait pas carrément n’importe quoi. Mon système intestinal ne retrouvera un équilibre bienfaiteur que sur cette dernière mêlée sur laquelle les avants récupèrent une pénalité, balancée au milieu d’un orgasme orgiaque dans lequel baignent 25,000 moustachus jaune et bleu qui n’hésitent plus à briser toutes les convenances sexuelles propres au monde agricole. 16-10. Forry goon game. JAY CHUI CONTENT!!! Pour la première fois de son histoire, l’ASM accède au rang de ceux qui n’ont pas l’air con. Pour le moment, puisqu’il faudra encore se débarrasser des méchants du RCT avant de pouvoir violer légitimement les enfants de ses voisins. Vu qu’on ne leur a pas enfilé deux dérouillées en championnat, nous ne sommes pas en position propice à la légende qui nous assurerait la plus glorieuse des défaites. En clair, d’après les astres, l’ASM a ses chances de gagner cette fois-ci, idéalement avec une belle sodomie arbitrale pour s’offrir dans les 6 mois de déclarations varoises sur Rugbyrama. On remet ça en championnat et on pourra considérer que l’ASM a fait un petit parcours honnête. *Il ne s’agit pas d’un joueur de Castres. (Merci à Dim50 des cybermoustaches pour la photo de Bonnaire en pyjama)