Le Labo Dauphinois analyse Grenoble-Toulouse I had a dream… Par Damien Try Le contexte : Pour terminer cette très belle phase aller de Top14, Grenoble a droit au double champion en titre : l’Ogre Toulousain. Cerise sur le gâteau, ou plutôt jus de citron sur les huitres, nos amis gallois les ont battus la semaine dernière, provoquant ainsi l’ire novésienne. Ainsi, selon l’aveu même du pauvre Vasil Kakovin, ça a bien gueulé pendant la séance vidéo. Et puis, « Toulouse ne perd jamais deux fois de suite », proverbe alakon pour noircir du papier jaune. Mais bon, McAlister est blessé, et il possède la moitié du talent de l’équipe, et Fritz aussi, qui lui détient la moitié de l’envie. Grenoble, dans un Stade des Alpes à guichets fermés depuis deux mois, a donc une petite chance d’assurer la 6ème place. Pour ma part, j’étais à Grenoble pour des fêtes en famille, comme Vincent Clerc je ne suis toulousain que pour des raisons professionnelles. Enfin, je me tape pas non plus la fille de mon patron hein. Quelques jours avant le match, j’ai eu la bonne surprise de me faire inviter via twitter par un supporter grenoblois. Flairant une embuscade préparée par JBE pour m’enlever, me torturer et me faire cracher l’adresse de l’auteur du tweet de la honte, j’ai un peu hésité, mais la perspective de boire des bières dans un stade l’a emportée, et j’ai accepté l’invitation. Place proche du terrain et pinte à la main, REP A SA Ovale de Grâce et tes invit’ au Racing Métro ! Novès aligne plus ou moins son équipe-type (sauf la charnière Bézy-Doussain), fait de l’intox juste pour rigoler un peu en plaçant Botha sur la feuille de match usa pharmacy et en faisant jouer l’inusable (?) Servat. A l’annonce des équipes, Vincent Clerc se fait évidemment ovationner, ainsi que Yann David, preuve que la bombe nucléaire qui a réduit le club voisin à néant a laissé quelques survivants. Vingt mille spectateurs sont présents, moi y-compris avec mon maillot du FCG offert par Ovale Masqué himself (il pensait me faire honte mais je le porte avec grande fierté), l’arbitre siffle, la pluie commence à tomber, le match peut commencer ! Le film du match : Dans des conditions difficiles, le rugby à jouer est simple, et les Grenoblois l’ont bien compris. Stewart promène le triangle arrière au pied (il a dû être mis au courant de sa prestation contre les Ospreys) avec des chandelles et du jeu d’occupation. En retour, il est constamment ciblé par l’attaque haut-garonnaise, mais sans rien céder. Le coach des avants toulousains est aux premières loges pour constater que la conquête est clairement à l’avantage des locaux, avec deux touches volées et une mêlée récompensée plusieurs fois par des pénalités et bras cassés. Les Grenoblois pressent et conservent la balle, le Stade des Alpes croit plusieurs fois à l’essai, mais il faudra se contenter des pénalités assurées par Valentin Courrent. En face, c’est bien plus brouillon, mais Bézy buy cialis online s’occupe de sanctionner les erreurs grenobloises au pied et garde Toulouse au contact. 9 à 6 à la mi-temps, Grenoble méritait mieux. J’ai un peu raté le début de la deuxième mi-temps, trop occupé à recommander des bières. J’avais hésité avec le vin chaud, la pluie redoublant et la nuit tombant, mais bon ils faisaient pas en pinte, et les petits gobelets c’est pas du tout Valeurs ©. Je n’ai ainsi pas vu Courrent ajouter trois points, ni Nyanga et Albacete combiner leurs forces pour retourner Jonathan Best. Mais il aurait fallu que je sois au moins à Sassenage pour ne pas entendre la colère du public grenoblois, suffisante pour faire manquer à Nicolas Bézy la pénalité suivante. A 12 à 6 dans ces conditions, très difficile de faire du jeu. La touche grenobloise a un peu pris l’eau, perdant toute seule comme une grande ses ballons. Toulouse domine mais Grenoble tient bon. Après une relance courageuse depuis l’en-but, qui permettra à Nigel Hunt de faire une passe (comme quoi tout arrive), la défense toulousaine est prise de vitesse et se met à la faute, 15 à 6 à la 70ème, à l’abri d’un essai. A l’abri uniquement d’un essai, car la pluie est bien là. Toulouse tente tant bien que mal d’accrocher le bonus défensif, mais quand ça veut pas ça veut pas, et la sirène sonne sur un Fabrice Landreau en bonnet de Père Noël euphorique, avant un traditionnel chant de Noël (Benny B), qui était aussi affreux mais légèrement plus couillu que le pilou-pilou berlinguesque. MAIS VOUS ETES FOU ?!? Les joueurs Les Toulousains : Hey les mecs si vous avez pas envie de jouer au rugby, vous le dites hein. C’est assez étonnant de voir que celui qui se casse le plus le cul sur le terrain, c’est Servat, dont ce n’est plus le métier normalement, qui a tout gagné avec le Stade et plus rien à prouver pour l’Equipe de France. Les seuls deux autres qui méritent d’être cités dans ce match, c’est Albacete et Nyanga, mais pour le déblayage cathédrale. Pas de bol Yannick, t’avais réussi à retrouver une place de titulaire, je sais pas si tu vas trop jouer en janvier. Et puis ça donnera l’occasion de sortir de sa housse Sylvain Nicolas. Albacete pourrait connaitre un peu de repos, pas sûr qu’il se rappelle ce que c’est. Putain les gars ! Perdre contre un promu ! C’est quoi la prochaine étape ? Perpignan ? Comment ? De quoi ?… Les Grôneublois : Très appliqués, la tête sur les épaules, ils ont su jouer le rugby qui s’imposait compte-tenu de l’adversaire et des conditions. Enorme match du paquet d’avants, notamment Laurent Bouchet qui, en plus d’avoir un patronyme sympathique, a su relever le défi proposé par son vis-à-vis, un certain William Quelque Chose. Hunt rudement solide en défense, ça tombait bien face à un artiste comme Yann David. Waqaseduadua (j’ai cru entendre une blague sur son nom dans le dernier Jour de Rugby, c’est mal) a brillamment montré que même dans ces matchs, un ailier peut tout changer, précieux à la tombée des coups de pieds de Stewart. Courrent a raté une pénalité, c’est assez rare pour être mentionné. Bon elle était difficile. La décla : Jonathan Best : « Quand tu es promu, la priorité c’est le maintien, on veut les 45 points. Plus tard, on réfléchira à autre chose. » Et oui, maintenant que le FCG est à 34 points (soit 2 fois plus que le premier relégable), la fameuse barre des 40 points dont on nous rabâche les oreilles depuis août a grandi. Ca évite d’avoir à « réfléchir à autre chose » tout de suite. Quand les Isérois seront à 42 points, le maintien se jouera-t-il à 50 ? Attention les gars, vous risquez d’arriver en barrages, convaincus qu’une qualification en demi n’est pas suffisante pour le maintien…
Le Lab'Occitan analyse Toulouse-Ospreys (30-14) Ben tu vois quand tu t’appliques ! Par Damien Try Le contexte Si le rugby était une salle de classe, Toulouse serait le bon élève qui se fait chier. Celui qui s’assoit un peu au fond de la salle, qui écoute distraitement le prof en racontant des conneries avec ses voisins, mais qui leur met 10 points à tous les DS. A quoi bon être premier de la classe toute l’année, quand de toute façon tu dois te taper à la fin de l’année des concours à la noix ? 2ème c’est aussi bien en fait, et même 3 ou 4 c’est pas la mort en vrai. Big up au sparring-partners. Mais de temps en temps, même en plein hiver, faut s’employer un peu, on appelle ça les poules de H-Cup. Et pour ça le génie fainéant (je ne parle pas d’Ovale Masqué) a un peu de mal. Enfin tout est relatif bien sûr, deux matchs deux victoires, buy cheap cialis online mais quand Toulouse ne prend pas le bonus offensif, on parle déjà de crise dans la ville rose. Après s’être imposé contre Leicester et à Trévise, « mais sans convaincre », Toulouse recevait donc les Ospreys pour la première des rencontres « back-to-back » de l’hiver. Novès sort l’artillerie H-Cup, malgré l’absence de Dusautoir qui prolonge un peu son repos, et laisse à Nyanga le capitanat. Nyanga, vous voyez, le mec qui était pas sur les feuilles de matchs y a 6 mois ? Il joue 3ème ligne, même s’il court plus vite que la plupart des ailiers ? Bon pour compenser, on a une paire de centre qui en a une sacrée, de paire, David-Fritz, ce qui permet d’avoir 5 troisième latte sur le terrain. Doublon de Luke à la charnière, sur la moyenne les deux sont bons, mais y en a un des deux qui est un ton au dessus tout de même (indice : il jouait 10 ce samedi). Le film du match : Assez rapidement les Toulousains dominent, et dès la 8ème minute, malgré un cafouillage dans buying viagra la combinaison et David qui n’arrive pas à se saisir de la balle, Fritz revient intérieur et prend à contre-pied la défense qui glisse, pour aller marquer en force. On peut supposer que si David avait pu contrôler la balle, il n’aurait jamais fait la passe à Fritz, mais ce n’est que de la médisance. Cinq minutes plus tard et après une partie de volley-ball sur un lancer en touche, Nyanga marque son essai perso de la rencontre. Il est devenu prévisible en fait. 12-0 à la 15ème minute, le “mauvais-bon-élève” s’applique un peu, et se rend compte que c’est fastoche. Il en perd un peu ses moyens et même Florian Fritz, victime d’une entorse à la cheville gauche à la 20ème minute, juste avant une jolie cravate sur Yoann Huget, offrant à tous les jaloux (il y en a) la vision de deux arrières toulousains au sol. Les Gallois pressent et campent dans les 22 adverses, mais la défense toulousaine reste fiable, ce qui fait monter les stats d’occupation en faveur des Gallois. Malgré leur 0 point et leur incapacité à conclure, les commentateurs en concluent qu’ils dominent. Ils finissent par enfin marquer leur essai, par Fotuali’i qui joue très vite une pénalité, ce que tout le monde a vu sauf Lombard et Bayle, et échappe à Albacete pour marquer sous les perches. 12 à 7 aux citrons, il va falloir les remontrances des parents pendant la mi-temps pour redresser la barre au deuxième semestre. Privé de dessert, le Guytou-squad s’applique, et les avants font le forcing en poussant les Gallois à la faute, encore et encore. Malheureusement, Steenkamp, un des deux membres de la fusion Dragon Ball Z pour former le meilleur joueur toulousain, De Pénalité, est sorti. Après quelques mêlées infructueuses sur les 5 mètres gallois, les avants rouge et noir laissent tomber et passent la balle à Vincent Clerc qui marque son essai comme d’hab’. En fait, Vincent Clerc, c’est pas un joueur de rugby, c’est Harry Potter. Le mec il a rien demandé, il était tranquille dans son placard à l’aile, il a touché une balle de pseudo-relance en 55 minutes. Et voilà qu’on lui donne le ballon. Tout le monde le regarde et attend qu’il sauve le monde du méchant Voldemort, ce qu’il se sent obligé de faire. Sans plaisir, sans se la raconter, presqu’en baissant la tête : “Oui bon voilà, j’ai marqué 34 essais en Coupe d’Europe. Vous m’avez pas vu du match, j’ai pas fait d’exploit, mais dans mon petit carnet j’ai ajouté un bâton”. Ca doit être terrible de rien foutre et d’être considéré comme le meilleur (oui parce qu’avec 2 ballons d’attaque et 4 placages, il est élu homme du match). Parce qu’au final quand tu fais vraiment un truc bien (si si, ça lui arrive, contre le Stade Français dernièrement par exemple), ben tout le monde est blasé. Si ça se trouve, quand il refait son lacet dans la rue, tout le monde s’extasie. Il habite pas loin de chez moi, faudrait que je campe devant son appart’ pour voir si les gens applaudissent dans la rue quand il fait un créneau. Je l’imagine, sortir de sa voiture, vanter le travail du collectif (sa copine lui a fait un geste pour lui dire que ça passait), demander à tout le monde de garder la tête froide, car demain un dur stationnement en épi les attend. Qu’il faut respecter la ligne blanche du rugby français : doubler est impossible (cette vanne est de Marcel Caumixe, je lui emprunte je l’abîme pas et je la lui rends après). Enfin bref, Toulouse a 10 points d’avance à 25 minutes de la fin, domine dans tous les secteurs, on attend plus que le fameux bonus qui leur échappe toujours en H-Cup et qui finit par coûter la réception du ¼ de finale. Mais bon, après encore et toujours de la domination devant, Picamoles passe les bras pour adresser une belle passe à Johnston qui marque en coin. 22-7, 20 minutes à jouer, la suite on s’en fout pas mal. J’avais promis à Ovale Masqué de chanter « Le Chasseur » en cas de victoire (en hommage à William Servat) , et les puristes de la troisième mi-temps n’auraient accepté que je le fasse sans un taux d’alcoolémie digne de figurer dans les faits divers. A travers le fond de mon verre, j’ai entraperçu Doussain percer puis éviter de se faire tuer au contact en cédant son tour à Bouilhou (c’est à ça que sert un avant), les Gallois marquer un essai mais je sais plus comment, et enfin Huget marquer enfin un vrai essai de ¾ en fin de match. Enfin on s’en foutait pas mal, depuis la 62ème Toulouse avait gagné avec le bonus offensif, le reste était aussi intéressant que la seconde mi-temps du match de Biarritz la veille (à part le jeu et les points en plus bien entendu). Il était cinq heures du matin… Les joueurs : Les fainéants qui seront champions en mai ou en juin : Alain Rolland a un peu joué à pile ou face pour les mêlées en première mi-temps, et puis ensuite il a arbitré à la française (tu siffles pour les locaux). Steenkamp puis Johnston ont manqué en deuxième mi-temps, De Pénalité aurait pu marquer à la place de Clerc. Du coup il a fallu ouvrir Poux pour faire revenir le Sud-Af. Très belle prestation de la deuxième ligne, Albacete a fait le travail de l’ombre mais a surtout brillé balle en main. Beau match de la troisième ligne, particulièrement Picamoles, surnommé Loulou par Novès. Si je le croise un jour, je l’appellerai Loulou on verra ce qu’il se passera. Luke Burgess… Ah Luke… Il va lui falloir un certificat médical pour que la règle de la sortie de balle en 5 secondes ne s’applique pas pour lui je pense. Tu m’as régalé en fin de match avec ton départ en mêlée, le long de la touche, suivie d’un coup de pied directement dans les tribunes. Mygalistère n’a pas de poils aux pattes, a raté une pénalité et deux transformations, avant de se blesser et sortir à la 60ème minute. Remplacé par Doussain, qui avec trois fois moins de temps de jeu a fait trois plus. La ligne de trois-quarts aurait pu rester au chaud, surtout les pauvres ailiers. Faut dire qu’avec des centres qui totalisent UNE passe sur tout le match… Huget bien en cannes, et a marqué sa différence avec Poitrenaud blessé par une anti-poitrenade : sur un coup de pied à suivre qui se dirige vers l’en-but, j’attends pas la pression offensive, et je fous tout le monde dans la merde en rentrant avec dans mon en-but. Les balbuzards gallois : Un sacré bon enfoiré ce demi de mêlée Kahn Fotuali’i, qui a bien géré sa mêlée fermée pourtant dominée. La troisième ligne a beaucoup plaqué, les autres ben on les a pas vu, forcément ils ont jamais eu le ballon… La citation : Novès : « Vous avez vu le mal qu’on a pour arriver à profiter de nos points forts, hein, parce que l’arbitrage européen est un peu différent de celui dont on est habitué. » Tu vois Mourad, les Valeurs du Rugby demandent que quand on déteste l’arbitre, on ne dit pas qu’il est « mauvais », on dit qu’il est « différent ». Comme mon voisin qui a la peau un peu trop foncée à clomid 150 mon goût, c’est pas raciste si je dis qu’il est DI-FFE-RENT.
Laurent Depret passe sur le grill Le Monsieur rugby d’RMC passe sur le grill. Propos recueillis par Ovale de Grace Laurent Depret, c’est le mec qui enchante nos oreilles de ses analyses doctes et ses jolis reportages, dans les vestiaires ovales ou dans les stades, au mépris des intempéries. Monsieur rugby sur RMC, il a le bon goût d’être un fervent lecteur de la Boucherie, et la gentillesse de s’installer sur le grill. Biographie: Le parcours de Laurent Depret est symbolique de la voie royale qui mène du goulot au micro. A la suite d’une sombre histoire, Laurent Depret vit ce qui restera son plus grand regret : avoir dû arrêter de donner des cours de tennis à l’école d’élèves infirmières de l’hôpital de Provins. Alors il s’est mis à boire devant tant d’amour(s) gâché(es) et c’est donc par les voies naturelles, celles de Saint Jack D., qu’il devient journaliste. Mais comme il est trop mauvais pour continuer dans la respectable PHR, il glisse vers le sport. Une descente aux enfers qui a continué jusqu’à la radio. Il a arrêté de boire juste à temps: il aurait pu finir à la télé. Sans ce dérapage en forme de tête à queue, il n’aurait jamais pu se spécialiser rugby, lui dont les atavismes le destinaient plutôt à la raquette. Mais en 98, à L’Equipe, c’est au desk rugby qu’il y restait de la place alors il s’y est mis. Richard Escot lui a alors tout appris, malgré Henru Bru, Francis Deltéral ou encore Christian Jauréna. On est très loin de la création de la Boucherie et déjà le rugby crée l’hécatombe et tue son couple. Il croit alors trouver le réconfort dans l’aventure stade.fr mais la bulle n’a pas tenu plus de temps qu’il ne faut pour à une figue (molle) pour tomber d’un tabouret. Chômage… Et puis Jean-Paul Cazeneuve lui donne du pain quand dans sa vie il faisait faim et Sud Radio est devenu sa maison: il devient correspondant à Paris. La montée en puissance du Stade Français, Bernie à la tête des Bleus, la Coupe du monde en Australie, Moscato relancé après Première compagnie qui signe à Sud radio. La suite, c’est RMC qui embauche Moscato pour le destin que l’on sait. Vincent le recommande au Patron qui recrute Laurent pour la Coupe du monde 2007. Il arrête donc les infirmières, de boire, d’écrire des conneries pour en raconter. Le dernier mot de Laurent D. cialis 20mg : “Au fait, il y a une vie après 45 ans. Si, si même si je ne sais toujours pas pourquoi je préfère les deuxième lignes aux autres postes” NDOdG: Parce que Pascal Papé? Un club ? Fer 9 Un technicien ? Graham Henry, l’homme qui a avalé une mobylette (selon Wilfried Templier…) Une équipe ? Australie 1999 Un match ? Barbarians – All Blacks 1973 Une action ? L’essai de Cédric Heymans à Wellington en 2009 Un geste ? La haie d’honneur Un poste ? Poste de radio, forcément Un stade ? Croke park, Irlande – Angleterre… Une victoire ? France – All Blacks 2007 Une défaite ? France – All Blacks 2011 Devise de club favorite ? Ou devise tout court ? Legacy to the jersey Le joueur avec qui vous auriez aimé jouer sur le terrain ? Thomas Castaignède Celui que vous n’aimeriez pas croiser sur le terrain, et encore moins dans une ruelle sombre et étroite ? Francis Haget Celui avec qui vous ouvrirez bien un bar à putes à Bogota ? Felipe Contepomi (il parle la langue, il est The Boss, il est médecin…) Celui avec qui vous auriez aimé faire une 3ème mi-temps ? Jacques Fouroux Celui avec qui partir à la chasse à mains nues dans la forêt amazonienne ? Jean-François Tordo Votre boisson préférée avant le match? Après le match ? Café Bière La première fois… … à la télé ? France – Angleterre 1973 … au stade ? Lycée Thibault de Champagne (Provins) – Lycée Lakanal, 1977, finale du championnat Inter-académies d’Ile-de-France juniors … sur le terrain ? 1975, collège Lelogne-de-Savigny – collège de Nangis, championnat départemental scolaire (benjamins) Thé ou Café ? Café sucré et thé sans sucre Levrette ou 69 ? 69 des fois avec sucre Il reste 10 minutes a jouer… cagade dans ses 22 qui offre 5 points à l’adversaire ou expulsion pour plaquage cathédrale ? Ça dépend du score à ce moment-là, mais le pire pourrait être le plaquage cathédrale dans les 22… Se faire enfoncer en mêlée ou se prendre un cad’deb d’ecole ? Je n’ai jamais joué devant et très mal derrière donc le cad’déb’ d’école. Damien Traille ou McGyver ? Damien Traille Pour la 3ème mi-temps: Byron Kelleher ou Paris Hilton ? Byron Kelleher (il y aura dans ses parages forcément mieux que Paris Hilton) Pour partager votre cellule ? Paris Hilton C’est qui le plus fort, Jamie Cudmore, Bakkies Botha ou l’hippopotame ? L’hippopotame (sauf en touche, les rhinocéros ne veulent pas le lifter). Vous préférez vous faire plaquer par Chabal ou par votre petit(e) ami(e) ? Par ma toute petite amie. La chanson paillarde que vous aimez secrètement ? J’ai encore rêvé d’elle. David Marty ou Marty McFly ? David Marty Expliquez la règle du plaqueur/plaqué sans utiliser de ponctuation. (Trop facile cette question) Un joueur peut plaquer un joueur adverse portant le ballon en l’attrapant et en l’attirant au sol Toucher le sol avec un genou ou le ballon est suffisant pour être considéré « mis au sol » Le plaqué doit passer le ballon ou le lâcher immédiatement Le plaqueur doit relâcher le plaqué et s’éloigner Le ballon devient ainsi libre pour être joué par un autre joueur ou disputé dans une mêlée ouverte Cette phase porte le nom de « phase plaqueur-plaqué » Si le porteur du ballon est plaqué il peut toutefois marquer un essai dans la continuité du mouvement par exemple en tendant le bras au-delà de la ligne de but Si le porteur du ballon n’est pas mis au sol il n’y a pas plaquage et un maul peut se former Ça vous étonne Ovale Masqué qui mange un yaourt ? Sans enlever son masque, je dis que c’est gâcher, c’est pas lui qui fait la lessive on dirait. Bon alors, c’est qui qui a pété la gueule à Bastareaud en fait ? Je ne le sais pas, mais je sais que ça s’est passé entre 5h28 et 5h32, entre le 1er et le dernier étage de l’hôtel (ou dans le parking dont on dit qu’il communique avec le 3e étage de l’ancien Holiday Inn de Featherston Street…). Pourquoi avoir perdu votre temps à répondre à ces conneries, franchement ? Ovale de Grâce a été radiée à vie à l’âge de 13 ans pour avoir mordu une adversaire, j’ose pas imaginer ce qu’elle m’aurait fait si je n’avais pas répondu à sa demande. Un oubli ? Un mot à ajouter ? Oui, une question: pourquoi pensez-vous que le rugby c’était mieux avant le professionnalisme? (répondre de manière synthétique en moins d’un livre de 300 pages svp). A qui voudriez-vous que ce questionnaire soit posé ? Pierre Camou
Le Lab'Occitan analyse Trévise-Toulouse (21-33) Alors, ça fait quoi de se sentir biarrot, Guy ? Par Damien Try, Le contexte : Easyclickmate – Unlock The Full Potential Of CB! small;”>Lors du tirage au sort des poules de H-Cup, Toulouse a enfin eu le petit cadeau que l’on attendait depuis des années : un club italien. « On se sent un peu biarrot » avait plaisanté Novès, grand maitre de l’ironie (et non pas de l’Aironi, la franchise a disparu). Ca serait donc « dix points » offerts, après des années à se taper du rouquin sous la pluie. Mais le discours a quelque peu changé depuis cette tirade : « Il faut respecter cet adversaire », « c’est une équipe difficile à bouger chez elle », « ils ont beaucoup d’internationaux », tous ces savoureux éléments de langage qui n’en sont pas moins vrais, demandez au Biarritz Olympique. L’équipe alignée par Guytou était loin d’être une équipe B donc, comptant notamment le retour d’Albacete. Clerc titulaire et Nyanga remplaçant, rien de neuf dans la maison rouge et noire. Le film du match : J’avais préparé mon petit papier et mon petit crayon pour prendre des notes sur le match, et à la 30ème minute quand le Stagiaire m’a gentiment proposé d’écrire le compte-rendu, je me suis aperçu que je n’avais rien écrit. Et pour cause, la première mi-temps fut d’un ennui monumental, mis à part pour l’agonie pendant 40 minutes de la première ligne occitane, archi-dominée par les Italiens. Le Trévisan Burton visant très bien, les points au pied se sont succédés les uns aux autres, et ce sont avec 18 points que les locaux repartiront aux citrons. Mais Magalie Stère en marque lui neuf, offerts par Vas-y-en-Hodges, dont l’arbitrage fera se poser des questions à plus d’un. A Florian Fritz notamment, qui se fera prendre en flagrant délit de Valeurs du Rugby par une caméra indiscrète : La domination en mêlée n’apporte pas que des points, puisqu’elle permet à Christopher Tolofua de se prendre un jaune pour s’être relevé en mêlée. On en reparlera ensuite ! Thierry Dusautoir regagne les vestiaires un peu énervé, et même si bon joueur il répond aux questions de Romain Magellan du voyage en Italie, le ton est un peu sec quand on en vient à parler arbitrage. La mi-temps a dû être un peu agitée du côté de Novès, qui certes se sent biarrot, mais ne voudrait pas non plus se sentir trop biarrot et perdre le match. Grand changement donc en première ligne, puisque Poux et Montès sont invités à regagner un banc qu’ils ne quitteront plus jusqu’au printemps. Steenkamp et Johnston changent complètement la donne, détruisant leurs vis-à-vis. Mais cela ne règle pas tout, et Vincent Clerc pour un petit en-avant d’anti-jeu se prend à son tour un carton, ce qui permet à Burton d’aggraver la marque : 21-12, les Toulousains n’ont même plus le bonus défensif. Heureusement la machine à broyer qu’est la mêlée retrouvée est là, la première ligne du Benetton Trévise en voit de toutes les couleurs (unies), et après avoir été le témoin de plusieurs scènes de marche arrière, Hodges finit par accorder un essai de pénalité. Sacré Pénalité, le meilleur marqueur d’essai toulousain, qui remet l’équipe sur les bons rails. Dans la foulée et après plusieurs temps de jeu qui ont désorganisé la défense et sur un départ de Maestri, Picamoles bien placé transperce la défense. Un raffut, un mec sur le cul, un second raffut, deux mecs accrochés au cul, le 8 toulousain passe les bras, cherchant son soutien. Oh et puis non, il y va tout seul, 26-21 à l’heure de jeu, tout va mieux. D’autant plus que seulement quelques minutes après, McAlister tape au-dessus de la défense pour Clerc qui marque son essai syndical. Marquer autant d’essais (déjà 6 cette saison) tout en faisant des matchs aussi dégueulasses, ça dépasse l’entendement. Picamoles se blesse sur l’action, et c’est donc logiquement Burgess qui prend sa place. Mais si, suivez bien : Burgess rentre en 9 à la place de Doussain, qui prend la place de McAlister, qui prend la place de Fritz, qui lui passe 8 ! Limpide. “Et si ce soir, on dansait le dernier slow ?… On passera le reste du match à attendre l’inévitable essai synonyme de point de bonus offensif, mais qui ne viendra pas. Ceci agace quelque peu Tolofua, qui à la 76ème déblaye un maul d’une cathédrale tout à fait artistique mais quelque peu superflue, qui plus est devant l’arbitre. Aucune réflexion n’est nécessaire pour ce dernier qui l’avait déjà averti, c’est un second jaune. Il est fort à craindre que l’ERC ne donne pas le bon de sortie pour les tests d’octobre au jeune Christopher… 21-33 score final, Toulouse assure l’essentiel en s’imposant à l’extérieur, mais notre Guytou préféré devra se rectifier un peu, avoir un club italien dans sa poule, c’est 9 points. Ou 8. Ou 4 en fait, il va falloir les prendre ces points. On doit déplorer tout de même la perte de Dusautoir, cisaillé par un placage qui lui laisse une entorse du genou. Pas douillet, il continuera tout de même à jouer pendant plusieurs longues minutes, serrant les dents sur la blessure qui va le priver de la branlée contre les Australiens. Les joueurs : Trévise : Très bon match de Burton, qui aura montré à Jack Brunnel qu’il passera un bon Noël, à côté de Sweeney Todd (le diabolique Yesterday saw a nice site Barbieri). Toulouse : Luke « Sleepy Hollow » Burgess a été catastrophique, relevant le défi d’être à chaque fois plus lent. Non je suis mauvaise langue, il a joué une pénalité vite, vous voyez, la pénalité en fin de match, pas loin de l’en-but adverse, alors que la mêlée écrase tout sur son passage… Yoann « Big fish » Maestri toujours excellent. Si vous avez pris des photos de Montes et Poux en train de jouer, vous pouvez les envoyer à JBE sur twitter avec le hashtag « rugby d’avant », on risque de pas les revoir avant un bout de temps. Johnston et Steenkamp ont eux été décisifs. Picamoles dans son registre sort un très bon match. McAlister a un peu raté au pied, mais a été bon par ailleurs. Il parait que Traille est un joueur polyvalent. Ca fait bien marrer Florian Fritz, qui a joué 20 minutes en numéro 8, après sa pige en 9 il y a 2 semaines. Encore un grand match pour lui. Fickou a très bien trouvé les intervalles, aurait-on enfin en France une paire de centres de niveau international, qui joue tous les week-ends ensemble ? Matanavou pas concerné par ce match.
#JaiCouchéAvec La Boucherie Ovalie, une belle brochette de salopes. Par Damien Try Après les #RugbyMovies et les #Rugbysongs, la Boucherie Ovalie a re purchase viagra mis le couvert, visant à toujours moins de productivité pour les accrocs de Twitter. Partant d’une idée tout droit sortie du congrès toulousain des brumes éthyliques de lendemain de match des cerveaux maladifs d’Ovale Masqué et Damien Try, se demandant ce que ça faisait de coucher avec Pierre Berbizier, l’adaptation à twitter était toute trouvée. C’est ainsi qu’en cette belle matinée du mardi 9 octobre, par une blague visant un des chouchous de la Boucherie Julien Dupuy, a été lancé le hashtag #JaiCouchéAvec, thème qui tiendra environ 24h la première place des Trending Topics France. Merci à toutes celles et ceux qui ont déclaré « #JaiCouchéAvec ta mère/ta sœur/ta meuf », ainsi que « #JaiCouchéAvec Katsuni/Beyoncé/JustinBieber/les 1D ». Comble de la réussite tou poïnte oh, le hashtag attendra même furtivement la place neumebeur ouane TT mondiaux. Le rugby français en tête des classements mondiaux, y a bien que sur un monde à part comme twitter que ça peut arriver. Voici donc une sélection subjective des meilleurs messages rugby aperçus en cette faste journée (quand l’auteur n’est pas précisé, il s’agit d’un tweet d’un boucher). TOP 14 Toulouse Bouclier de Brennus @BouclierBrennus #JaiCouchéAvec Le Stade Toulousain. 19 fois. #JaiCouchéAvec Gilian Gallan, mais il a gardé son caleçon tout du long. #JaiCouchéAvec Labit, c’est plus pratique. #JaiCouchéAvec Dusautoir, il m’a mis des sacrées cartouches. #JaiCouchéAvec Dusautoir, il mérite son surnom de Dark Destroyer. #JaiCouchéAvec Yves Donguy, mais il m’a dit qu’il s’appelait Yannick Nyanga. #JaiCouchéAvec Byron Kelleher. Comme tout le monde. #JaiCouchéAvec Guy Novès. Mais son fantasme, c’est de se taper des jumelles. #doublons #JaiCouchéAvec Steenkamp. Il a poussé en travers tout le long. #JaiCouchéAvec Clément Poitrenaud, il a pris plein de photos. #JaiCouchéAvec Finau Maka. Et j’ai fait le ménage avant de partir. ŊΔŦ @nat_barcelona #JAiCoucheAvec Guy Novès, qui a peur que je couche avec PSA et que je revienne avec le cul cassé. #pardon #jaihonte #JaiCouchéAvec Yannick Jauzion. J’ai du lui remettre sa hanche en plastique en place à la fin. #JaiCouchéAvec Clément Poitrenaud. Il a tardé à aplatir dans mon en-but. #JaiCouchéAvec JB Elissalde, mais avant, il a demandé à ses followers d’arrêter de nous suivre. On voulait être tranquille. #JaiCouchéAvec Nicolas Vergallo. J’ai rien senti. QUE ? #JaiCouchéAvec Trevor Brennan, et il a mis une mandale à un voyeur. #JaiCouchéAvec Vincent Clerc pour mes 18 ans, du coup j’ai eu le droit à un RT. #JaiCouchéAvec un certain Pierre-Gilles Quelque chose, mais je ne me souviens plus trop de lui. #JaiCouchéAvec Louis Picamoles. Il y va les deux coudes en avant. #JaiCouchéAvec Julien Barès. Inutile de dire que j’ai vu ses fesses. #JaiCouché avec ce nouveau venu, Vincent Clerc. J’espère que Papa l’aimera bien. #JaiCouchéAvec Yannick Nyanga. Il est super, mais début mai je le larguerai. Toulon #JaiCouchéAvec Stefon Armitage, il avait passé son mal de crâne avec un efferalgan codéiné. Pierre B. @Pierre_B_y #JaiCouché avec Bastareaud, on a cassé la table de nuit. #JaiCouchéAvec Jonny Wilkinson, il a un fétiche pour les pieds. #JaiCouchéAvec Gunther, il a une queue de cheval. #JaiCouchéAvec Benjamin Lapeyre. Il a une drôle de façon de se faire le maillot. #JaiCouchéAvec Pierre Mignoni. Il était toujours puceau. #JaiCouchéAvec Mourad Boudjellal. Il aurait pu me prévenir qu’il avait aussi invité Berdos. #JaiCouchéAvec Michalak, il s’est fait siffler. #JaiCouchéAvec Mathieu Bastareaud. Bourré, je buycialisdgstore.com l’ai confondu avec Steffon Armitage. Lartot Matthieu @lartot #JAiCoucheAvec Wilkinson. C’était d’un rasoir… #JaiCouchéAvec Steffon Armitage, il a ramené son frangin après. #JaiCouchéAvec Alexis Palisson. Je vais en prison. Clermont-Ferrand #JaiCouchéAvec Aurélien Rougerie. Son brushing est resté impeccable. #JaiCouchéAvec David Skrela, ça a duré 3 minutes avant qu’il ne s’évanouisse. Ququ FigÔLu @figolu47 #JaiCouchéAvec un clermontois… au bout de 11 rendez-vous Stade Français #JaiCouchéAvec Pascal Papé. Ça fait de moi la première dame ? Sébastien Drouyé @SDrouye #JAiCoucheAvec Thomas Savare. Ni chez lui, ni chez moi, c’était délocalisé. #JaiCouchéAvec Julien Dupuy, il a mis ses doigts partout. #JaiCouchéAvec Scott LaValla. J’en ai assez dit. #JaiCouchéAvec Jérôme Porical. Je suis amoureux, j’espère qu’il ne me plaquera pas. Biarritz #JaiCouchéAvec Damien Traille. Polyvalent, il est hermaphrodite. #JaiCouchéAvec Imanol Harinordoquy. Son père est entré dans la chambre pendant l’acte et m’a agressé. #JaiCouchéAvec Benoît Baby. Je sais, j’ai aucun amour propre. #JaiCouchéAvec Ngwenya, ça a été très rapide. Krémi @iKremi #jaiCouchéAvec Raphaël Lakafia, il a pleuré… #JaiCouchéAvec Fabien Barcella. On a pas fait tourner que les serviettes. #JaiCouchéAvec Benoît Guyot. Il m’a accordé une interview. Racing Métro Lartot Matthieu @lartot #JaiCouchéAvec Quesada. Seulement derrière les rideaux y’avait Labit et Travers qui regardaient #violationdedomicile Clément Gaillardot @ClemLeBaroudeur #JaiCouchéAvec Benjamin Fall, mais il s’est blessé. #JaiCouchéAvec Mannix. Au moins on s’est protégé. #JaiCouchéAvec Berbizier. Il a pas arrêté de me crier dessus, et à la fin et il m’a envoyé une vidéo pour que j’analyse ma performance. Perpignan #JaiCouchéAvec David Marty. J’ai pas payé, c’est pas une pute, il ne fait jamais de passes. #JaiCouchéAvec Romain, il m’a laminé le Terrain #JaiCouchéAvec Daniel Carter, c’était très cher, très bon, mais ça a pas duré longtemps. #JaiCouchéAvec Jacques Delmas. Mais je l’ai viré de chez moi au bout de 5 minutes. Divers Ah au fait, #JaiCouchéAvec l’équipe de Castres mais bizarrement j’oublie toujours d’en parler. #JaiCouchéAvec Mike Phillips, il a passé son temps à se regarder dans le miroir. #JaiCouchéAvec André Boniface. Il m’a dit que la baise, c’était mieux avant. #JaiCouchéAvec Labit, c’est plus pratique. #JaiCouchéAvec un ailier fidjien. On le refera très bientôt, enfin, quand il sera rentré de vacances. (d’après @figolu47) #JaiCouchéAvec Jean Monribot, il a pas pu s’empêcher de me tirer les cheveux… Krémi @iKremi #JaiCouchéAvec Heymans, je lui reproche de ne pas me faire jouir et il m’insulte !! #JaiCouchéAvec Fulgence Ouedraogo, mais il m’a largué. C’est donc ça, un 3ème ligne de rupture… INTERNATIONAL France #JaiCouchéAvec Jo Maso et Chris Masoe. Dans un donjon. #JaiCouchéAvec Marc Lièvremont. Je l’ai emmerdé avec mes questions sur l’oreiller. Doye_Doye @Doye_Doye #JaiCouchéAvec PSA. Il a pleuré a la fin. #JaiCouchéAvec David Skrela. Son père m’a forcé. #JaiCouchéAvec Marc Lievremont, il a tenu à faire venir JM Doussain 4min avant la fin vinzealand @vinzealand #JaiCoucheAvec Bernie le Dingue et il a braillé:”Pas de foutre, pas de foutre… PAS DE FOUTRE !!” #JaiCouchéAvec Lagisquet. Ca glisse. Nouvelle-Zélande #JaiCouchéAvec Piri Weepu. Enfin presque, il a juste fait une petite choré rigolote, et puis il est parti s’assoir sur un banc. #JaiCouchéAvec Ali Williams. Il se sert beaucoup de sa langue. #JaiCouchéAvec Sonny Bill Williams. Ca m’a couté 6 mois de salaire. Peyo llde @saadrafra #JaiCouchéAvec Jonah Lomu. Il a un sacré coup de rein #JaiCouchéAvec McCaw, il s’est trompé de côté. Pays-de-Galles #JaiCouchéAvec Sam Warburton. J’en suis tout retourné. #JaiCouchéAvec Gavin Henson. Y a de l’auto-bronzant et du gel partout sur mes draps. Irlande #JaiCouchéAvec Brian O’Driscoll. Il a sorti le grand jeu, vu qu’il n’a que 5 ou 6 occasions de le faire par K_rembarre @K_rembarre #JaiCouchéAvec Jamie un troisième ligne irlandais, il était chaud d’Heaslip ! Poke @lartot #JaiCouchéAvec Nevin Spence. Il aime les trucs un peu scatophiles. (adapté de @_____Paul_____ ) #JaiCouchéAvec Jonathan Sexton. Il aime les jouets. Divers #JaiCouchéAvec Matt Banahan. Le bien nommé. #JaiCouchéAvec Quade Cooper. Il tente vraiment tout et n’importe quoi. #JaiCouchéAvec l’équipe d’Ecosse. 80 minutes de préliminaires et de bonnes intentions, mais elle n’a pas conclu une seule fois. #JaiCouchéAvec Manu Tuilagi. C’est un timide, mais il a fini par se jeter à l’eau. #JaiCouchéAvec Tom Williams des Harlequins, ou presque : il a fait semblant de saigner pour se débiner. Journalisme #JaiCouchéAvec Richard Escot. Selon lui, c’est la faute de Lièvremont. #JaiCouchéAvec Pierre Salviac. Pour baiser utile. #JaiCouchéAvec Patrick Montel. Malheureusement, la sextape était restée dans son armoire. #JaiCouchéAvec Christian Jeanpierre, c’était HI-STO-RIQUE ! #JaiCouchéAvec Thomas Castaignède. Ste soirée énorme ! Boucherie Ovalie #JaiCouchéAvec @Elburrocatala . Faut-il le garder ? #JaiCouchéAvec @shcisse et il m’a dit “Je t’aime” à l’antenne dans la foulée. Un vrai coup de foudre. #JaiCouchéAvec @BastienJoseph31. Après, il m’a demandé un CDI. J’ai explosé de rire. Chris @Tophe_Mull #JaiCouchéAvec @Marcelcomics Le problème, c’est qu’il contre-pète au lit. bertolotto guillaume @GuillaumeBertho #JaiCouchéAvec avec @OvaleMasque , il m’a demandé si c’était rémunéré. Boucherie Ovalie @BoucherieOvalie #JaiCouchéAvec @lartot , il a crié mon nom (à l’antenne). Lartot Matthieu @lartot #JaiCouchéAvec la Boucherie. C’était sanglant réponse de la Boucherie : @lartot C’était pas la bonne période du mois, désolé. #JaiCouchéAvec Le fils à Jo. C’était plein de bons sentiments.
Le Lab'Occitan analyse UBB-Stade Toulousain (32-34) On vient, on fout rien, on vole le match, ET ON S’EN VA ! Par Damien Try Le contexte levitra online : La saison a débuté comme toutes les dernières années pour la machine toulousaine. Guytou essaye un peu les nouveaux venus, gagne à peu près tout, sauf la traditionnelle défaite à l’extérieur-accident (cette année Perpignan donc) et tout le monde de l’ovalie s’interroge sur le jeu toulousain toujours pas en place ALORS QU’ON EST DEJA A LA 7ème JOURNEE ! Car rappelons-le, il est indigne pour le Stade Toulousain de perdre contre une équipe qui n’a pas gagné 3 titres majeurs dans les 5 dernières années. Et si c’est le cas, ça sera parce que Toulouse a pris son adversaire de haut, comme le prouvent les paroles particulièrement arrogantes de Novès la semaine précédente : « C’est une équipe dure à jouer, un vrai match-piège, on se satisfera du bonus défensif ». Puis vient la Coupe d’Europe. Les choses sérieuses commencent, il va falloir vraiment jouer au rugby et pas simplement assurer le « triptyque des fondamentaux ». Et chaque année, le tirage au sort désigne une victime expiatoire, comme dans Hunger Games : l’équipe qui va devoir jouer Toulouse le week-end précédent, match qui sert d’entrainement en opposition pour les derniers réglages. Cette saison, c’est donc Bordeaux-Bègles qui a la chance d’affronter l’armada toulousaine, l’équipe 1, au grand complet. Tout le monde est là côté toulousain, McAlister et Dusautoir sont sur le banc, et en titulaires Montès, Doussain à l’ouverture, Nyanga au capitanat, et même Yves Donguy. Yves Donguy ? Mais si, vous savez, un grand black, costaud, qui joue à l’aile. Mais si voyons, il a eu le temps de marquer 10 essais la saison dernière, avant que le printemps n’arrive et qu’il retrouve son canapé, remplacé par les sénateurs. Bien étrange façon donc de préparer la H-Cup ce « derby de la Garonne » comme se plaisent à l’appeler les Parisiens, puisque bon, ce qu’on désigne par le Sud-Ouest recouvre à peu près un tiers de la France, mais Bayonne-Bordeaux-Montauban-Perpignan, c’est au même endroit vu « d’en haut », n’est-ce pas ? Le film du match : Tout commence plutôt bien pour les Toulousains après trois points de Camille Lopez, l’ouvreur ubêbête, puisqu’ils choisissent de taper en touche une pénalité tout à fait tentable, et marquent un premier essai avec Picamoles qui aplatit au milieu du monstre à 16 pattes. Toulouse domine et insiste, 3-10 à la 16ème minute, après une pénalité de Doussain. Tout va bien, ce match va être tranquille pour les visiteurs, ils peuvent se relâcher. Les 40 minutes suivantes passent donc gentiment. Burgess prend son temps pour libérer les ballons (oui, il lui est possible d’être plus lent que d’habitude) et agrémente le match avec sa touche personnelle, des petites bourdes qui pimentent la partie. Matanavou a décidé que tant qu’à faire que ce n’était pas la peine d’essayer de réceptionner les chandelles, il ne sait pas faire, autant défendre en ligne. Donguy, solidaire, défend de même. Exclusif : Matanavou réceptionnant une chandelle (image d’archives) Camille Lopez est un garçon intelligent, et puis surtout Raphaël Ibanez (qui comme Fabien Galthié va bientôt avoir à commenter le match de sa propre équipe) lui a interdit de jouer sinon puni cagibi ! Le dit Lopez lui est lucide et lamine les ailes en distillant chandelles et lobs (je sais pas si Ovale de Grâce fera un compte-rendu cette semaine, du coup je place une allitération pour le passage culture de la semaine, promis c’est fini). Sur un coup de pied décroisé de l’ouvreur réUnionnais Bègles-Bordeaux donc, O’Connard marque le premier essai des locaux. La mi-temps n’aura pas remis les idées en place à la défense toulousaine, puisque dès la 43ème minute, un petit coup de pied derrière Matanavou qui feinte de ramasser le ballon mais le relâche devant l’en-but amène le deuxième essai UBBuesque. 19-10, la promenade de santé se transforme en footing heurté… On arrête les bêtises donc, bye bye Burgess, bonsoir McAlister (Doussain retrouvant sa place à la mêlée). Novès profite de la blessure de Montes pour le remplacer par Johnston, et on passe vraiment en mode grand match ce qui automatiquement et sans réflexion requise expulse Nyanga (qui n’a pourtant rien à se reprocher) au profit de Dusautoir. Fallait pas faire chier le Guytou. Pas de bol, ça n’empêche pas les approximations de se succéder, et dans un ruck mal nettoyé, un grand coup de tatane est donné dans le ballon, ce qui permet à l’ailier Talebula d’aplatir dans l’en-but. La pression ne change pas de camp, et Lopez ajoute une pénalité (glanée après une n-ième chandelle) au compteur. 58ème, 29-10, le public de Chaban-Delmas et François Trillo commencent à y croire. Yves Donguy aime faire rêver les foules, et sauve la touche sur une pénalité de McAlister pour adresser une merveille de passe à Talebula. Une maladresse improbable empêche l’essai, mais ce sont bien les Girondins qui ont l’initiative dans ce match. Tout Toulouse est abasourdi. On va quand même pas se faire battre par du Bordelais tout de même. On pisse generic cialis pill dans la Garonne, et ils la boivent, comme disent les facétieux supporters du téfécé. Changement de stratégie, on va faire n’importe quoi. Allez, Fritz en 9 tiens. Ca, ça a de la gueule. Et ça marche ! Matanavou marque un premier essai en bout de ligne sur un ballon vite écarté à la 65ème, puis profite de l’impardonnable maladresse de Reihanna, perturbé par l’arbitre de touche qu’il a dû confondre un instant avec Christopher Brown, l’ouvreur belge du club de Fédérale 2 de Grasse. Toujours est-il qu’il laisse passer le ballon et se rend coupable d’un placage haut sur le drapeau de coin. Matanavou ne s’y attend pas et n’arrive pas à contrôler la balle. Heureusement, il y a un dieu pour les crapules (le dieu des Toulousains se contente généralement de buter), et le ballon lui retombe comme par magie dans les mains, essai. Avec la pénalité précédemment réussie par le sus dit dieu, ce qui porte le score à 29-27, 10 minutes restant à jouer. Lopez redonne ensuite un peu d’air à l’hubébé après une mêlée pénalisée, et Toulouse doit donc marquer un essai pour l’emporter, le suspense est à son comble. Sur une pénalité toulousaine, McAlister cherche la touche, mais Talebula la sauve. Manque de pot, il provoque une touche d’en-but, et le bien-nommé T’as-les-boules-hein remplace la touche à venir par une mêlée à 5 mètres pour les Toulousains. La suite appartient à l’histoire. Après avoir pénalisé 7 fois la mêlée du bébé, mis un carton jaune à l’un de leurs piliers, et que Florian Fritz (toujours 9) ait mendié 100 fois à l’arbitre roumain l’essai de pénalité, ce dernier se résout à offrir la victoire aux Toulousains ! Menés 29 à 10 à la 60ème, le Stade Toulousain rentre à la maison avec les 4 points de la victoire. Selon l’aveu de Lucky Luke, la police les attendait après le match, les suspectant de vol. « Le rugby, ça dure 80 minutes, et à la fin c’est Toulouse qui gagne » dit le proverbe. Ca avait coûté la victoire à domicile aux Agenais l’année dernière, cette année c’est pour Bordeaux-Bègles ! Maintenant, place à l’Europe, avec la réception des Tigres de Leicester. C’est cool, le groupe est en confiance, le jeu est en place, tout va bien se passer n’en doutons pas. Les joueurs : On a vu une équipe toulousaine soudée, appliquée, vaillante et qui n’a rien lâché, bravo ! Nan je déconne, ils ont de la chatte. Mention très bien tout de même à Picamoles le bulldozer qui était le seul à avancer quand tout allait mal. Je ne ferai même pas de Burgess-bashing tellement ça s’est vu qu’il a été nul. Avec Fritz en 9, t’as un gros bourrin qui fait des départs au ras, une sortie de balle lente et approximative, tout pareil, mais au moins c’est drôle quand il râle auprès de l’arbitre. Matanavou réussit l’exploit de sortir un des pires matchs depuis qu’il est à Toulouse, et à marquer deux essais. Catastrophique en défense, pas transcendant en attaque, il a été là 2 fois au bon endroit au bon moment, et c’est lui le héros. « Tu as tout retenu de mon enseignement, je suis si content pour toi » PS : Merci à Capitaine d’avoir mis à jour la bannière du Lab’Occitan, ils sont pénibles ces Toulousains à tout le temps gagner des titres on n’arrive plus à suivre.
Le Lab'Occitan analyse Bayonne-Toulouse (6-35) The boyz are back in town Par Damien Try Le contexte : Après l’honteuse défaite face à Perpignan, il s’agissait pour le Stade Toulousain de se reprendre et de rappeler qui c’était Raoul. Surtout qu’à côté, les amis toulonnais (et clermontois aussi) ne perdent ni du temps ni des points. Le déplacement à Bayonne était donc une bonne occasion pour « remettre l’église sur la place du village » comme on disait sur Antenne 2. L’équipe alignée par Novès avait donc fière allure, avec quelques touches de jeunesse (Fickou, Doussain, Galan et Tolofua titulaires). Les performances récentes de Nyanga avaient dû être remarquées, puisqu’il était sur le terrain. Celles de Vincent Clerc n’avaient elles pas dû l’être, puisqu’il était lui aussi sur le terrain. Le film du match : Le match commence très fort, les habituellement vacanciers toulousains ayant décidé qu’ils ne pouvaient pas avoir l’air con face à une équipe méritant la ProD2 tous les week-ends. Dès la 6ème minute, Magalie Stère exploite intelligemment un ballon de récupération et joue à suivre au pied. Boyer se fait piéger par le rebond, mais Matanavou aussi, et après quelques jonglages artistiques pour régaler le public, commet un en-avant. Cela sera la première des multiples occasions franches qui n’iront pas derrière la ligne pendant cette mi-temps. Toulouse domine, et profite des fautes de l’Aviron qui rame en mêlée et en défense pour prendre de l’avance au score, 3 à 9 à la 13ème minute. Sur une touche foirée de Roumieu à hauteur des 40 toulousains, Tolofua récupère la balle et transmet à Fritz, qui se prend un attentat de la part de Phillips. Mais l’action continue, et quelques temps de jeu plus tard, McAlister à l’entrée des 22 se prend d’une petite fantaisie et tape un banana-kick qui trompe Heymans et trouve Clerc, qui transmet tout de suite à Matanavou qui n’a plus qu’à aplatir. Soit c’est volontaire et magnifique, soit euh bon ben ça s’est bien goupillé et puis bon on est content enfin voilà quoi . Dans l’excitation, Berdos oublie de punir Phillips pour son magnifique plaquage haut au départ de l’action et ne fait que le réprimander, considérant que le gros coup de chatte/génie (biffez la mention inutile) du Néo-Z syndical de Toulouse suffit comme sanction. Fritz, qui a dû faire appel à tous les cours de sophrologie et de self-control imposés par Guytou en 10 ans pour ne pas se faire justice lui-même et attendre que l’arbitre le fasse, est forcément très frustré. Ses sentiments qu’il réprime si difficilement jaillissent alors à la 20ème minute à la figure de Boutaty, lors d’un accrochage banal entre Roumieu et Johnston. Les deux premières lignes tenaient certainement à simplement échanger sur leur conception de la mêlée, et les aménagements nécessaires à l’arbitrage pour rendre cette phase de jeu profitable pour tout le monde. Toujours est-il qu’ils iront tous les deux sur le banc dix minutes pour y réfléchir, mais ils profitent tout de même de leur sortie pour exprimer leurs derniers arguments, Johnston étant partisan du passage à 2 commandements, Roumieu voulant revenir aux 4. Roumieu étant sorti, c’est Mike Phillips, qui doit certainement trouver qu’on ne le voit pas assez sur le terrain, qui est chargé de lancer en touche. Deux touches bayonnaises premier sauteur perdues sur deux plus tard, et Roumieu est autorisé à revenir sur le terrain. Pendant ce temps, Lionel Beauxis en profite pour se blesser AVANT de rentrer sur le terrain. REP A SA DAVID SKRELA. « Il a l’air complètement perdu » commente Bertrand Guillemin. Pas plus que d’habitude je trouve. 6-14 à l Life Optimization Coaching Certification Program a mi-temps, Toulouse domine outrageusement, mais n’arrive pas à conclure. A’men donné c’est bien d’être le bogoss de la soirée que toutes les filles matent, mais si tu choppes pas ça sert pas à grand-chose. En début de deuxième mi-temps, Gerber, pas très lancé, se retrouve face à la défense toulousaine et doit choisir entre la peste, le choléra, et le typhus/ Dusautoir, Maestri et Johnston pour percuter. Ca sera Maestri. Je dis pas que c’était un mauvais choix, car il n’y avait pas de bon choix, mais ouille. Nyanga lui profite du peu de temps de jeu qu’on lui accorde pour marquer sur un exploit personnel de 40 mètres. Soutien à hauteur sur Clerc qui part au ras (certainement inspiré par Phillips), un plaquage évité, cad’déb’ sur Boyer, 5 mètres avec Spedding accroché au short, essai. Mouais. C’est pas ça qui permettra de jouer les gros matchs cette année encore. Si vous avez trouvé la blessure de la Magic Box à l’échauffement insolite, vous aimerez celle-ci. Heymans a les jambes qui le démangent, crochète à gauche à droite, prend tout le monde de vitesse, y compris M. Berdos qui lui met un bon coup de genou au passage. Il sera obligé de sortir quelques minutes plus tard, béquille au quadri ! Attention à Morgan Parra, spécialiste de l’attaque en zone arbitre, ce n’est visiblement pas toujours le moins bon défenseur, et lui peut faire des fautes sans être pénalisé. Le jeu se dégrade un peu, le temps pour Clerc de croquer un essai en oubliant le ballon par terre pendant qu’il glisse dans l’en-but, et pour Fritz de placer sa blague préférée, la tentative de drop foireuse. Bayonne joue à l’envers, ce qui pourrait être expliqué par la disposition d’esprit de Lanta qui annonce que « les mêmes effets produisent les mêmes causes ». Et vice et versa ? Boyoud égaye un peu les 10 dernières minutes en collant une bonne mornifle à un Dark Destroyer qui faisait le mort Cotillard-style dans un ruck. Lacombe et Arganèse en profitent pour poursuivre le débat sur la mêlée commencé plus tôt, apportant leur éclairage sur l’opposition joueurs-arbitres en ce début de saison, et laisseront leurs coéquipiers à 14 pour le reste de la rencontre. Dusautoir souhaite absolument participer à l’échange, et Novès comprend qu’il vaut mieux le ranger dans sa boite jusqu’au prochain match. Bayonne est à bout de souffle, et subit cette fin de match. Après plusieurs temps de jeu devant la ligne bayonnaise, Bouilhou aplatit pour l’essai du bonus offensif. Désolé Yannick. Vingt points d’écart, cinq minutes restantes, Bayonne essaye pour la forme mais le cœur n’y est pas. Lamboley essaye de remotiver Garcia en le vannant pendant les explications après l’essai pour du beurre de McAlister, mais c’est trop tard, la sirène a retenti, 6-35, score final. Les joueurs Toulouse Bon match des avants encore une fois, surtout en mêlée. oral winstrol Trois touches perdues tout de même, et pas forcément à cause des lancers de Tolofua… Maestri enchaîne les bonnes prestations, tout comme Nyanga. On a l’habitude de voir le caleçon de Galan une ou deux fois par match, mais là ça a été en continu depuis l’échauffement jusqu’à sa sortie à la 51ème. Je propose qu’on se cotise pour lui acheter des élastiques et des bretelles pour son short, là c’est plus possible. Doussain a bien rempli son rôle, remplacé par Burgess et replacé au centre en fin de match ?!? McAlister de nouveau là où on l’attend. Fritz n’a pas toujours su canaliser son énergie pour le jeu et non les fautes, mais réalise tout de même un bon match. Matanavou et Huget en cannes ce soir. Le Mike Phillips Show (and the Bayonnais) REGARDEZ-MOI REGARDEZ-MOI !!! Départ au ras une fois sur deux, mauvais choix à la pelle, Phillips devient la caricature de lui-même. Ca fait tout de même plaisir de voir Fickou le mettre sur son cul. Ca fait aussi plaisir de voir le poison Roumieu en sang à la fin du match, il aurait mérité d’être argentin tellement il est pénible sur le terrain. zp8497586rq
Le Lab'Occitan analyse USAP – Toulouse (34-20) C’est le meilleur club de France. Pas d’Espagne ! Par Damien Try Préambule : Côté Lab’Occitan, votre fidèle reporter de guerre Damien Try n’était pas dans la Ville Rose. En raison d’une banale histoire de bagarre en sortie d’un bar, je devais m’éloigner un peu de la Gotham City française quelque temps et me faire oublier, me mettre au vert (et non pas aux verres). J’ai donc regardé le match dans le seul bar de la petite ville de ma retraite forcée, un bar PMU dans lequel la clientèle (dont ma présence divisait par 2 la moyenne d’âge) semblait plus intéressée par le « Prix de la Cohésion Sociale » couru sur l’hippodrome de Vichy que par le match. Préférant la place sous le portrait d’Elvis (pas Vers-Melun) à celle sous la photo de Patrick Swayze, je prenais mon premier demi de la journée. Difficile de savoir quelle équipe supporteraient les indigènes, la bourgade étant un fief du clan Novès, malgré la proximité de Perpignan et le drapeau catalan dans le bar. Je ne parlerai que de la vision toulousaine du match, le point de vue catalan ayant été déjà publié ici. Putain je suis pas rancunier. Le Contexte Côté toulousain, la déconvenue biarrote avait fait place à la balade contre Agen. La road-map de Guytou était respectée, et seul le forfait de Botha était à déplorer. L’équipe-type ou presque était là, Gallan remplaçant Maka dans le rôle de faire jouer Picamoles flanker. L’idée était donc de faire un coup face à une équipe perpignanaise en 10ème position, « mais qui ne la mérite pas ». Le film du match : Bon déjà les Toulousains prennent un essai direct. On va dire qu'ils étaient encore au vestiaire. Peu après que Poitrenaud ait été victime d’une tentative de décapitation, Tolofua réplique par un joli plaquage à retardement sur Planté, qui restera quelque temps au sol, mais qui ne sera lui pas vengé par l’arbitre. Sur le 2ème essai perpignanais, Huget n’avait peut-être pas une tâche facile sur cette action, réceptionner la balle contre le soleil et trois attaquants. Ca ne l’empêchera pas de se faire traiter de « chèvre » par l’ensemble du bar, qui commence à choisir son camp. Dans ces conditions, un cœur hésitant sautera sur l’occasion pour se déclarer supporter toulousain et d’agir en tant que tel par son activité favorite : chier sur ses propres joueurs quand ils sont dominés. Il faut dire que l’équipe visiteuse n’a pas fière allure, ne semble pas dans son match, comme apathique, et Cialis canada Burgess se laisse piéger sur la combinaison en touche qui amène tranquillement Guirado à l’essai. Nous sommes à la 30ème minute, et l’USAP mène 3 essais à rien, bonus offensif en vue ? Toulouse se voit donc forcé de jouer pour gagner, chose pourtant interdite par Maître Novès depuis la finale perdue de H-Cup 2008. En fin de mi-temps, les Toulousains se font donc des passes, progressent, encore des passes, et finalement trop de passes, puisque de la même façon qu’en milieu de mi-temps, la balle est interceptée par James Hook. Un client du PMU en profite pour demander autour de lui si c’est « James Brouque » (sic). Les visiteurs en profitent pour prendre un pti essai avant la pause. La mi-temps sonne donc, et il est l’heure pour la population du bar de recharger les verres. Mon voisin à moitié édenté se retourne vers moi et me pose une question que je ne comprends pas. Je saisirai seulement deux minutes plus tard qu’il voulait me payer un coup. J’ai donc refusé un verre gratuit, c’est bien une première. Le jeu reprend, et on se dit qu’il va falloir un peu de chance aux Toulousains pour revenir dans le match. Hélas, « N’oubliez jamais que le hasard ne se contrôle pas », comme l’indique régulièrement l’écran du jeu « Rapido » à côté de moi, et le Stade demeure apathique, notamment sur l’essai-casquette pris à la reprise. Alors qu’une n-ième pénalité est sifflée pour Perpignan et que tout le monde se prépare à ce que Hook prenne les trois points, David Marty dans un rare éclair de lucidité joue rapidement la pénalité et transmet à Haughton qui n’a plus qu’à aplatir. Cette action est l
Le gratin dauphinois au Jean Bouin de Paris analyse Grenoble / Stade Français Damien Try et Ovale Masqué s’unissent pour vous parler du match du vendredi soir. Si ça vous fait pas rêver… Par Damien Try & Ovale Masqué, qui après avoir partagé un lit à Budapest (true story) ont décidé de partager ce Labo consacré au grand choc du vendredi soir de la 3ème journée. Merci au grand Capitaine, auteur de cette formidable illustration, et à Marcel Caumixe pour le titre. Le contexte : Après une belle victoire arrachée à Bègles et une défaite logique mais pas honteuse à Castres, la pression était cette fois-ci côté grenoblois, avec la réception des Parisiens, pour le premier match de Top14 à Lesdiguières. Parce que faire des casses comme en première journée c’est très bien, mais le maintien passe par les victoires à domicile. L’ambiance était tout de même décontractée dans les vestiaires, j’en veux pour preuve la petite phrase au tableau « La virginité c’est comme une mouche sur le cul d’une vache, un coup de queue et c’est parti ». Ca nous rappelle que Grenoble jouait il n’y a pas si longtemps en Fédérale (enfin, c’était y a un bail tout de même, puisque le Stade Français avait été champion de France l’année précédente), et que l’esprit n’a pas tellement changé. J’espère que la tradition de boire du Synthol ne s’est pas perdue. Du coté du Stade Français, la tournée « Les Stadistes du cœur » se déplace dans une nouvelle ville. Après avoir offert 4, et même bien souvent 5 points aux plus nécessiteux l'année dernière (on pense notamment aux Lyonnais et aux Bordelais), c'est tout naturellement que les Parisiens se rendent chez le promu grenoblois pour continuer leur œuvre de charité. En plus, c'est l'occasion de rendre service à un ancien de la maison, Fabrice Landreau, joueur puis entraîneur, écarté en 2009 au profit d'un duo McKenzie/Dominici qui restera dans les annales. Ecarté, dans les annales, bienvenue au Stade Français. Les conditions climatiques étaient pas trop dégueu pour un mois de décembre à Edimbourg : il pleuvait des trombes sur Grenoble depuis 3 jours, ce qui rendait le terrain aussi glissant que la patinoire Pôle Sud. Décembre à Edimbourg, ce n’est pas tout à fait exact, il faisait plus froid que ça, il a neigé en-dessous de 2000m d’altitude. Isabelle Irthurburu a eu le privilège de suivre la partie depuis le terrain, et la joie de revenir de Grenoble avec une pneumonie. Ajoutez à ça la malédiction du match du vendredi soir, cette rencontre était destinée à être au mieux un remake de la finale de Coupe du Monde 2007, au pire à un remake de la finale de Top14 2012… Sur cette photo se trouve un joueur qui a disputé la finale de la Coupe du Monde 2007. Sauras-tu le reconnaître ? Le film du match : En début de partie, les Grenoblois ont le ballon et jouent dans le camp parisien. Steward à l’ouverture a bien compris qu’il vaut generic cialis viagra mieux éviter de se faire des passes quand le ballon a autant de grip qu’un savon enduit de vaseline, et allume les chandelles de l’enterrement première classe de Jérôme Porical, toujours aussi sûr sous les ballons hauts et pas vraiment aidé par Paul le Poulpe Sackey, toujours aussi dynamique, et Vuidravuwalu qui comme tout Fidjien qui se respecte est capable de courir 100m en tenant la balle dans une main, mais pas foutu de rattraper une pauv' chandelle. La domination grenobloise est forte, mais impossible de concrétiser à cause de la mêlée, problème qui avait déjà coûté bien cher à Castres… En première mi-temps, 5 pénalités contre 0 seront concédées par les Isérois. Les Grenoblois font tout de même le jeu, et le troisième ligne Best s’offre un joli ventriglisse balle en main qui se termine dans l’en-but. L’essai sera refusé à la vidéo, en raison de la défense de Jérôme Fillol qui récupère à cette occasion la plus belle récompense pour un demi-de-mêlée, le Fils de Pute d’Or (trophée qu’il avait déjà remporté pour sa cuillère sur Florian Fritz). Précision : Ovale Masqué s'est chargé de la mise en page de cet article et a tenu à intégrer cette vidéo dedans juste pour soigner sa popularité à Toulouse. Les Grenoblois essayent de jouer malgré un ballon plus difficile à maîtriser qu’un ailier fidjien en vacances au pays, ce qui donne des tentatives artistiques de jeu sans contrôler la gonfle, mais qui terminent le plus souvent par un en-avant. 29 en-avant sur l’ensemble de la rencontre. De leur côté, les Parisiens n'abandonnent pas non plus leur philosophie de jeu offensif, celle qui leur permet de marquer 6 essais en moyenne à domicile et d'en encaisser 9 à l'extérieur. Felipe Contepomi, dont le crâne luisant commençait à prendre la poussière, était titulaire pour la première fois de la saison et a tenu à faire honneur à son surnom de Dr Maboule en faisant du grand n'importe quoi tout au long de la partie : course en travers, relance hasardeuse, mise à mort de ses centres, coups de pied de dégagement en plein milieu du terrain… on s'est alors rappelé pourquoi Toulon préférait quand même titulariser Wilkinson pour les matchs importants. A la 30ème minute aura lieu une petite explication à la sortie d’une mêlée, mais c’était juste pour le folklore, puisqu’à notre grand dam, le match sera très bon enfant et pas un carton ne sera distribué. Même Pascal Papé, toujours prompt à distribuer des tartines quand il comprend que ses bons à rien de partenaires ne ramèneront même pas un bonus, est resté étrangement calme. Le stade Lesdiguières, habitué depuis quelques années à la ProD2, s’est senti un peu volé. 2ème mi-temps Suite à un dégagement de Jérôme Fillol particulièrement peu judicieux et qui ne trouve pas la touche, les locaux obtiennent un bon ballon de relance et jouent bien le coup. Nigel Hunt, le coffre à ballon néo-z, reçoit le ballon. Ce qui s’est passé dans la tête du défense cialis 5 mg ur parisien n’est pas bien clair ensuite. Comment se faire prendre par une feinte de passe de Hunt, lui qui s’applique à faire moins de passes en une saison que Marty en un match ? Cette méprise monte à la tête du Grenoblois, il se prend à rêver d’être un centre distributeur et après avoir percé la défense, fixe le dernier défenseur et passe la balle à Jaouher qui n’a plus qu’à aplatir. Bravo, Nigel, sur un 3 contre 1 (il y avait encore Dupont disponible à droite), tu as fait le bon choix. Grenoble prend le large, 16-9. Dans un match pareil, c’est souvent le premier qui marque un essai qui l’emporte. D’autant plus que la mêlée dauphinoise s’est reprise et les 3 premières mêlées sont pour elle. Aux alentours de la 50ème minute, nous assistons d'ailleurs au célèbre « tournant du match », avec une mêlée en plein milieu des 22 en faveur des Parisiens, et une belle occasion d'essai derrière. Celle-ci sera finalement remportée par les Grenoblois, et le moral des troupes parisiennes prendra un sévère coup, presque aussi grand qu'en début de saison quand vient l'heure de découvrir les nouveaux maillots. Le break est définitivement fait par Lucas Dupont, qui exploite bien un énième ballon tombé, en prolongeant au pied et battant les Parisiens pour aplatir dans l’en-but. A la vidéo, il semblerait qu'il fasse un en-avant juste avant d'aplatir mais on est vendredi soir, on se fait déjà suffisamment chier alors on va pas refuser deux essais dans un match. Les Parisiens se rebellent en fin de match pour aller chercher le bonus défensif, un peu à la manière de Toulouse contre Biarritz. Sauf que Paris, ben c'est pas Toulouse et que ça ne marche pas. Le Président Papé franchit la ligne en force à la 80ème minute mais un abruti de Grenoblois se met sous le ballon et l'empêche de marquer : Dieu se vengera, ses enfants seront roux. La partie se termine finalement sur un ultime en-avant, la messe est dite (en latin pour Max Guazzini, il insiste), c’est Grenoble qui l’emporte. Si je regrette d'avoir quitté le Stade Français ? Les joueurs : Les Grenoblois : Match appliqué de l’ensemble de l’équipe, pour les retrouvailles de Lesdiguières avec l’élite du rugby (français). Mutapcic aura donné du fil à retordre à Isabelle Irthurburu pour prononcer son nom, mais aussi à la mêlée parisienne, sa rentrée à la mi-temps changeant complètement la donne. Steward a su lancer le match conformément au plan de jeu par un bon jeu au pied, de même que l’Argentin Tuculet. Courrent a fait honneur à son statut de capitaine, et réalise un 100% important en début de partie. Sowerby a joué 3 matchs consécutifs pour la première fois depuis 10 ans, et a rajeuni d’au moins autant. 8 points après 3 rencontres, la saison pouvait difficilement mieux commencer, avant la réception de l’autre promu. Attention aux Montois qui ont fait jeu égal avec les deux derniers finalistes pendant une heure, mais qui méritent bien mieux que leur compteur vierge au championnat. Seule ombre au tableau pour le FCG, la blessure longue durée de Campo, encore un talonneur, espèce en voie de disparition dans les Alpes, d’’autant plus que la réinsertion prévue dans nos montagnes d’un specimen sud-africain n’a malheureusement pas abouti. Les plus optimistes diront que Grenoble marche dans les pas du Stade Toulousain saison 2011-2012, et que ça avait plutôt bien fini pour eux ! Les mecs qui aiment pas prendre le bus : Comme à chaque match à l'extérieur, la même question se pose au sujet des Parisiens : comment peut-on être aussi nul ? Séduisants et offensifs à domicile, les Parisiens jouent sans cerveau, sans chemise et sans pantalon dès qu'ils doivent traverser le périph. Un phénomène qui n'a aucune explication logique, puisqu'on peut difficilement affirmer que c'est la ferveur du Stade Charlety qui permet aux Soldats Roses de se transcender. Peu de choses à retenir donc dans ce match. Fillol sauve un essai en première mi-temps mais en offre un au retour des vestiaires avec un dégagement digne des jeux paralympiques. Parisse a été solide sous les ballons hauts, offrant un beau duel d'arrière contrarié avec le Grenoblois-Toulousain-Sud-Africain Sowerby. Attoub a été très performant dans l'exercice de la mêlée avant que la tendance ne s'inverse en seconde période. Le Président Pascal Papé a eu son activité habituelle mais il a commis quelques fautes dommageables. Missoup-Missoup le pétomane a été moins en vue que lors de ces deux premiers matchs, de même que l'Américain Lavalla, qui était surtout présent pour assurer le quota de chauves dans l'équipe. Contepomi est un gremlin : il ne faut surtout pas le mouiller, sinon il se transforme en monstre débile et fout le bordel partout. La paire de déménageurs Turinui – Williams n'a eu que des ballons de merde mais ce n'était pas non plus une raison pour les rendre aux Grenoblois. Le trio arrière a été fragile, notamment Porical qui a peur sous les ballons hauts, ce qui est quand même dommage quand on joue arrière. Bon sans plus au pied avec 4 réussites pour 3 échecs. Les rentrants n'ont pas apporté grand chose, même Dupuy et Warwick, qui auraient eu du mal à faire pire que la charnière originale. Calmement, Richard Pool-Jones explique à Felipe Contepomi ce qu'il compte lui faire s'il refait un match pareil un jour. zp8497586rq
Au RCT, le dernier tube d'Elvis Vers-Melun Il est de retour, et il est très content. Par Elvis Vers-Melun, Depuis quelques temps, les Bouchers sont pris d'affreux symptômes. Quand on lit une interview de Boudjellal, il faut l'avouer, on rigole bien. On trouverait presque même ce mec sympathique. On se dit aussi que Bernard Laporte, quand même, a une sacrée poigne pour tenir en respect cet effectif de grosses brutes alcooliques : après tout c'est logique, qui de mieux qu'un repris de justice pour encadrer une telle bande de voyous ? Nous apprécions aussi de plus en plus le public toulonnais, qui sans mauvaise foi aucune, siffle toutes les décisions de l'arbitre. C'est vrai quoi, si vous voulez des silences de (plaquage) cathédrale, barrez-vous en Irlande et faites pas chier. Puis arracher des pages du Midol et les balancer en l'air, c'est un truc qu'on adorerait faire au bureau, enfin si on était assez crédules pour continuer à l'acheter. Et si on avait un bureau aussi. Après la dernière cérémonie des Hachoirs d'Or, trustée par les Toulonnais, l'évidence est finalement apparue devant nos yeux comme les doigts de Julien Dupuy devant les yeux de Stephen Ferris : et si finalement, Toulon était l'équipe qui incarnait au mieux nos Valeurs du Rugby ? © Et même plus, et si Toulon était la seule vraie équipe de rugby du Top14 ? Elvis Vers-Melun lui, ne se pose même plus la question. Les dix mois qui ont suivi son succès planétaire « Laisse béton Lièvremont » ont été scrupuleusement passés au bar. Après avoir échappé à la mort pour la 112ème fois (car entre ce qu'il fait une fois saoul et le coma éthylique qui s'ensuit, il risque vraiment sa vie chaque soir, d'ailleurs Johnny c'est qu'une tarlouze, faudra lui dire), notre rockeur à la vie dissolue est sorti de l'hôpital plus seul que jamais. Abandonné par ses amis, sa famille, son banquier et même par son prof de chant (sans blague), Elvis était perdu, errant. Plus aucune ville ne souhaitait le voir se produire en concert. Toutes sauf une : Toulon. Là-bas, Elvis a trouvé un refuge, un cocon, et peut-être même plus que ça, une famille. Dans son dernier hit single « Au RCT » (buy viagra ration: underline;”>cliquez sur ce lien pour l'acheter sur Itunes) il nous raconte son coup de foudre, sa révélation. Un nouveau grand moment de musique, rien que pour vous. Au RCT par Boucherie-Ovalie Je m’ennuyais dans l’Ovalie, et ses Valeurs surexploitées J’avais envie de voir un peu de nouveauté On m’a parlé des Toulonnais, d’la sodomie, du grand Mourad Il suffisait de les r’garder, pour les aimer Au RCT, au RCT, Les anciens, les nouveaux, les Français, les étrangers C’est vraiment tous des tarés, au RCT Pilou m’a dit « J’ai rendez-vous à Mayol avec des fous Qui vivent le Ricard à la main, ou l’Cinquante et un » Alors je l’ai accompagné, on a gueulé « Enculé ! » Et bien sûr les journaux, on a lancé Au RCT, au RCT Toute la ligue et l’ERC, suspendrait sans pitié Ils sont vraiment pas aimés, au RCT Le match s’est terminé, on s’était déjà bien saoulé On a tizé toute la soirée comme des assoiffés Au fond d’la nuit on s’est r’trouvés, tous brand viagra professional à poil dans l’Port d’la Rade, Rien à redire les Toulonnais savent s’amuser Au RCT, au RCT Au PMU, en boîte de nuit, à midi ou à minuit Ils sont toujours tous bourrés, au RCT Au RCT, au RCT Mercenaires, provocateurs, crêtes de punk et grands bouchers, Mon club de coeur j'ai trouvé, au RCT zp8497586rq