Pourquoi le Racing-Métro 92 doit se qualifier pour les demi-finalespar Ovale de Grace 25 May 2012 6 Par Ovale de Grâce C'est vrai ça pourquoi ? La question est légitime, parce que si il y a un club qu'on ne voyait pas arriver jusque là, c'est bien le Racing. Sa gestion manageriale le vouait davantage au bas-ventre mou du classement, en compagnie d'autres clubs atteints de cette même épidémie -qu'on espère saisonnière- dont le symptôme principal est la valse des entraîneurs qui a fait chalouper et swinger le plateau des Spécialistes Rugby pôle-emploi provale. Et pourtant, même si a priori on pourrait penser que cette accession aux barrages est usurpée, notamment à cette sympathique et quasi voisine équip(é)e dont les 3 maillots annuels sont attendus par la planète ovale avec la circonspection avide de l'intellectuel honteux qui regarde en loucedé les nouvelles du vrai monde en lisant Voici par dessus l'épaule de son voisin dans les transports en commun, il y a de nombreuses raisons pour soutenir le RM92 auprès duquel je suis une transfuge de moins en moins occasionnelle. 1- Parce qu'un club qui a plus nourri les gazettes et montré aussi peu de choses sportivement pendant toute une saison tout en arrivant aussi loin a forcément un mojo surnaturel qui peut l'amener jusqu'au Brennus. Cas dans lequel j'aurai mon siège « Ovale de Grâce » au Stade de France, et une accrèd' aux petits oignons : 2- Parce que c'est, selon toute vraisemblance, l'ultime chance de voir les mollets nobles et graciles d'Andrea Lo Cicero exulter (oui MONSIEUR, le mollet locicerien exulte !) sur la pelouse dionysienne. Si il n'est pas sélectionné pour les barrages, il faut offrir une chance à ce facétieux aristocrate au look de surfer de trottiner au Stade de France autrement que pour prendre la branlée bisannuelle contre le XV de France. Et qui sait, peut-être que dans un mouvement d'euphorie post-victoire… enfin… 3- Pour que Jacky Lorenzetti et Pierre Berbizier puissent partager leur amour avec des centaines de milliers de gens et devenir les gourous d'un sentiment partagé en processions joyeuses, et bleues ; tous mélangés sur une pelouse de plaisir au nom si injustement peu susurré, que Lorenzetti, avec des accents bogartiens pourrait ainsi décrire : “vous rapprochez vos lèvres comme ça et vous soufflez” : “Yves du Manouuaaaar” order lasix online