Ohé ohé, capitaine abandonné Qui sera le nouveau capitaine du RCT ? Par Pilou de la Boucherie, Avec la complicité de l’Affreux Gnafron. Toulon a pris sa première branlée de la saison contre les Soldats Roses. Même si le score ne reflète pas ce qualificatif peu élogieux, force est de constater qu’avec une équipe All-Star et qui se connait plutôt bien, les résultats sont drastiquement tristes, d’abord contre l’UBB et récemment contre le Stade Français. Toi aussi, devine la future recrue de Mourad. Si l’éclatante victoire contre le MHR peut contredire ce postulat de départ, nous ne démordons pas de l’idée qu’il pourrait exister un rouage grippé dans la mécanique si bien huilée du RC Toulon (cette phrase a été sponsorisée par la classe de mécanique du CFA de la Grande Tourrache). Plusieurs pistes peuvent être évoquées : début de saison, rodage, Jacques Delmas, etc. Mais nous souhaitons ici mettre en avant une piste potentiellement peu ou pas exploitée : le capitaine. Ainsi, depuis la retraite sportive de Joe Van Nierkerk et du Dieu Wilkinson, à qui donc échoit la lourde tâche de remobiliser l’ONU du rugby ? Qui est capable de gueuler en anglais suffisamment fort pour faire peur et se faire comprendre par des mecs de 120 kilos ? Si le choix de Carl Hayman est louable, il est difficilement compréhensible, tant le bonhomme semble taiseux et incapable de faire fermer sa gueule à Alain Delon. Carl, mime-nous ta définition de taiseux… Ah ouais, quand même. D’ailleurs, une petite parenthèse sur ce nouveau volet s’ajoutant au dossier Armitage. Nous n’y voyons rien de choquant. Il y a deux ans, lorsque Toulouse avait gagné d’un point à Bordeaux, Maestri avait été appelé par l’arbitre et au lieu de se taire, cherchait à lui répondre. Nyanga, capitaine du match, était intervenu en beuglant sur Maestri :” Mama, ta gueule, ta gueule !” Et bizarrement, aucun sous-titre, aucun clip vidéo pour revenir là dessus. Alors pourquoi en parler sur Armitage ? Pour que ça s’ajoute “au passif” du joueur ? Pour faire du clic/buzz ? D’autant plus que la véritable question a été évitée : qu’est-ce qui a fait que Delon a pu se permettre de répondre de cette manière à son capitaine ? En effet, Nous prenons les paris que l’Anglais de Nice n’aurait pas envoyé chier de la sorte son capitaine s’il s’agissait de Jonny Wilkinson ou Joe Van Niekerk (par respect pour le premier et par peur d’être mangé par l’autre). Ainsi, si je suis le premier à pourrir ce club que j’aime tant (même si l’abonnement est reuch, Mourad !), j’ai aussi toujours envie que ça fonctionne mieux. Le Rade’Labo a pris les devants et sélectionné des candidatures potentielles au poste de capitaine, chacune avec un profil différent, des forces et des faiblesses. N°1 : Jeanine, la commerçante Devise : “Elles sont fraîches mes salades ! Allez-allez ! Tout à dix balles ou je remballe !” Points forts : – Parle très fort – Amoureuse de Toulon (faut de l’amour pour trouver cette ville agréable). – Croit au complot anti-toulonnais. – Peut faire une ristourne sur les fruits et les légumes Points faibles : – L’anglais ? – Le rugby ? – Ne comprend pas pourquoi Wilkinson n’est plus titulaire. Bilan : Comme comprendre les règles est accessoire, cette candidate est toute désignée, Tom Whitford pouvant faire l’interprète. N°2 : Cédric, le hurleur Devise : “AAAAAAHHHHHHHHHH !” Points forts : – Parle encore plus fort que la candidate n°1. – Peut se bourrer la gueule en troisième mi-temps avec les joueurs. – Tatoué comme un Maori (mais non Sonny Bill ne reviendra pas). Points faibles : – L’anglais ? – Regarde sans doute les matches en étant ivre. – Devra parfois porter des t-shirts et se séparer de son micro. Bilan : Capable d’amener la folie qui manque à cette équipe de Toulon. Risque d’envahir le terrain en étant à poil à chaque victoire. Profil intéressant. N°3 : Michel, le journaliste Devise : “Allez l’OM” Points forts : – Parle anglais avec un accent provençal. – Lettré. – Habitué des caméras. Points faibles : – Parle sans crier. – Aime le football. Bilan : Si le profil technique semble séduisant, son appétence pour le foot semble incorrigible. A méditer. N°4 : Matt, l’ancien joueur Devise : “Fuck you !” Points forts : – Connait Toulon – Parle anglais – La filade. – L’alcool Points faible : – Le rugby. Bilan : Si l’ancien joueur semble tout désigné pour travailler avec le RC Toulon, reste à se demander de quelle manière et à quel poste. Candidat potentiel au poste d’entraîneur de la bagarre. N°5 : Marcel, le pédopsychiatre Devise : “Palimpsestes de jobarderie.” Points forts : – Habitué à parler à des enfants – Habitué à parler dans les médias – Peut s’exprimer avec classe sur le stade anal Points faibles : – Le rugby – Ses chroniques pour le Midol – Ses chroniques pour France Inter – Ses chroniques pour Psychologies Magazine Bilan : L’homme et le technicien sont séduisants, mais quelqu’un comprend-il ce qu’il raconte ? N°6 : Gavin Henson Non, on déconne là, mais c’est cadeau pour vous les filles. Et vous amis lecteurs, quel est, selon vous, le meilleur candidat ? Quel est votre candidat idéal pour être capitaine du RCT ? Jeanine CédriiiiIIIIIAAAAAAHAAZHUASZEERRRRR !!! Michel Matt Marcel Gavin Dark Vador View Results Loading ... CA NE MARCHE PAS ? Et bien vote en répondant dans les commentaires SALE FAINÉANT !
Saison 2014/2015, la fiche du RC Toulon La saison du mal. Par Pilou de la Boucherie, Préambule : Fermez tous vos culs à tout jamais. 1- Le club : L’histoire : Toulon, depuis l’Antiquité, est une ville de bourrins. Pirates, envahisseurs sarrasins, puis militaires et enfin rugbymen ne jurant que par la générale, on comprend aisément que la sophistication ontologique ne soit pas une spécialité locale. Terre d’immigration, on aurait pu penser que le mélange des cultures donnerait à la ville un esprit de tolérance et de respect. Que nenni. Le RCT ou Rugby Club Toulonnais (dire “Racing Club Toulonnais” si vous souhaitez faire enrager un supporter du club) est un collectif de boxeurs rugbymen qui NE se situe PAS dans le quart sud-ouest du pays. Partant de ce postulat, nous remercions les 2-3 lecteurs qui vont quand même lire cette fiche. Et pour les autres, si vous n’aimez pas Toulon, n’en dégoûtez pas les autres. Toulon, serein. Depuis 1908, le RCT sévit sur les terrains de France et de Navarre, et constitue aujourd’hui le dernier représentant du sud-est dans l’élite. Montpellier appartenant de toute évidence au sud-ouest (ce ne sont pas des gens comme nous voyons), et Grenoble et Oyonnax au grand Nord, à la limite du cercle polaire et de Nicolas Hulot. Dans les années 80 et 90, Toulon était l’une des places fortes du rugby français et grand pourvoyeur de l’équipe de France, ce qui parait difficile à croire aujourd’hui. Le style de jeu toulonnais s’apparentait plus ou moins à de la barbarie moderne (« le pas PD » pour reprendre l’ode poétique de Monsieur Herrero) et les grandes envolées n’avaient, quant à elles, pas encore dépassé les frontières d’Agen ou Toulouse. La troisième ligne (Champ, Louvet ou Loppy pour ne citer qu’eux) ne savait que rarement où se trouvait le ballon. Par contre, la charnière adverse n’avait pas le temps de les perdre de vue. Le point d’orgue de ce style ancestral, qui a su soulever les passions bestiales de milliers de Varois, est sans conteste le quart de finale de 1991 contre Bègles qui restera comme le premier combat d’Ultimate Fighting organisé en toute légalité en France. Reviens Léon, j’ai les mêmes à la maison ! Toutefois, c’était efficace, surtout avec Jérôme Gallion à la baguette. Trois fois Champion de France (1931, 1987, 1992), sept fois finalistes (Ô Toulouse, notre bourreau favori), bref le haut du panier pour la formation varoise. C’est en tout cas ce que tout Toulonnais croit, avec une foi inaliénable en son club. Mais ceci était un autre temps, à cette époque Paris Hilton était encore vierge et René La Taupe n’était pas devenu une star de la chanson française. Car les finances du club sont aussi saines que le foie de Johnny Hallyday et la rétrogradation administrative de 2000 a été relativement mal vécue par les supporters (c’est la phrase où l’on montre notre maîtrise de l’euphémisme). Après une première remontée infructueuse en 2005-2006 (la recrue phare s’appelait Ludovic Loustau, ça calme), le club connaît une nouvelle jeunesse avec l’arrivée de Mourad Boudjellal. On recrute à tour de bras et on finit par avoir des résultats avec une équipe constituée en majorité d’Îliens alcooliques (coucou Sinoti Sinoti, Jerry Collins et Willie Mason). Les grands noms se succèdent, en ProD2 comme dans l’élite et le RCT retrouve le chemin de la rédemption étape par étape depuis 2006, jusqu’au titre suprême de champion d’Europe décroché en 2013. Le club semble aujourd’hui durablement installé dans l’élite et aurait même pu glaner quelques titres supplémentaires si elle n’avait pas récupéré le mojo de Pierre Mignoni (et de l’ASM en général), qui consiste à chier tous les matchs importants d’une saison : 2 finales de Challenge, 1 demi-finale et 2 finales de Top 14. La saison 2013-2014 aura heureusement permis de conjurer la malédiction en remportant enfin le Brennus, mettant ainsi fin à une abstinence de plus de 20 ans. Ah oui, et le club a gagné un deuxième titre de champion d’Europe aussi. Voilà voilà. #Bisous Toulon a aussi été un des premiers clubs en France à avoir un sponsor ou à travailler avec des psys pour gérer l’équipe (même si on n’est pas totalement certains du réel métier exercé par Marcel Rufo). Comme quoi, le RCT n’est pas un club composé de brutes épaisses et violentes. Enfin pas seulement… Les grandes périodes du RCT pour résumer : De 1908 à 1974 : Sérieusement vous étiez nés à cette époque ? De 1974 à 1984 : Pas top. De 1984 à 1996 : On marche sur la gueule des campagnards et on gagne des titres. De 1996 à 2006 : On nous aime bien : on a des bons jeunes mais pas d’argent pour les garder (rétrogradation administrative en 2000 et sportive en 2006). Depuis 2006 : On nous aime moins : on a du fric, un président mégalo et des stars internationales. Depuis 2013 : Champions d’Europe, en toute simplicité. 2014 : le Doublé, en toute humilité. 2- La ville / le stade : Toulon, ville portuaire et balnéaire du sud de la France, présente la particularité d’être un savant mélange entre Provence urbaine, Maghreb développé et Côte d’Azur du pauvre. La ville dispose d’un cadre magnifique que des architectes originaires d’Allemagne de l’Est ont consciencieusement bousillé après guerre. Comme tous les ports, Toulon fut, jadis, une ville de débauche notamment célèbre pour le quartier du « Petit Chicago » (prononcez « Chicag’ »). La plupart des Toulonnais vont à l’Arsenal (s’ils y travaillaient ça se saurait) et la Rade de Toulon est également réputée, à l’image du port militaire, pour diverses réussites. C’est notamment là que le Charles de Gaulle a appris à nager en moins de 5 ans. C’est dans ce décor idyllique que se situe le Stade Mayol. Le « Temple de Besagne » qui était à l’origine au milieu d’un champ, est aujourd’hui en plein centre-ville, accolé au centre commercial du même nom où l’on peut observer les jeunes Toulonnais tuer le temps en crachant par terre, principale activité des autochtones entre deux matchs. Bien des décennies avant le Stade Français, le RCT a donc été d’un avant-gardisme inouï et a choisi une icône gay du show-biz comme mascotte, en la personne de Félix Mayol, chanteur du début du siècle, qui a gracieusement offert ce terrain au club en 1920. Le stade est vétuste mais toujours « plein comme un œuf » pour paraphraser Eric Bayle. Chaque année, au défi de toutes les règles de sécurité, on ajoute quelques sièges et on rénove le stade (comprendre : on repeint les escaliers). C’est un stade apparemment assez intimidant pour les adversaires, surtout en ProD2 quand les mecs n’avaient pas l’habitude de jouer devant des spectateurs. Toutefois, les matchs de gala sont désormais organisés loin du stade Mayol, devenu trop petit pour l’ego surdimensionné des Toulonnais qui pensent pouvoir rivaliser avec les géants du Top 14 tels que Toulouse, Clermont ou encore Biarritz (ahah). Marseille et Nice sont ainsi les nouvelles destinations glamour pour des Toulonnais toujours plus ravis d’avoir à faire plus de 100km, dans un parcours truffé de péages et de radars, pour voir leur équipe jouer contre l’équipe B de ses adversaires dominicaux. 3- Bonus : Le Pilou-Pilou Les animations sont monnaie courante au stade Mayol, et l’avant-match est désormais rôdé comme du papier hygiénique. Depuis 2004, le groupe Occi-Cant chante le Coupo Santo, hymne provençal que tous les Toulonnais s’évertuent à massacrer en chœur avant chaque rencontre, conscients que les paroles sont bien plus difficiles à retenir qu’un « Tou-lon-nais allez allez allez, allez allez allez ». Ensuite, le Toulonnais avec les plus grosses cojones (ou le moins d’amour propre ou le plus saoul, au choix) balance le Pilou-Pilou avec le visage parsemé de décalcomanies tribales. Contrairement à ce que pourrait penser un auditeur lambda, ce « cri » guerrier est bel et bien dans la langue de Molière, et permet de prôner l’aliénation mentale du peuple toulonnais. On remerciera Canal + et consorts d’insister sur ce chant à chaque début de match, vous cassant ainsi bien les burnes si vous n’êtes pas supporter dudit club. Toujours plus friand d’exposition médiatique, le président Boudjellal fait intervenir depuis 2012 des guest stars pour reprendre le Pilou-Pilou dans l’enceinte de Mayol. Ajoutez à cela le lancer de journaux en tribunes au moment où le RCT prend 3 points d’avance, et les matchs sont devenus un spectacle familial avec us et coutumes intégrés. On imagine alors aisément la suite que pourrait donner le président toulonnais à ces animations de match : une chorégraphie de majorettes dénudées à chaque essai toulonnais, un concours de lancer de javelot visant à abattre les joueurs auteurs d’une piètre prestation, le président Obama qui lance le Pilou-Pilou en duplex d’un G20 au Guatemala ou encore des nains cracheurs de feu qui se sodomisent à la mi-temps d’un match. Bref, on a hâte de voir tout ça. On notera également ce rap de grande quoualitay : Couleurs et emblème du club Dans la plus grande ville française à avoir élu un maire d’extrême-droite, on se doute que le Rouge et le Noir ne représentent pas le communisme et l’anarchie. Ce n’est pas non plus une référence au romantisme de Stendhal ou au groove de Jeanne Mas, les rugbymen toulonnais étant peu adeptes du patrimoine culturel français. La légende urbaine raconte plutôt que ce sont des Toulousains qui auraient fait cadeau de deux jeux de maillots à la création du RCT. Le Toulousain étant fourbe et sournois, cela nous étonnerait fortement. En revanche, l’origine de son emblème, un brin de muguet à 13 clochettes, fait moins débat, hommage à Monsieur Félix Mayol qui arborait un brin de muguet à sa boutonnière lors de ses représentations. Pour les quelques décérébrés qui se demandent pourquoi le RCT ne possède pas de mascotte, imaginez-vous simplement un gonze déguisé en plante verte avec des clochettes sur la tête et qui harangue le très tolérant public toulonnais. Pottoku, Gerbalion et Gerotriso sont très bien là où ils sont. 4- L’effectif La star Dans un championnat aussi serré que le stérilet de ma belle-sœur, l’importance d’un effectif aussi bien qualitatif que quantitatif est primordiale pour jouer les premiers rôles. Out donc les Henjak, Mason, Rokobaro, Tawaké et autres Mussolini Schuster et Van Rensburg (et j’en passe), c’est désormais l’ère des Hayman, Giteau, Castrogiovanni, Ali Williams et Bastareaud, ce qui a tout de suite plus de gueule. Dans un effectif aussi pléthorique que celui de Toulon, il est difficile de dégager des joueurs en particulier. Ils sont tous internationaux, beaux, frais, dispos et sentent bons le sable chaud. Le boucher Bakkies Botha méritant un portrait complet, c’est l’Anglais Delon Armitage qui a vaillamment gagné sa place sur cette fiche à grands coups de pieds dans la gueule. Car celui que l’on surnomme Alain Delon Armitage (oui le surnom est plus long, et alors ?) est du genre casse-couille et sanguin. Ce qui est normal pour un Anglais né aux abords de la Méditerranée. Une offrande à l’Auvergne C’est ainsi que depuis 2011, l’Anglais collectionne les coups d’éclats et les suspensions : Janvier 2011, il est suspendu 8 semaines pour avoir menacé et molesté un commissaire anti-dopage. Le garçon est prometteur. Avril 2011, Armitage frappe fort (c’est le cas de le dire). Son poing rencontre la mâchoire de Stephen Myler, l’ouvreur de Northampton, lui permettant d’empocher trois semaines de vacances supplémentaires, ratant ainsi la rencontre entre les Barbarians et l’Angleterre à Twickenham, mais pas la Coupe du Monde. Septembre 2011 : Coupe du Monde où il se fera remarquer en dévissant l’Ecossais Paterson en phase de poule. Suspendu, il loupera le quart de finale perdu contre la France. Novembre 2011 : Un autre plaquage dangereux sur Tom Biggs lui vaudra 5 semaines de suspension. En 2012, l’arrière des London Irish va monter de niveau en se montrant plus à l’aise dans les rixes de boîtes de nuit que sur les terrains de rugby. Deux arrestations plus tard, le voilà écarté de la sélection anglaise par Lancaster et prêt pour un nouveau défi : se racheter une conduite en France, au RCT. En apprenant la nouvelle, son contrôleur judiciaire s’est pendu, et c’est ainsi que, depuis la saison 2012-2013, nous avons la chance d’assister à toujours plus de grâce et de volupté de la part du bad boy anglais. Désormais le Top 14 est son nouveau terrain de jeu et l’émission « Faites entrer l’accusé » commence à s’intéresser à son profil. 3 cartons jaunes dès sa première saison, dont un très beau plaquage cathédrale sur le Montpelliérain Bérard en H-Cup, qui lui vaudra 8 semaines de suspension. Finalement l’Anglais réussira à accéder à la gloire, en devenant le joueur le plus détesté du championnat grâce à son « coucou » au moment de déposer Brock James et l’ASM lors de la finale de H-Cup 2013. Le pauvre doit ressentir la même frustration qu’un chanteur qui accède à la reconnaissance tardivement après avoir sorti sa pire daube commerciale. Bref une star bouchère est née et avec elle un florilège de gestes aussi incompréhensibles que la coiffure de Jocelino Suta, que nous ne pouvons que saluer bien bas. Le staff En 2006, l’arrivée de Mourad Boudjellal à la tête du RCT, laisse présager des lendemains qui chantent… et des oreilles qui sifflent. Après Gainsbourg et Gainsbarre, il y a Boudjellal et BougeDeLà. Cet amoureux du phylactère est également un grand amateur de recrutements abusifs et de licenciements foireux (et inversement). Si les stars se succèdent sur le terrain, les entraîneurs (et adjoints) en font de même sur le banc de touche. On retiendra qu’en 7 ans, Doucet, Jorda, Lane, Comba, Crenca, Cottin, Hueber et plus récemment Olivier Azam, ont gentiment été éconduits par le président BougeDeLà. Le reste du staff est composé de Bernard Laporte. Après tout un ex-politicien, mafieux et magouilleur dans l’âme, pourquoi pas ? On est à Toulon, faut pas l’oublier. Après avoir réussi à faire sombrer à lui tout seul l’Aviron Bayonnais et le Stade Français, notre Jambon Star national a été recruté pour remplacer le nouvel entraîneur du XV de France, Philippe Saint André, actuellement en attente de résultats probants avec l’équipe nationale et d’une greffe de cordes vocales. Dans sa tâche, Bernard Laporte est aidé par Pierre Mignoni, qui a pour lui son expérience, son sérieux et son expertise du jeu clermontois (avec le soupçon de lose qui va avec) et Jacques Delmas, qui a pour lui un bouc des années 80 et une expertise des papiers administratifs de Pôle Emploi. Bonus : Habana, le nouveau Zébango Nous sommes en juin 2011 et le président Boudjellal a encore échoué dans son désir de recruter l’ailier Springbok, meilleur joueur du monde en 2007, Bryan Habana. Qu’à cela ne tienne, Toulon n’a pas besoin de lui. Toulon a bien mieux, plus jeune et plus local : Jean-Yves Zébango. Alors âgé de 19 ans, le natif de Ouagadougou est alors encarté par le président toulonnais comme étant le « futur Bryan Habana », rien que ça… 2 ans plus tard. Juin 2013, Bryan Habana signe enfin au RCT. Tout le monde a oublié l’existence de Jean-Yves Zébango. Il a même été devancé par un autre espoir dans la hiérarchie des ailiers en la personne de Vincent Martin. Et afin d’être certain de ne jamais avoir à aligner son « joyau de la formation toulonnaise », Mourad Boudjellal a également recruté l’ailier australien Drew Mitchell, qui vient s’ajouter à la liste des sprinters avec David Smith et Rudi Wulf. Recrutement qui nous laisse penser que le RCT se prépare peut-être pour les Championnats du Monde d’athlétisme. Par contre, le petit Jean-Yves devra quant à lui certainement attendre qu’une attaque de zombies mangeurs d’ailiers vienne décimer l’effectif toulonnais pour avoir la chance de fouler un jour une pelouse du Top 14. Scénario idéal : Le RCT réussit enfin à devenir le premier club à réaliser un deuxième doublé H-Cup – Top 14 le 3 juin 2015 (victoire contre l’ASM dans les deux compétitions précipitant un suicide collectif en Auvergne et en Irlande), devenant ainsi la première équipe de rugby au monde à être double-double champion. Deux mois plus tard, le relais 4x100m composé d’Habana, Mitchell, Smith et Wulf remporte le Championnat du Monde d’athlétisme à Pékin et Jean-Charles Orioli remporte Top Chef grâce à sa spéciale : la calzone pomme de terre. Mais le RCT ne s’arrête pas là, puisque successivement Bakkies Botha en Ball-Trap, Sébastien Tillous-Borde en lutte gréco-romaine (médaille d’argent pour Gorgodze) et Matt Giteau en Bitch-Volley deviennent champions olympiques à Rio en 2016. En 2017, le nouveau président français, Olivier Besancenot, dans le but de réduire l’analphabétisme et l’alcoolisme en France, déclare la Bretagne et l’aire toulonnaise indépendantes. En 2019, à la tête du XV du Muguet, Jacques Delmas affronte l’équipe – 20ans des All Blacks (toutes les stars néo-zélandaises ayant déjà été recrutées par le président Boudjellal) en finale de la Coupe du Monde de Rugby. Mené 3-0 à 2 minutes de la fin, Delon Armitage intercepte un ballon cafouillé par les Baby Blacks, fait un gros fuck à son vis-à-vis, le dépasse et plonge dans l’en-but en faisant la baleine « bronzée », et donne ainsi la victoire au RCTI (Rugby Club Toulonnais Indépendant). Toulon devient Champion du Monde de Rugby. C’est alors que la collision de deux plaques tectoniques crée une fissure à la surface du terrain d’où en sort Satan, venu lui-même remettre la coupe Webb Ellis à Marc Cécillon (directeur sportif) lors du protocole final. Le monde plonge alors dans un chaos sans nom, le Mal détruit ce qu’il reste d’humanité sur Terre en cendres organiques et Toulon devient la capitale d’un ramdam terrible qui engendrera la fin du monde tel que nous le connaissons. Et ça, c’est le scénario idéal. Scénario catastrophe : Euphorique après la victoire de son équipe en finale de la coupe du monde des clubs face aux Crusaders, Mourad Boudjellal décide d’offrir une Maserati à tous les Toulonnais titulaires d’une carte d’abonnement au stade Mayol depuis 2006 (ceux qui ont cramé leur PEL en gros). Ce qui était au départ un acte de générosité farfelu deviendra très vite un désastre écologique sans nom. Pollution, effet de serre, réchauffement climatique, Christine Boutin nue chez elle, incendies en forêt, plus de gibiers pour Bakkies Botha (qui finira par manger Nicolas Durand), fonte des glaces en Alaska, élévation du niveau de l’eau. Au final une kyrielle de tsunamis ravageront les vulnérables rives varoises, ainsi renversées par de vives vagues. Nous sommes en 2024 et la LNR s’est enfin débarrassée du RCT.
O Capitaine, mon capitaine. Beh voilà, c’est fait. Pierre Mignoni a raflé un Brennus, Laporte échappe à la garde à vue une année de plus et Jacques Delmas n’est pas parti en cours de saison. A sa manière (en cassant la gueule de ses adversaires) le Racing Club de Toulon est enfin devenu le seul vrai club de rugby de France ©. Les râleurs et amoureux du beau geste, vous pouvez rentrer à la piaule. Cette saison se sera déroulée sous le signe du boucher, ascendant maçon. Si les célébrations dantesques sont compréhensibles et de rigueur (imaginez retenir un orgasme pendant 22 ans…), elles sont couplées avec le départ à la retraite sportive de la divinité rugbystique qu’est Jonny Wilkinson. Son départ a eu l’effet d’un statu quo géant sur le petit monde ovale qui nous donne tant d’émotions. Pro ou anti-toulonnais, amis de Super Dupont ou sympathisants anglais, ivrognes de séries régionales ou athlèles du Top14, tout le monde a salué, à sa manière, le joueur et l’homme. Mais quelqu’un a été oublié, un autre joueur du RC Toulon qui lui aussi raccroche les crampons : Joe Van Niekerk. Arrivé en 2008 au club alors qu’il devait signer à Northampton, Captain Joe m’a fait vibrer, plus que Wilkinson et ses tirs millimétrés ou que Sonny Bill (non, il ne reviendra pas, ne rêvez pas) et ses passes de l’espace. Des frissons lorsqu’il rentrait sur le terrain, se frappant le torse comme un King Kong de pré carré à ses courses effrénées conclues par un essai et un saut de l’ange dans l’en but (plus ou moins réussi). Puis il y a eu les blessures, les problèmes de vie privée et le joueur s’est fait plus rare. Un match par-ci, dix minutes par-là. Qu’importe, le bonhomme était toujours là, transcendant ses coéquipiers avec ces discours à base de « fock » et « ineculé », mélangeant français et anglais (le mec rêvé pour Toulon quoi…). Mon meilleur souvenir de JVN n’est pourtant pas lié au terrain. Un soir de week-end, l’avant-boîte la plus célèbre du Mourillon fait le plein, un mec me bouscule, c’est Van Niekerk. Il est déchiré comme un cartable, moi aussi. Il me sourit et m’explique comme il peut qu’il a essayé d’éviter une pouffe peroxydée perchée sur des talons hauts (les clichés ont la vie dure). On rit comme deux ivrognes et il me dit « Wish you the best, man » en me tapant amicalement l’épaule. J’ai eu un bleu pendant une semaine, mais j’étais content. Dix minutes plus tard, Captain Joe se foutait à poil : Parce que Toulon, bitch. Joe aura supporté le club pendant six ans et lui aura, comme d’autres, permis d’exister et de briller au plus haut niveau. Evidemment, je ne parle pas de choix tactiques cruciaux ou de coups de pied décisifs un soir de finale. Non, en réalité, je pense plutôt à ces matchs de merde, gagnés sous la pluie ou dans le froid, à Bourgoin ou à Dax, des matchs nécessaires pour se maintenir en Top14, à une époque pas si lointaine où Toulon alignait fièrement une charnière Matt Henjack / Sébastien Fauqué. Le départ de Wilko a éclipsé le sien (comme celui de Roussow) à tel point qu’on évoque un match jubilé pour l’Anglais, mais rien pour Joe. Il était à peine présent samedi soir, pour soulever le Bouclier avec tous les autres. Dommage que certain(e)s de mes compatriotes prompt(e)s à célébrer un titre parce qu’un club est devenu à la mode dans leur ville ne prennent pas le temps de se renseigner sur qui a fait quoi avant d’être champions. En tout cas, étranger ou mercenaire, champion ou non, personnellement je m’en fous car tu m’auras fasciné. Merci Captain Joe et comme dirait l’autre « Wish you the best, man ». Pilou
Le Rade’Labo analyse Castres – RCT (22-15) Le vice-champion de France castrais a pris sa revanche sur Toulon. Par Pilou Disclaimer Simplement pour vous dire qu’il ne sera fait aucune blague, allusion ou jeu de mots foireux concernant la localisation de Castres, le nom de famille Kockott ou Pierre Fabre. Après tout, le Castres Olympique a déjà perdu la finale du Top14 en juin dernier, pas la peine d’accabler encore plus cette équipe. Bisous. Contexte Ok, donc le fameux choc revival de la finale de la saison passée, super important, prime time, blabla. Toulon est venu avec ses stars et Castres aligne sa grosse équipe, c’est-à-dire Rory Kockott. Il fait beau, il fait bon, Eric Bayle a mis sa plus belle cravate et j’ai trouvé un streaming décent. La composition des deux équipes Le film du match Un bon vieux film français auquel on ne comprend rien. Duel de buteurs chiant au sommet, amenant à un vieux 6-6 jusqu’à la 39ème minute de jeu. Une touche à 5 mètres, dix Castrais se retrouvent dans l’alignement pour réaliser un maul façon tortue béglaise qui défonce les joueurs du RCT, visiblement peu doués en calcul (à 10 contre 6, c’est pas forcément facile de défendre). Brice Mach passe le mur du son et aplatit. A la pause, Castres mène 13-9. Merci à la Palette Canal + de nous permettre de revoir ce fameux maul castrais Retour des vestaires. Reprise avantageuse des Toulonnais grâce à une pénalité et un drop de Wilkinson (15-13), mais Castres a aussi un artilleur blond et en meilleur forme pour le coup. Son maître à jouer ne s’affole pas et le RCT ne marquera plus jusqu’à la fin du match. Wilkinson rate en effet ses dernières tentatives au contraire de Kockott qui coule le RCT avec trois pénalités pour que le CO s’impose donc 22 à 15. La poitrenade Pas forcément un gag à proprement parler, plutôt une tentative d’assassinat perpétrée au début du match par Botha sur Kockott. La décence m’interdisant de passer ces images pour ne pas heurter la sensibilité des plus jeunes, une simple reconstitution sera tout aussi évocatrice : Les plus coquins (ou sadiques) peuvent quand même se rincer l’oeil ici. Le joueur Rory Kockott, c’est tout. En guise d’illustration, l’action du match : Et comme si ça ne suffisait pas, le mec est en plus pété de classe et s’excuse après une vanne à la con : Kockott n’en était déjà pas à son premier coup de fair-play puisque lors du match face au MHR en octobre 2011, il avait de lui-même indiqué à l’arbitre de champ que sa pénalité n’était pas passée. Encore un étranger qui n’a finalement rien compris aux Valeurs © du rugby. La déclaration « J’arbitre, vous jouez. Ok ? » Paul Gauzère #badass Rien d’autre. Ah si, je n’ai désormais plus honte de le dire : Rory, je t’aime. La morale de l’histoire Avec cette décision prise de ne pas jouer à l’extérieur, le RCT entame une longue série d’endormissement de tous ses adversaires directs afin d’être sacré une deuxième fois champion de France. Toulon, le seul vrai club de rugby de France ©.
Le Rade’Labo analyse Gronoble – Erceté (28-26) Le RCT retrouve sa bête noire © (toi aussi parle comme un journaliste) Par Pilou, Le contexte Bien installé dans mon canapé, j’ai enfin réussi à trouver un streaming décent pour suivre le match, sans être perpétuellement spammé par des annonces publicitaires destinées à la taille de mon pénis ou à me vendre les charmes de vieilles actrices de porno amateur sur le retour. Je décapsule ma canette de Coca (oui pas d’alcool pour l’instant…) et je mords rageusement dans mon premier quart de pizza au moment où l’arbitre donne le coup d’envoi. Le film du match Comment dire… Gros duel de buteurs entre Courrent et Wilkinson. A la dernière minute de la première période, Caminator met tout le monde d’équerre, avec un coup de pompe réussi à 55 mètres, laissant ainsi sa carte de visite à Wilko. Caminati s’apprêtant à taper une pénalité. Rebelotte durant la seconde période, jusqu’à l’essai de Roland Bernard. Côté toulonnais, deux actions d’essai inabouties et une incapacité à faire face à l’engouement, à l’énergie des Isérois.Je coupe mon streaming. Je viens de m’apercevoir que ce n’est pas le RCT qui joue. Damien Try m’apprendra la victoire des siens par un gentil tweet : La poitrenade Il y avait pourtant de quoi faire, avec deux clubs au passif chargé, au style de jeu léger comme un pilier samoan et symbolisant deux villes à l’historique sulfureux. Ajoutez à cela les compositions respectives des deux équipes qui comportaient une grande majorité de Sud-Africains, d’Anglais et d’Australiens. Mais non, rien. Pas la moindre bagarre, pas une seule petite montée de sève. J’avoue, sans honte, que j’attendais beaucoup du duel Caminati – Delon Armitage, tous deux formés à Nice, la filière du manchon ensoleillé dans la gueule… Quedalle. Et comme je l’ai si intelligemment annoncé sur Twitter : Voici la photo : Le joueur Impossible de ne pas parler de Valentin Courrent. Principal scoreur de son équipe, il réalise une bonne prestation durant le reste de la partie, éclipsant presque son numéro 10. A la 73ème minute, il se paie même le luxe d’une faute volontaire proche de sa ligne d’en-but que l’arbitre ne verra même pas. 4 étoiles sur l’échelle de la putasserie. Côté toulonnais, Bryan Habana, entre deux avions, a fait ses premiers pas dans le Top14, dix minutes avant la fin, en remplacement de Tuivosa, Fidjien de 19 ans totalement inconnu, qui a livré un très bon match. Sympa. « Mais qu’est-ce que je fous, ici moi… » La mention spéciale Une dédicace au public grenoblois. Oui, ici c’est Grenoble. On le sait et on est sincèrement désolés pour vous tous. Les déclarations « C’est une surprise non, parce qu’on sait très bien que dans le Top 14, ce n’est pas aussi simple que ce soit le favori qui gagne. Une saison de Top 14 ce n’est pas un long fleuve tranquille. Grenoble a fait un match épatant contre nous ce soir. Le rugby, même quand tu es censé être plus fort, si tu n’es pas présent dans l’engagement, si tu te laisses dépasser dans l’envie, c’est la guerre. En première mi-temps on relançait tous les ballons. Je me demandais si je n’avais pas mis une prime à l’essai marqué parce que j’avais l’impression qu’ils voulaient tous marquer de leur 22. A l’arrivée, Grenoble a fait un match sérieux, appliqué, ils avaient une envie mais de toute façon c’est le genre de match qu’on aura toute la saison. Quand on se déplace à l’extérieur, pour nous c’est un match de championnat, pour eux c’est une coupe, c’est une finale de coupe. Je me demande si on n’est pas fait pour jouer que les grandes équipes. » Mourad © La morale de l’histoire Finalement, j’ai fini ma pizza et je me suis bourré la gueule en regardant du free-fight.
Le Rade'Labo analyse Emachère – RCT (22-22) Par Pilou de la Boucherie, buy cheap glasses online Le contexte Au cas où vous ne le sauriez pas, le Top14 reprend… En même temps, si vous ne le savez pas, c’est que vous vous en foutez un peu du rugby et que vous êtes ici pour d’autres obscures raisons (au hasard : #rugbymannu, #fessesmusclées, #pilouàpoil). Cette saison s’ouvrait donc avec le champion de France en titre RCT face à un rival qu’il connaît bien pour lui avoir vaillamment repris la Scooter-Cup l’année précédente. Le match Mal embarqué, Toulon se fait détruire dans tous les secteurs de jeu. En mêlée, grâce aux anciennes vraies fausses nouvelles règles, les piliers varois ne savent plus vraiment dans quelle direction pousser, ce qui explique qu’ils perdront à chaque fois cette phase de jeu. Sheridan a compris, ce soir-là, qu’il ne servirait à rien, tout comme Jacques Delmas, même si pour le coup, c’est tout un peuple qui l’avait déjà compris (bisous aux copains catalans). Côté héraultais, rien à dire. Essai du sosie de Willy Sagnol dès la 3ème minute de jeu et pratiquement 100 % au pied. Mi-temps sur le score de 13-3 pour les indigènes. A la pause, Laporte engueule tellement ses joueurs que le plâtre du plafond tombe, les murs se zèbrent (rien à voir avec l’équipe italienne, hein) et les canalisations des douches se tordent jusqu’à exploser. Toulon rentre mieux dans sa deuxième mi-temps et revient à -10 par la grâce de son demi-dieu anglais. Pélissié, Trinh-Duc puis Paillaugue répondent de concert à Jo(h)nny jusqu’à ce que Maxime Mermoz, entre deux clichés Instagram concurrençant Poitrenaud, passe par là. Essai, transformation. Merci, bisous. L’action Le drop de T-Duc…. Ouais, François a en claqué une belle, plein fer. Fallait être là, en revanche, parce que ça sera sans doute son seul de l’année. Au passage, il en profitera pour asseoir ses relations avec Wilkinson. La poitrenade L’arbitrage vidéo sur l’essai toulonnais en première mi-temps qui aurait été valable l’année dernière, mais ne l’est plus aujourd’hui, à l’aune de la mise à jour du règlement. Sens du vent, intensité hydrométrique, gestuelle faciale, surcharge pondérale, autant d’éléments à prendre en compte et qui donneront naissance à autant de moyens de contestations auprès de l’arbitrage. Pas sûr que ce dernier en sorte allégé de critiques. Le joueur Maxime Mermoz pour son imitation de Tigro des Cosmocats. Les déclarations « On est sonnés et frustrés. C'est un peu mon sentiment à chaud, quand on est devant toute la partie. Le contenu ne veut rien dire. Il n'y a rien à dire sur la performance de Toulon qui a su faire ce qu'il fallait pour assurer le match nul. […] On va essayer de rebondir sur ça. » Fabien Galthié, imitant Droopy ou est-ce l’inverse ? La mention spéciale #fêteduslip La morale de l’histoire Réussir à rattraper 10 points en 15 minutes et faire match nul de manière outrageusement putassière, pas de doute le RCT est devenu une équipe de champions. zp8497586rq
Top 14 : Les prédictions 2013/2014 de Pilou Il a morflé Néo. Ovale Masqué, Damien Try et Marcel Caumixe l'ont déjà fait, voici l'avenir vu dans les yeux de Pilou. Le Top 6 : Toulon – Racing – Clermont – Montpellier – Toulouse – Bayonne Décidé à obtenir le Brennus parce que ça rime avec anus, Mourad met en place tout au long de la saison un plan de destruction massive de ses adversaires, qu'ils soient sportifs comme politico-économiques. Démonstration de force en battant très largement des clubs ciblés (au hasard les promus), battage médiatique hebdomadaire, critiques envers l'arbitrage, syndrome Calimero, rien ne sera épargné aux autres clubs. Le nouveau vrai classico RCT-ASM sera le pinacle de ce plan diabolique, Mourad débarquant au Michelin déguisé en pneu et distribuant des mouchoirs, imitation billets de banque, aux supporters auvergnats. Avec son recrutement sponsorisé Pierre Fabre, le Racing a tenté un coup de poker… Qui marche cette fois-ci (coucou Benjamin Fall) et permet au club francilien de briller toute la saison. Profitant de la chute de Castres dans le classement, Montpellier a enfin la possibilité de se qualifier en quart en ne jouant pas le CO en barrage pour une quatrième fois consécutive, mais je les vois profiter de la méforme de Toulouse, toujours à la recherche d'un fond de jeu (#trollinside). L'ancienne nouvelle équipe d'Agen-Bayonne sera la surprise de la saison, arrivant enfin à aligner plus de deux victoires d'affilées et plus de trois points au pied, grâce à une performante troisième ligne made in Fidjien Basque. Mike Philips devient plus populaire qu'Imanol Harinordoquy. En phases finales, Toulon éclate tout le monde pour enfin gagner le titre et c'est bien ça le plus important. Les relégués : Brive et Biarritz L'armée géorgienne de Corrèze ne permettra pas au CAB de se maintenir en Top14, dépourvu de son principal artilleur, Julien Caminator parti briser des crânes à Grenoble. Après l'annonce de sa rétrogradation en ProD2, Serge Blanco essayera d'imposer le Top18. Paul Goze s'y refusera (Perpignan étant 7ème). Accompagné de Lucien Harinordoquy et de Laurent Rodriguez, Serge Blanco tentera un putsch pour destituer Paul Goze, mais ce dernier, ne faisant désormais plus qu'un avec son fauteuil de président, se révèlera indétrônable. Le lendemain, Blanco recevra un sms de Mourad : “Lol.” H Cup : Clermont Le RCT n'étant pas là pour réaliser un nouveau viol collectiftour de force sportif, l'ASM triomphe enfin, sans avoir eu à perdre dix finales. Amlin Cup : Grenoble Finale Grenoble – Munster. Dès le début de la rencontre, Grenoble parviendra à scorer via un drop de Caminati (son seul réussi de la saison). Derrière, le coup d'envoi donne lieu à une gigantesque générale. Blessés et expulsés étant trop nombreux, la rencontre est interrompue, victoire de Grenoble. Pro D2 : Finale d'accession LOU – Pau Comme chaque année, il s'agira sans doute d'un des plus beaux matchs de rugby de la saison, Top14 et ProD2 confondus. Un savant mélange d'escroquerie arbitrale, de bourre-pifs parfaitement dosés, d'essais du bout de la France et d'énormes apéritifs. eye glasses online Victoire de Pau qui réintègre le Top14. zp8497586rq
Le Rade'Labo est champion d'Europe Satan 1, Le rugby 0. Par Jonny Willkillsoon et Pilou. Le Rade’Labo et ses milliardaires dédient ce match à André Boniface. « Sivivatu en un contre un, il peut faire la différence !… Oh l’en-avant ! C’est terminé… C’est fini !… » (un commentateur déçu) Installés devant leurs téléviseurs, aux terrasses des bistrots ou dans les gradins d’un stade, les supporters toulonnais osent à peine y croire. L’impensable s’est réalisé. Sur le bord du terrain, Pierre Mignoni, incrédule, n’en revient pas. Il a enfin gagné un titre en club. Pas simplement une coupe en chocolat dont tout le monde se fout, un vrai titre, qui fait saliver, rêver ou pleurer. Il va pouvoir enfin inaugurer la salle des trophées qu’il a aménagée dans son garage lors de son arrivée à Toulon. Retour quelques heures plus tôt… Le contexte Cette quatrième finale de H-Cup 100% française de l'histoire accouchera d'un vainqueur inédit. Si Clermont s'impose en cette fin d'après-midi, elle sera d'ailleurs la première équipe à soulever le trophée en ayant remporté tout ses matchs (10 victoires au total), ce qui permettra au club d’acquérir un nouveau record inutile. usa pharmacy L’ASM, assumant son statut de club le plus aimé d’Europe Evidemment, seuls quelques couillons ont cru au grand bluff pré-phases finales des joueurs cadres qui ne seront pas là, mais finalement présents au dernier moment. Guy Novès a porté plainte pour plagiat et non respect d’un copyright qui a fait ses preuves. Côté supporters, les journalistes ont annoncé 8 000 personnes, la police seulement 6 000 et les associations auvergnates 50 000. Une chose est certaine, au peuple auvergnat s’ajoute la foule de détracteurs de tous bords souhaitant que le Racing Club de Toulon (coucou Laurent Delahousse) perde et si possible, en étant humilié de la plus belle des manières par le meilleur marqueur de la compétition, telle une vulgaire actrice porno lors de la cérémonie des Hot d’or. A Dublin, les 2 000 Toulonnais qui ont fait le voyage commencent presque à regretter les RTT qu’ils ont posés pour venir. Comble de la chienlit, le ciel est gris, mais il ne pleut pas, on ne pourra donc pas compter sur le climat pour gêner les Ikea Boys. Des Toulonnais, perfides et sournois, en embuscade Le fil du match 3-3 à la mi-temps, direction les vestiaires. On ne retiendra qu’un bon gros bouchon de Roro sur Wilko, dès la 5ème minute de jeu et ce drop de Barbu Brock, contré par le double mètre de Kennedy. Entre les deux, il y a un essai refusé à la vidéo à ce même Brock James. Un avertissement cuisant, mais sans frais pour Toulon. Les plus fragiles d’entre nous ont déjà succombé à un trop plein de bières, une santé fragile ou un sphincter défaillant. Les survivants débutent la seconde mi-temps en commençant à ronger leurs ongles de pieds. A froid, les anges blonds auvergnats poinçonnent les Toulonnais. Percée de Rougerie qui sert Nalaga. Ce dernier raffute d’un index Tillous-Borde et brise Armitage en deux, avant de s’affaler dans l’en-but, heureux comme un petit bouddha devant un steak frites. Parra foire la transfo, mais l’estocade est portée quelques minutes plus tard. Coup de pied par-dessus la défense, Rougerie encore chope la gonfle, envoie valdinguer Wilko et transmet à James. Ça fait deux essais à que dalle. L’Auvergne, sûre de sa force Le suicide collectif n’est plus très loin, Mourad quitte le stade en jet pack et Bernie ne peut qu’acquiescer du casque à Tom Withford, toujours taiseux. Avant de devenir catatonique, Laporte a la magnifique idée d’un triple changement. Michalak fait son entrée, les pucelles se pâment et les garçons espèrent un miracle. Les groupies de Fred s’amusent comme elles peuvent en attendant leur héros 59ème minute de jeu, ce même Michalak joue vite une pénalité et tape un vieux pointu qui envoie le ballon à l’autre du bout du camp clermontois. Une pénalité plus tard, Toulon se refait la cerise, 15 à 9. Certains supporters reviennent à la vie. Alors que les Clermontois continuent à envoyer du jeu pour décrocher le bonus offensif (une habitude difficile à perdre), Wesley Snipes se troue après une percée et se retrouve isolé. N’est pas Blade qui veut. Le superman argentin, Fernandez Lobbe, gratte la balle et la balance à l’aile jusqu’à Alain Delon. Sprint, moquerie, essai. Toulon revient de loin. how can i get my ex girlfriend back Bitch, please 30 minutes à attendre que les 15 minutes les plus longues de notre vie de simples quidams s’égrènent. Les doigts n’ont plus d’ongles, les fauteuils n’ont plus d’accoudoirs, Laporte n’a plus de cheveux et Boudjellal n’a plus d’essence. David Skrela entre en piste à 7 minutes de la fin (soit son espérance de vie moyenne sur un terrain de rugby). Ça sent le gros fail mais non, même pas. Son drop est contré par Bastareaud. 15 à 16 pour Toulon. Score final. Malgré une pression constante et effrénée des Clermontois, rien ne changera, pliez tout, on remballe. Pas d’erreur d’arbitrage dont se plaindre, pas de fait de jeu scandaleux. Clermont s’est tué tout seul, victime de ses vieux démons. Cas typique d’un spectateur clermontois qui ne voit pas le méchant démon toulonnais derrière lui Après-match Ce qui fera ensuite beaucoup parler, c’est la fameuse attitude d’Armitage envers Brock James, jugée contraire aux Valeurs du Rugby ©. Mais si tordre le doigt d’un joueur choque moins que de se foutre de la gueule de son adversaire, Will Carling, Sylvain Marconnet ou Augustin Pichot ont probablement eu raison de mettre un terme à leur carrière. Cette broutille d’aigris et de jaloux n’empêchera pas le peuple toulonnais d’exploser de joie, avant d’exploser leurs estomacs et leurs slips. Les fameuses pluies de sperme toulonnaises Au même moment, assis sur son canapé, Luke Rooney, que tout le monde a oublié, réalise qu'il vient de devenir champion d'un continent qu'il connaît à peine en n'ayant pas joué un seul match de la saison. Beau boulot, champion. Quant à nous deux, bouchers et compères de fortune d’un club qui nous aura gavé autant que fait rêver, nous saluons amicalement nos amis Clermontois et leur souhaitons de se retrouver également en finale de Top 14. Courage, vous avez encore une finale à perdre à jouer. (RIP Pastigo) #trollez-nous La déclaration « Je n’ai pas regardé les 5 dernières minutes. C’est Tom Whitford qui est venu me dire qu’on avait gagné » Bernard Laporte. On sait enfin à quoi sert Tom Whitford au sein du club ! LE TOP 5 DES REACTIONS AIGRIS 5 – Quelle encule se Armitage ! 4 mots, 3 fautes, on a trouvé le Jean-Pierre Perez de l’orthographe. 4 – Le Rugby à des valeurs. Quand on gagne de la sorte on ferai mieux de faire profil bas messieurs (et je suis pour Clermont). Dans ce geste on retrouve le Rugby varois, un club de voyous. En gros une forme dérivée du foot. En plus de voyous, tu peux ajouter bagarreurs, tricheurs, pas fair play et violeurs d’enfants aussi (et je suis pour Toulon)… 3 – On me dit dans l'oreillette que Monsieur Alain ROLLAND va chanter le pilou pilou….. ça expliquerai beaucoup de chose alors ? Je vois, dans mon marc de café colombien, que Monsieur Berdos est en train de chialer tout seul chez lui… ça expliquerait beaucoup de chose alors ? 2 – Wilkinson, un grand monsieur, qui mériterait de jouer ailleurs qu'a toulon…! Liste exhaustive des gens qui méritent de jouer à Toulon : Cécillon, Marc Dutroux, Julien Caminati,et Delon Armitage….ah non lui c’est bon, on l’a déjà. 1 – YOU WIN ! zp8497586rq
Le XV des jeux vidéos Attention, il parait que les jeux vidéo rendent violent. Par Pilou Si il est de coutume après une journée de Top14 ou une compétition internationale de dresser un XV type, l'équipe qui va suivre s'adresse aux maniaques du stick, aux tripoteurs de manettes, aux fans du pressage de boutons. Jonah Lomu n’a pas hésité une seconde à coller (une énième mandale) son nom sur la jaquette d'un jeu vidéo de rugby. Mais d’autres joueurs auraient aussi pu faire de même. 15 – Stéphane Ougier pour Carmageddon. En effet, Carmageddon est un jeu de course provocateur (euphémisme ©) dans lequel les piétons ne sont plus un simple dommage collatéral, mais une cible privilégiée. Les écraser permet de collecter du temps supplémentaire, et constitue même une des conditions de victoire. L'avantage, c'est que vous pouvez jouer bourré sans avoir à commettre un délit de fuite ensuite. 14 – Julien Caminatti pour GTA Si les missions proposées (voler des véhicules, commettre des meurtres, revendre de la drogue ou encore échapper aux forces de l'ordre) ne concernent pas le brave Julien, ce dernier ne ferait sans doute pas pâle figure dans un GTA. Un plus indéniable en termes de marketing. Yo bitches 13 – David Marty pour Mon cheval et moi Hé ouais, les Catalans, enfin un de vos trois-quarts retenus dans un XV et pas n'importe lequel : l'emblème, le symbole, l'icône. Non content de cet état de grâce, David Marty est également éleveur de chevaux. Pour un pays dont le symbole est un canasson, ami Perpignanais, n'hésite plus, viens à Toulon, tu as trouvé ton futur maire ! Huh Dada! 12 – Sonny Bill Williams pour Super Punch Out Outre son physique hors norme et ses qualités indéniables de joueurs de rugby, SBW s'illustre également en boxe anglaise puisqu'il totalise le joli palmarès de six victoires pour aucune défaite. Il est donc le parfait ambassadeur de Super Punch out, un jeu dans lequel on pouvait tour à tour affronter un clown, un vieillard, un rasta ou un faux clone de Bruce Lee. Des adversaires aussi hétéroclites et ubuesques que ceux de Sonny Bill. Allez, saigne un coup ami toulonnais, il ne reviendra pas. 11 – Zach Guilford pour Custer's Revenge Le jeu permet d'incarner le général Custer dénudé (à part son chapeau, un foulard et des bottes) afin de traverser un écran en évitant une pluie de flèches pour pouvoir aller violer une jeune fille indienne nue attachée à un cactus. Un jeu qui collerait bien avec Guildford depuis son exhibition du 10 novembre 2011 où il aurait débarqué nu, mouillé, passablement éméché et saignant d'une plaie à la tête au bar Trader Jacks, juste avant de tabasser un Australien de soixante ans. 10 – Felipe Contepomi pour Docteur Kawashima Le jeu vous propose un système d'évaluation de l'âge de votre cerveau, en utilisant différents tests. Cela permettra vraisemblablement à cialis 20mg Felipe de soigner ses stats en matière de calcul mental. 9 – Mike Philipps pour Sniper Elite V2 Détenteur de la technique de drague la plus pourrie, le beau Mike sera certainement de bons conseils pour tous les tireurs en herbe. Quant au fusil, mesdames, nous vous laissons deviner où il se trouve. #areyousure ou Jean-Marc Doussain pour Half minute hero Dans ce jeu, un chrono limité à 30 secondes oblige le joueur a progresser très rapidement pour accomplir les missions qui lui sont confiées. Moyennant finances, la déesse du temps peut heureusement accepter de remettre le chrono à 30 secondes pour prolonger votre périple. Ce postulat rappellera sans doute une certaine finale de Coupe du monde au jeune Jean-Marc. 8 – Andy Powell pour Everybody’s Golf Un jeu de golf tout ce qu'il y a de plus sympathique et efficace. Gageons qu'avec Andy en fer de lance, on puisse se marrer un peu plus en se saoulant la gueule au bar du golf, en braquant des voiturettes ou en déclenchant des générales. 7 – Callum Clark pour MMA EA Sports Support marketing idéal, Callum reste le seul joueur de rugby à réellement chercher à tuer ses adversaires quand il rentre sur le terrain. 6 – Richie Mac Caw pour Deus Ex : Invisible War Un jeu dans lequel, on incarne un héros pouvant se rendre invisible. Richie aurait pu tenir le rôle titre. 5 – Armand Vaquerin pour Orange Roulette Un jeu petit jeu flash dans lequel on incarne un petit bonhomme avec une tête d’orange. Le but ? Survivre à une série d’épreuves de roulette russe… 4- Bakkies Botha pour Duck Hunt What else? 3 – Adam Jones pour Coiffure Académie Qui de mieux placé qu'un barbu à la chevelure hirsute et frisée pour incarner le bon goût capillaire ? Ovale Masqué. Oui, mais il n'enlève jamais sa cagoule. Même pour dormir. 2 – Christopher Tolofua pour Pizza Delivery Boy Un simulateur de livraison de pizzas… Oui, ça existe. En parrainant ce soft, Tolofua aura aussi l'avantage de pouvoir s'entraîner car, nous le savons tous, la saison de Toulouse est terminée (Brennus quoi ?) 1- Jacobus roux pour Mortal Kombat Mortal Kombat marque en 1992 une étape supplémentaire en matière de violence dans les jeux de combats, qui suscitent l'intérêt des joueurs aveces fatalités, qui permettent notamment d'arracher la tête, le cœur ou la colonne vertébrale de son adversaire. Le pilier sud-africain est sans doute la mascotte idéale, lui qui a tué un policier sud-africain à coups de poings, après avoir été arrêté en août 2010 pour conduite en état d'ébriété. Fatality, comme dirait l'autre Staff : Jacques Delmas pour Rugby Manager L'équivalent du célèbre football manager, mais version ballon ovale, sera sans doute un allié précieux pour Jack “Motherfuckin'” Delmas s'il souhaite espérer tenir plus que trois mois au RCT. Avantage non négligeable, Jacques pourra découvrir tout un univers qu'il ne connait pas forcément (humour catalan ©). how to get ex girlfriend back zp8497586rq
Le Rade'Labo analayse UBB – Toulon (41-0) Un match sponsorisé par les frères Karabatic. Par Pilou, « Raaaaaaah, à nous les guerriers en mousse du piloupilou pas capables de taper l’avant-dernier du championnat… Parce qu’on est des pipes, rouge ! Parce qu’on est des pipes, noir ! ». Beh ouais, c’est online drugs arrivé. Après sa prestation risible contre Mont de Marsan (ça a dû bien faire marrer Boniface), le RCT remonte sur scène dans un spectacle son et lumière made in la Rade et s’incline piteusement face à l’avant-dernier du championnat par le cuisant score de 41 à quedalle. Ces deux derniers matchs sont à mettre en relation avec les défaites generic cialis no prescription face au Racing et Montpellier et les débats liés au changement des entraîneurs (qui ont curieusement cessé en début de semaine). Gageons que le RCT aura retrouvé un peu de sérénité et laissé place au jeu sous peine de passer pour de gigantesques baltringues en ne gagnant encore aucun titre, avec une équipe qui pourrait rafler la Coupe du Monde. Voilà. Il n’y aura rien d’autre dans ce CR, mais pour ceux qui n’auraient pas pu voir ce spectacle, un rapide résumé s’impose. Film viagra online du match L’équipe des clowns : L’équipe ubébesque : Le jeu du RCT : En exclusivité, le cahier de jeu toulonnais : Fin du match : Après-match Les règles de vie ont changé au RCT : On y croit… La semaine prochaine, c’est Montpellier :