Le bilan du Rade'Labo, partie IIpar Jonny WillKillSoon 10 July 2012 10 Par l'équipe du Crade Labo, Les moments ImaLOL de la saison Les règles qui font aimer le rugby « La vie est trop courte pour comprendre le rugby, alors autant en rigoler. » Ovale Masqué ne pensait pas si bien dire ce soir d’orgie romaine en présence de 5 filles de joie et de 8 grammes de sang par litre d’alcool (un peu de lèche au gourou ne fait pas de mal). Tirade scrupuleusement notée par le Stagiaire, caché sous le tapis au moment des faits, qui a ainsi pu immortaliser cette réplique et nous lui en sommes fortement reconnaissants. Nous sommes le vendredi 2 mars 2012, Alexis Palisson vient d’inscrire un essai justement invalidé par l’arbitre vidéo pour avoir été en dehors des limites du terrain au moment d’aplatir le ballon. On aurait pu en rester là, mais non ! Les Spécialistes choisirent ce moment pour intervenir. Ainsi ce soir là, plus d’un million de personnes prirent connaissance de la règle 22.4 point G (« si un joueur attaquant est en touche ou en touche de but, il peut marquer un essai en effectuant un touché à terre dans l’en-but de l’adversaire, à condition qu’il ne soit pas porteur du ballon ») mais seulement quatre la comprirent. L’instant Imalol restant bien sûr l’interview de l’arbitre vidéo à la fin du match qui restera comme un aveu d’impuissance et de médiocrité des instances arbitrales. Depuis ce match, Mayol est devenu le théâtre de plusieurs autres anomalies arbitrales comme la vraie fausse mêlée simulée qui finit en touche avec double infériorité numérique (contre Bordeaux) ou également la règle du piston en touche qui priva le Racing d’un essai anecdotique. Conclusion : on est amoureux d’un sport totalement con. Le plongeon de la honte Avant, Van Niekerk marquait des essais en faisant des plongeons acrobatiques. Mais ça… c’était avant. Rien que pour leurs cheveux Tout au long de la saison, nous avons pu assister à la création et au développement d’un puissant lobbying du côté de la Rade : L’APC. L’Amicale des Porteurs de Crêtes a en effet tout emporté sur son passage en 2012 ! Ce qui devait être au départ une simple différenciation capillaire pour distinguer Armitage de Bastareaud s’est transformé en violente épidémie sous l’impulsion de notre duo de chanteurs Smithy et Gits. Ainsi en fin de saison, l’effectif du RCT ressemblait plus à un rassemblement de punks néo-nazis qu’à une équipe de rugbymen professionnels. La palme revenant bien sûr à Benjamin Lapeyre (alias le Moine-Surfeur malade) et son combo pelade + crête du plus bel effet. A l'heure de ce bilan, nous apprenons la véritable source de cette coupe de cheveux : generic viagra online