Le COVID, par Georges Claasens
par La Boucherie

  • 22 February 2021
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A l’heure où le monde apprend la séparation du groupe électro français le plus iconique, se lève un nouveau talent qui saura combler le manque dans les cœurs en miette des fans.

 

Au vu de l’actualité récente du XV de France, la Boucherie Ovalie tient donc à vous introduire (directement dans les pieds de la deuxième ligne) Georges Classens, qui nous interprète une chanson dans l’air (contaminé) du temps.

 

Une mélodie simple, des paroles tranchantes (que vous pourrez trouver ci-dessous) : C’est bien simple, on dirait du Gérard Lenormand.

 

 

C’est au delà des larges grilles du CNR de Marcoussis

Que sévit un puissant Covid, celui d’la grosse épidémie

Avec impudeur, tests PCR s’exhibent tristement positifs

Bien que rigoureusement naguère, ils se révélèrent négatifs

Gare au Coviiiiiid

 

Tout à coup la bulle bien close où vivait le groupe intégral

S’ouvre on n’sait pourquoi je suppose qu’on avait dû la fermer mal

Médias, public et même Twitter dirent c’est aujourd’hui qu’on le perd

Ils parlaient du fameux Grand Ch’lem, vous aviez deviné j’espère

Gare au Coviiiiiid

 

L’patron de la Fédération criait éperdu “nom de nom”

C’est assommant car le Covid va saccager notre renom

Dès lors, plop! la bulle sanitaire du Docteur Covid Manager

Membres du staff, avants, arrières, l’épidémie reprend vigueur

Gare au Coviiiiiid

 

Tout le monde se précipite pour savoir d’où le mal arrive

Rumeurs condamnant les septistes, séjour à Nice, ville subversive

Du côté des Anglo-saxons, on rit sous cape, on s’ébahit

Parce que maintenant sans Dupont, ce ne sont plus les mêmes parties

Gare au Coviiiiiid

 

Mais par malheur si le Covid se répand, s’étend, se diffuse

Il ne faudrait pas que l’on brille d’incompétence, comme des buses

Parce qu’enfin dans le fier sillage du XV de France, belle vitrine

Il y a le rugby des villages Celui qui souffre qu’on assassine 

Gare au Coviiiiiid