Le bilan du Rade'Labo, partie IIIpar Pilou 11 July 2012 10 Par l'équipe du Rude Labo, Les moments forts du rock fort ! Missoup vs Martin L’an passé, de légères tensions avaient surgi entre le RCT et le MHR ; un « petit malentendu » entre Boudjellal et Gorgodze, et une « petite branlée » 27-3 lors de la dernière journée. Olivier Missoup, joueur très sensible, a lors de ces évènements emmagasiné beaucoup d’énergies négatives faisant même des phobies nocturnes dès qu’un scooter passait dans sa rue. Le 30 septembre, à Montpelier, la pression devenant trop forte il a décidé d’extérioriser tout son mal-être en se servant du gentil Rémy Martin comme punching-ball à la réception d’après match. Bilan de la soirée : des joueurs toulonnais dont on arrache les petits fours de la bouche pour un retour en urgence ; un match perdu ; 4 mois de suspension et une plainte du grand blond qui est connu pour ses principes de non-violence. Duo de choc : Boudjellal et Laporte Impossible de faire l’impasse sur notre président Mourad Boujellal dans cette catégorie. Voici donc une liste (non exhaustive) de ses cibles du cru 2011-2012 : – Bernard Laporte « Il n’y a que lui qui ne voyait pas que ce type (Job Ariste, président de la FACEM, qui devait injecter 12 millions dans le club) avait plus le discours d’un évangéliste ou d’un Raëlien que d’un homme d’affaire. » – PSA et la FFR « C’est un être humain, il a des défauts comme tout le monde. Il ne supporte pas bien l’alcool, il mange beaucoup, il ne fait pas beaucoup de sport. Il s’énerve et ne supporte pas bien la pression. Il n’aime pas trop payer le café le matin mais c’est un être humain normal. » – Rémy Martin et le MHR “Avant Rémy Martin était un joueur de rugby qui savait utiliser sa droite. Depuis qu’il a découvert celle d’Olivier Missoup, il utilise le droit.” – Berdos et la désormais célèbre sodomie arbitrale qui lui a valu 130 jours de suspension, une petite joute verbale avec Revol « La vulgarité, c’est d’exhiber dans son bureau le Bouclier de Brennus de 1993 quand on sait dans quelles conditions il a été obtenu » et une procédure par L’Union nationale des arbitres de rugby : « Je ne suis pas surpris. Avec ce qu’ils sont payés, ils ont besoin d’argent. J’ai l’habitude d’être attaqué quand il y a dans un sigle le mot national. » – Laurent Labit qui avait désapprouvé les déclarations d’avant-match de notre président : “(…) Je pensais que ce groupe de Hard Rock (AC/DC) avait franchi les frontières du Tarn. Mais bon, Laurent Labit doit être plus fervent de bal musette, c’est son droit. (…)Enfin, affirmer que je ne fais pas partie du monde du rugby, c’est démontrer que Laurent Labit est observateur mais pas réactif, car il a mis six ans pour s’en rendre compte. ” Avec à la fin du match suivant ce clashounet un message spécial sur les écrans géants : Et enfin, après s’être soucié de l’incontinence des dirigeants du rugby français, il a conclu cette saison par “Malheureusement pour eux, ils devront me supporter un peu plus dans le rugby. Parce ce que je pense que si j'avais été champion de France ce soir (samedi) avec mon équipe, je ne suis pas certain que je serais resté dans ce monde.” Bernard Laporte n’était pas non plus en manque de phrases chocs. M.Poite a été la première victime de son courroux. Résultat : 60 jours de suspension et des situations assez cocasses où on le voit insulter ses joueurs à la mi-temps par visio-conférence. Puis, un peu tout le monde en a pris pour son grade jusqu’à la fin de la saison : Revol, la FFR, la Ligue, l’ERC etc. Vivement la rentrée ! Ce n’est qu’un adieu treatment nasal polyps