Je supporte l’USAP et je veux que Dan Carter revienne. Aidez-moi !

L’amour dure trois matchs

Marcel-Rafu

Marcel Rafu est né à la Seyne-Sur-Mer en 1952. Diplômé en chirurgie, psychologie, parapsychologie, pédopsychiatrie avec option rites vaudou à l’université d’Etat de Port-au-Prince, il a exercé l’emploi de directeur du Pôle Psychiatrique de l’Hôpital militaire Saint-Anne de Toulon, entre 1987 et 1992. Radié de l’ordre des médecins après plusieurs affaires dans lesquelles il a toujours nié son implication (notamment la pose d’implants mammaires sur une de ses patientes alors âgée de 14 ans) il s’est depuis reconverti comme plume dans divers magazines féminins, et anime régulièrement la rubrique sexo du magazine Flemme Actuelle. Il est également auteur de nombreux ouvrages médicaux dont « La psychologie de Florian Fritz mise à nue »« Mourad Boudjellal, l’enfant roi » ou encore de romans policiers comme « L’affaire de la table de nuit de Wellington ». Ponctuellement, Marcel viendra nous livrer une chronique sur la Boucherie Ovalie.

Je supporte l’USAP et je veux que Dan Carter revienne. Aidez-moi !

Notre nouveau chroniqueur psycho est de retour ! Après avoir résolu l’épineux problème des supportrices obsessionnelles du Stade Toulousain dans son premier billet, Marcel Rafu revient pour répondre à la lettre que lui a envoyé un de nos fidèles lecteurs de la Boucherie, que l’on surnommera Gregoire le Mormon, pour respecter son anonymat. Voici l’intégralité de sa missive, ainsi que la réponse du Doc’. 

Grégoire le Mormon, 27 ans, Perpignan.
Il aime : Dan Carter, Nicolas Mas, l’USAP, porter des vestes, dormir au Sofitel et être un supporter lambda.

Il n’aime pas : La guerre, le SIDA, Star Wars, l’injustice et Jacques Delmas.

Bonjour Marcel Rafu,

Je vous écris de la pare d’un ami qui connez une grande paine. J’espaire que vous aller pouvoir l’aidait… 

(Note de la rédaction : nous avons pris soin de corriger le reste de sa missive, pour des raisons évidentes de confort de lecture)

Alors voilà, il y a de ça 3 ans maintenant, j’ai connu une idylle brève mais très passionnée avec Dan, un jeune éphèbe néo-zélandais qui était en vacances dans notre belle et fière cité catalane. Quand ça a commencé entre nous, je savais bien que ce ne serait pas pour du long terme, qu’il ne cherchait pas de relation durable car il allait bientôt rentrer au pays, et qu’il avait quelqu’un qui l’attendait là-bas. Alors j’ai essayé de profiter de l’instant présent et de ne pas y penser. Mais au fur et à mesure que notre relation progressait, je me suis de plus en plus attaché à lui. Il était si beau, si doux. Son corps fin mais musclé, son grand sourire enfantin, son accent si charmant quand il me disait “I love you mon petit Cagibou d’amour”. Puis comme prévu, il a fini par partir, au lendemain d’une nuit de fête formidable sur la place du Castillet. J’ai voulu l’oublier. Un copain a tenté de me recaser avec un mignon petit Gallois. J’ai essayé, on est ensemble depuis quelques temps… mais ce n’est pas vraiment pareil, je ne l’aime pas comme lui. Et un autre ami à moi m’a récemment affirmé que Dan allait revenir. Il me l’a dit qu’il le savait de source sûre, qu’il connaissait un ami du carreleur de son cousin qui disait qu’il l’avait vu en train d’acheter une maison à Collioure. Mais j’ai un autre ami à moi qui me dit que c’est des conneries, et que sur son profil facebook, il y a des photos de lui en train de flirter avec un certain Jacky, à Paris. Marcel, je suis totalement perdu… Dois-je continuer d’espérer, ou tourner la page ???? Et mon Gallois, faut-il le garder ?????

PS : Je parle bien d’un ami à moi. Je ne suis pas PD même si j’aime bien le film Love Actually.

La réponse du Docteur Marcel :

« L’amour est une pute » (Friedrich Wilhelm Nietzsche)

Bon, pour la citation je suis pas sûr hein, j’ai découvert l’existence de Nietzsche la semaine dernière en matant le film « A dangerous method », et j’ai rien compris, même si j’ai quand même bien aimé la scène où Keira Knightley se prend une fessée.

Avant tout chose, sache que je comprends bien ton malheur. Les amours de vacances sont à la base d’indicibles souffrances. Et aussi de pas mal de MST, mais ça c’est un autre sujet. Tu sais, moi-même, lorsque je donnais des cours d’été à l’université, je me suis entiché d’une jeune étudiante. Je la revois encore entrer dans l’amphi, avec ses petits seins ronds et fermes qui pointaient sous son t-shirt avec l’insolence de la jeunesse. Sa petite jupe d’écolière qui laissait deviner les Everest de plaisir qui se dissimulaient en-dessous. Hélas la société est pleine de préjugés, et notre union s’est brutalement arrêtée le jour où j’ai été injustement condamné pour détournement de mineur. 

Mais revenons à ton cas personnel, mon petit Grégoire. Comme chacun le sait, la rupture se compose de plusieurs phases, comparables à celles du deuil. Etudions-les ensemble : 

1 : Le choc

« Pourquoi ? Ce n’est pas possible ! Qui voudrait quitter une ville comme Perpignan ? Et un mec classe et de bon goût comme moi ? Je ne comprends pas. » 

=> C’est la période la plus violente et la plus difficile à vivre. Tu ne comprends pas pourquoi il est parti et honnêtement, bien souvent tu es le seul. Mais tes amis ne te disent rien parce qu’ils ont un peu pitié de toi. 

2 : Le déni

« C’est pas possible. Il va revenir. Il est tombé amoureux de la région, de la population, de moi, il reviendra forcément ! Je le sais de source sûre ! ».

=> Je pense que tu te situes actuellement dans cette phase-là. Tu entends des rumeurs et tu te laisses enivrer par leur doux parfum. Tu guettes le moindre signe, le moindre tweet, le moindre post sur facebook qui laisserait deviner qu’il est malheureux dans sa nouvelle vie. Mais stalker son ex est toujours une erreur : dans 99% des cas il est très heureux sans toi, et il est même probable que son nouveau mec ait une plus grosse bite que toi. Ne te fais donc pas mal, arrête de l’espionner. 

3 : La colère

« C’est vraiment qu’une petite pute qui vend son cul au plus offrant. Je serais même pas surpris de le retrouver à faire la cagole en minijupe sur la Rade de Toulon. Ah la salope ! Nicolas Laharrague était peut-être moche mais au moins lui il était fidèle ».

=> Ok ce n’est pas joli-joli de penser tout ça, mais parfois il faut laisser libre cours à ses pulsions haineuses, les extérioriser. Alors si ça te fait du bien, vas-y, prends-toi une grosse cuite et pourris son répondeur. Par contre fais gaffe, téléphoner en Nouvelle-Zélande ça douille. 

4 : La dévalorisation

« S’il est parti, c’est de ma faute. Je suis moche, je m’habille comme un clown et le rouge et le jaune ça va pas ensemble. Puis Perpignan, c’est pas assez bien pour lui. Cette ville elle ressemble à rien et y’a même pas le métro. Il aimait sûrement pas mes potes, des ploucs comme David Marty ou Gregory le Corvec. Tu m’étonnes qu’il se soit cassé en courant ». 

=> Si l’étape de la colère est saine et nécessaire, celle-ci est à tout prix à éviter. Il est certes bon de se remettre en question de temps en temps, et une rupture amoureuse est également une bonne occasion de faire un peu d’introspection. Mais ne tombe pas dans le piège de la dévalorisation. Sache que tu es beau comme tu es, même si tu as une gueule de gitan. 

5 : L’acceptation

« Il ne reviendra pas. C’est fini. On n’était pas forcément faits l’un pour l’autre, mais c’était beau quand même. Court, mais intense. On en a bien profité et on en gardera quelques beaux souvenirs. » 

=> La page se tourne, doucement. La mélancolie est encore là mais tu as fait ton deuil. 

6 : La reconstruction

« Bon finalement, il est pas si mal, ce Gallois. Ok il a la gueule de travers et ressemble à la marionnette de Saw, mais il est gentil, et pas si mauvais au pieu. Finalement, peut-être qu’on fera un petit bout de chemin ensemble. Puis il y a la petite Camille qui me fait les yeux doux depuis quelques semaines. J’aime pas trop les rousses, mais bon pourquoi pas… ». 

=> Tu envisages un nouveau futur, tu crois de nouveau à la possibilité du bonheur avec un autre. Bien sûr, tu as un peu peur. Peur que ce ne soit pas aussi bien, peur d’être blessé, peur qu’il s’en aille encore. C’est normal. Tu es désormais plus mature, et tu ne t’engages plus dans une relation amoureuse avec la candeur d’une ado qui vient de se faire déflorer sur le parking du Duplex. Alors prends ton temps, et tu verras, tout devrait bien se passer.

Voilà ce que je peux te dire mon petit Grégoire. Pour l’instant, tu me sembles encore bloqué à la limite de la deuxième et la troisième étape. Le chemin vers le bonheur est encore long, mais je sens que tu es sur la bonne voie. Il faut aussi que tu aies en tête que ta situation n’a rien de honteuse, elle est même très classique. C’est arrivé à d’autres avant toi, ça arrivera à d’autres après toi. J’ai d’ailleurs reçu récemment une patiente toulousaine, amourachée d’un musculeux Néo-Zélandais, bronzé et recouvert de tatouages. J’ai tenté de l’avertir, mieux vaut pas trop s’attacher avec ceux-là… 

La bise,
Marcel Rafu

PS : Tu peux aussi venir me voir à mon cabinet pour régler ce petit problème d’homosexualité refoulée. 

Daniel Besson, lui, ne perd pas espoir.

how to get my ex back

N’hésitez pas à poser vos questions à Marcel dans les commentaires. Les plus pertinentes seront retenues et développées lors de la prochaine chronique !

zp8497586rq

Ma copine supporte le Stade Toulousain : mode d'emploi

Nouveau chroniqueur à la Boucherie ! Marcel Rafu répond à toutes vos questions…

Aujourd'hui, la Boucherie est fière de vous présenter son nouveau chroniqueur, Marcel Rafu. Petite présentation rapide :

debt settlement


Marcel Rafu

Marcel Rafu est né à la Seyne-Sur-Mer en 1952. Diplômé en chirurgie, psychologie, parapsychologie, pédopsychiatrie avec option rites vaudou à l'université d'Etat de Port-au-Prince, il a exercé l'emploi de directeur du Pôle Psychiatrique de l'Hôpital militaire Saint-Anne de Toulon, entre 1987 et 1992. Radié de l'ordre des médecins après plusieurs affaires dans lesquelles il a toujours nié son implication (notamment la pose d'implants mammaires sur une de ses patientes alors âgée de 14 ans) il s'est depuis reconverti comme plume dans divers magazines féminins, et anime régulièrement la rubrique sexo du magazine Flemme Actuelle. Il est également auteur de nombreux ouvrages médicaux dont « La psychologie de Florian Fritz mise à nue », « Mourad Boudjellal, l'enfant roi » ou encore de romans policiers comme « L'affaire de la table de nuit de Wellington ». Ponctuellement, Marcel viendra nous livrer une chronique sur la Boucherie Ovalie.

 

Ma copine supporte le Stade Toulousain : dois-je la larguer ?

 

De tout temps, l'amateur de rugby a rêvé de trouver cette compagne idéale, cette fille qui aime bien le rugby. Celle-là même qui pourrait aller vous chercher des bières au frigo pendant un arbitrage vidéo long de 8 minutes, ou qui acquiescerait polimment dire à chaque fois que vous traiterez l'arbitre d'enculé lors d'un week-end de H Cup à la cool sur le canapé. De mon temps, une telle chose était impensable. Heureusement, depuis, Max Guazzini a révolutionné l'image de ce sport autrefois réservé aux gros beaufs ventripotents en dénudant de jeunes Apollons dans son calendrier : enfin le rugby était sexy et populaire ! Un nouveau public s'ouvrait alors à l'ovalie, ainsi qu'un nouveau terrain de chasse pour nous les vrais mecs.

Seul problème, dans 80% des cas,…l'amatrice de rugby supporte le Stade Toulousain !

Un phénomène qui peut s'expliquer de plusieurs façons. La plus fréquente, c'est que la pauvre fille a probablement été sensibilisée et éduquée au rugby par son vieux papa/papy originaire du sud-ouest. Alors certes, il n'a jamais vécu à Toulouse, et il n'aimait même pas Claude Nougaro, mais il savait que supporter le Stade était l'assurance d'avoir un bon prétexte pour se mettre une taule à chaque mois de mai. Du coup, la petite a été embrigadée très tôt, et elle ne lâchera pas l'affaire, même contre des places en tribune présidentielle au Racing. Une autre raison probable c'est que la fille en question n'est pas assez tarée pour se payer Canal + et suivre assidûment le Top 14 : du coup elle ne regarde que le XV de France et les matchs de Toulouse, puisque ce sont les seules équipes qui ont le droit de passer sur le service public. Enfin la plus fréquente – mais elle concerne tout aussi bien les hommes – est tout simplement l'opportunisme : c'est toujours plus marrant de supporter l'équipe qui gagne. Attention tout de même : votre copine pourrait donc bientôt devenir supportrice du RC Toulon. Et là, que Dieu ait pitié de son âme.

Vivre au jour le jour avec une supportrice du Stade Toulousain n'est pas chose aisée. Vous allez devoir subir plusieurs désagréments : mauvaise foi, complexe de supériorité, vénération sans borne pour Guy Novès, trisyllabisme (quoi de plus débandant qu'une meuf qui beugle « Tou-Lou-Sains », franchement ?), etc. Pire, elle pourrait même trouver Vincent Clerc « craquant »… et non, ce terme n'est pas réservé qu'au corps de Benjamin Fall. Vous lisez cette description et vous vous dites « Mais mon Dieu, cette fille est insupportable ? ». C'est vrai. Mais si vous êtes avec elle c'est probablement parce qu'elle est bonne, et si vous restez suffisamment longtemps avec, il n'est pas exclu qu'elle vous offre une chemise Serge Blanco à 500 euros un jour, alors… foncez ! Voici cependant quelques conseils pour éviter quelques disputes qui risqueraient de mettre fin à votre idylle :

 

1. Ne pas parler du jeu à la toulousaine

Le jeu à la toulousaine, c'est un peu comme un bon album des Rolling Stones : on sait que ça a

cialis 20mg

existé mais c'était il y a tellement longtemps que la plupart des gens ne s'en souviennent plus. Bien sûr, vous êtes un amateur de rugby avisé, vous avez l'esprit critique et vous êtes

buy cialis online without a prescription

tenté de faire remarquer à votre dulcinée que Clermont, Toulon, Montpellier, voire même l'USAP, Bordeaux-Bègles et le Stade Français (!!) sont beaucoup moins chiants à regarder que les Toulousains, et ce depuis au moins deux trois saisons déjà. Je vous arrête tout de suite malheureux ! Vous allez vers une pente aussi glissante que les mains de Clément Poitrenaud : « Oui mais c'est parce qu'on a trop d'internationaux, trop de blessés, y'a des doublons, en plus il pleuvait, puis c'est la préparation physique concentrée sur la fin de saison, puis tu verras les phases finales, blablabla ». N'essayez pas de lutter, le discours de Guy Novès s'est déjà insinué dans son cerveau, comme les Reptiliens dans V. Fermez votre grande gueule et jouez à Tétris sur votre smartphone pendant le match, ça vaudra mieux pour vous.

 

2. Ne pas critiquer l'aspect physique de Clément Poitrenaud ou Maxime Médard

Clément Poitrenaud et Maxime Médard, pour la majorité des hommes, c'est un peu comme Romain Duris : on constate bien que toutes les filles en sont folles, mais on comprend vraiment pas pourquoi. Si on tentait d'adopter ce même look de branleurs semi-négligés, on aurait probablement l'air de gros clodos et on ne nous laisserait même plus entrer à Franprix de peur qu'on vienne y voler des bouteilles de vodka. Mais sur eux, ça marche. Enfin bon, c'est aussi parce qu'ils sont connus et qu'ils passent à la télé, faut pas croire. Evitez donc de les critiquer au risque de vous attirer les foudres de votre moitié. Préférez dire du mal de Yoann Huget, personne n'aime Yoann Huget. Même si là aussi, ça peut paraître assez injuste, mais c'est la vie.

3031255652_1_11_abkODlLC

 Le saviez-vous ? Avant d'être rugbyman, Maxime Médard avait postulé pour le rôle du gitan dans Snatch

 

3. Ne pas parler de la finale du championnat de France 2006

De la même façon qu'il n'est pas conseillé de faire des blagues sur l'holocauste quand vous dînez chez la famille de votre petite amie juive d'origine polonaise, évitez à tout prix d'évoquer la finale du championnat de France 2006 contre Biarritz. Pour les plus jeunes, rappelons que ce jour-là Toulouse avait été battu 40 à 13, et que Damien Traille avait marqué un essai sous les poteaux après avoir réussi un cadrage débordément sur Frédéric Michalak. Des images insoutenables pour tout amoureux du Stade Toulousain, et même pour n'importe quel amoureux du rugby d'ailleurs.

 

4. Ne pas dire du mal de ce con d'Ovalion

Au panthéon des mascottes de merde, Ovalion mérite certainement une place d'honneur. Certes, il faut reconnaître que le lion colle plutôt bien avec la personnalié de l'équipe, puisqu'il s'agit d'un animal particulièrement prétentieux, qui s'auto-proclame Roi de la jungle et qui passe la plupart de ses journées à ne rien branler. Sauf qu'au lieu d'évoquer un majestueux félidé, Ovalion ressemble plus à un espèce de Robert-Hue-Loup-Garou, avec son sourire de mongol et son collier de barbe que même un pilier gallois n'oserait pas porter. Oui mais voilà, la supportrice du Stade Toulousain niera toujours l'évidence et vous dira qu'il est « trop kawaï !!! ». Laissez-la dans son monde.

pj

 De toute façon, les vraies mascottes du Stade, c'est Guytou et Jean-Ba. 

 

5. Ne pas dire du mal de Thierry Dusautoir

Mais ça, c'est une règle générale dans le rugby français. Ne vous avisez donc pas de faire remarquer que parfois, Thierry Dusautoir peut rater des matchs, que sa technique de passe laisse à désirer, ou que son apport dans le jeu offensif reste somme toute limité. C'est le meilleur joueur du monde, point. C'est un peu comme Jean Dujardin, il a désormais la reconnaissance internationale, donc on leur pardonne toutes les horreurs qu'ils ont pu faire avant (comme canada in levitra jouer dans Un gars / Une file, ou au Biarritz Olympique).

 

6. Cas particulier : vous sortez avec la fille de Guy Novès

Dans ce cas-là, n'hésitez pas une seule seconde : Fuyez, pauvre fou.

201202271681_zoom

J'ai souis Tom Crouze and je approove zisse message

 

Nouveau ! Posez vos questions à Marcel Rafu….

Régulièrement, Marcel reviendra sur le site pour répondre à toutes vos questions (problèmes au travail, au plumard, questions existentielles diverses et variées…) n'hésitez donc pas à lui exposer vos problèmes dans les commentaires. Il sélectionnera les meilleures questions et y répondra lors de sa prochaine chronique. 

zp8497586rq