Le tour du monde de la presse pascalpapéiste
par Ovale de Grace

  • 29 February 2012
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Un spectre hante l’Europe : le spectre du pascalpapéisme !

 


Le pascalpapéisme aujourd’hui prend un essor et une dimension qu’aucune doctrine n’avait alors égalé, levant au plan de paradigme ovalo-philosophique ce qu’il est convenu d’appeler au delà d’un « art de vivre », les fondations d’une nouvelle civilisation !
Plus un support médiatique ne l’ignore. Plus un journaliste, même le plus rigoureux quant à sa neutralité, fut-il soumis à l’implacable réserve du service public, ne se montre insensible à l’avènement d’une ère nouvelle pour le bien-être de tous, en dehors comme dans le grand ruck de la vie.

Le pascalpapéisme, c’est le pouvoir pour chacun de se reposer sur un homme dont la pensée limpide fera de chacun d’entre nous les deuxièmes lignes parfaits, prêts à affronter les marasmes de la crise mondiale, prêts à reprendre le ballon en touche pour les nôtres et les mener vers des lendemains qui enchantent !
Comme le proclamait Pascal Papé le 11 février dans France Soir, debout foule esclave debout debout,  affirme-le ! : « Aujourd’hui je me fais confiance »
Le monde traverse une crise que jamais même les plus affûtés Mayas n’avaient prévue. Le gel au Stade de France, le syndrome Gilles de la Tourette de Mourad Boudjellal, les amours publiques et tumultueuses de Lorenzetti-Berbizier, les titres éculés (de ta mère) de l’Equipe… sont autant de signes que l’invasion des forces malfaisantes est permanente, omniprésente.
Que nous promet-on ? Une « France forte » ? Un « changement c’est maintenant » ? et pourquoi pas d’invoquer les forces telluriques en faisant l’amour  collectivement dans des champs de jonquilles (j’ai bien dit « pourquoi pas ? »). Non, Pascal Papé lui, prend son gun contre la langue de bois, c’est à  “balles réelles” qu’il entend mener ses troupes au combat !
Même si, le pascalpapéisme, c’est aussi le respect de l’adversaire. Ne l’affirmait-il pas déjà en mai 2007 : « On va pas non plus se filer des coups de tronche dans les burnes » (in L’Equipe du 24 février)

Le pascalpapéisme, c’est la promesse d’un monde solidaire, où chacun pourra soutenir le plus faible dans ses faiblesses, voire le seconder. Par exemple, qui, depuis que Pascal Papé est le meilleur marqueur du Stade Français a remarqué les défaillances de l’ailier Paul Sackey ? (hein  qui ?)

Le pascalpapéisme, c’est enfin ce lien permanent avec ceux auxquels on doit, un humour sans faille sur ses trébuchements passés et la main tendue à ceux qui vous ont permis d’arriver aux sommets. Chaque occasion est celle de la création d’un pascalpapéisme !  “Au Stade Français, on a de très belles valises Adidas, il faut bien qu’on les remplisse.”

Ne vous trompez pas de bulletin, faites triompher le pascalpapéisme le 1er avril prochain